La meilleure des sexfriends
12 mai 2020Dans notre histoire érotique du jour, Pierre, 30 ans, nous raconte toutes les premières fois auxquelles il s’est initié grâce à sa sexfriend
Laissez mois aujourd’hui vous raconter la plus belle histoire que j’ai connue avec ma sexfriend. Depuis que j’ai fait la connaissance d’Aurélie, je me suis lancé dans plein de premières fois sexuelles assez hard. Elle n’a peur de rien ! C’est vraiment la meilleure des sexfriends…
Avec Aurélie, c’est le bonheur intégral, je crois que j’ai véritablement déniché la femme parfaite. Je l’ai rencontrée il y a quelques années sur un site de rencontres rapides, et en voyant sa photo de profil avec ses petits yeux pétillants, j’ai tout de suite su que j’avais affaire à une femme qui aimait le sexe.
Ça a très vite bien marché entre nous, et nous nous voyons 2 à 3 fois par mois, pas plus. Nous avons instauré des règles très strictes depuis le début de notre rencontre : on ne dort jamais l’un chez l’autre, on ne dîne jamais l’un chez l’autre, on ne parle ni famille ni boulot. On baise. Point.
Ça entretient pas mal de mystère autour de l’autre, et ça booste incroyablement notre désir. Elle est peut-être cadre supérieur ? Maîtresse d’école ? Boulangère ? J’avoue que j’aimerais bien savoir parfois, mais je me retiens de lui poser la question. Tout ce qui compte, ce sont ses belles boucles brunes qui caressent ma cuisse lorsqu’elle me suce la queue. Et au pieu, c’est une déesse !
Nous avons appris plein de choses ensemble, je crois qu’elle est en couple en ce moment, et qu’elle s’ennuie un peu. Je suis son défouloir, son espace de folie. Le premier truc qu’elle avait envie de tester avec moi, c’était la gorge profonde. Des quelques films pornos que j’avais regardés, la vue de l’actrice qui se prenait un énorme braquemart dans l’œsophage m’avait toujours bien fait bander et j’étais donc chaud bouillant pour essayer cette petite descente spéléologique. Elle a ouvert bien grand la bouche et a sucé ma bite comme à son habitude. Je voyais qu’elle essayait d’aller de plus en plus loin, mais elle butait inlassablement dans un coin de sa bouche. « Ça ne marche pas » m’a-t-elle dit, déçue.
Alors je l’ai saisie par les cheveux et j’ai bien appuyé sur sa tête. Sa gorge s’est alors dilatée au contact de mon gland, l’accueillant avec bienveillance comme aurait pu le faire sa chatte humide. Elle a eu un petit mouvement de recul alors j’ai relâché la pression. Sa tête s’est retirée de mon sexe dans un grand filet de bave blanchâtre. J’ai eu un peu peur qu’elle ne m’en veuille, j’avais quand même uniquement suivi mon petit plaisir égoïste, mais elle a affiché un sourire ravi ! Très fière d’elle, elle m’a demandé : « On recommence ? »
Bref, une première expérience réussie !
La seconde, c’était un peu plus difficile. Elle voulait absolument que l’on se lance dans la sodomie ! Pour être franc, je n’avais jamais été un grand fan de cet orifice, un peu trop sale à mon goût. Mais Aurélie était tellement excitée à l’idée de voir ma saucisse s’immiscer par sa petite porte que je n’avais pas le cœur de lui retirer ce plaisir.
Elle avait lu des articles qui expliquaient comment il fallait faire, et elle m’a avoué en arrivant chez moi cette nuit-là, qu’elle avait porté un bijou anal toute la journée. Elle m’a même montré ledit plug (qui avait une taille tout à fait remarquable pour une débutante) avec un air de défi dans le regard.
Elle a pris un pot de lubrifiant qu’elle avait spécialement ramené pour l’occasion et en a mis une bonne poignée dans son cul maintenant luisant de désir. J’ai moi aussi fait briller ma bite et je suis venu me coller à sa rosette. « Prête ? » lui ai-je demandé. Elle a hoché la tête, confiante. Je suis entré tout doucement en balançant avec une lenteur extrême mon bassin. Elle était allongée devant moi et elle me souriait, comme pour m’indiquer que je m’y prenais bien ! Gagné !
J’ai ensuite donné un peu plus de coups, un peu plus rapides, pour qu’elle sente bien mon membre gonflé de désir lui défoncer le cul, puisque c’est ce qu’elle voulait.
Elle hurlait de plaisir, m’implorait de continuer, se tordait dans tous les sens. Je crois qu’elle était vraiment faite pour l’anal, je suis très heureux qu’elle ait attendu de faire cette première fois avec moi. Je n’ai même pas joui ce soir-là, j’étais juste très heureux de lui avoir fait plaisir. Elle non plus je crois, mais ce n’est pas ça qui comptait ! C’était que nous prenions tous les deux un pied d’enfer.
Bref, notre prochain test, c’est le plan à trois. Je ramène une copine d’Angleterre juste pour l’occasion, j’espère que ce sera encore une belle surprise ! Avec Aurélie, je suis presque sûr de ne pas être déçu.
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« J’ai touché avec la pointe des doigts sa petite culotte, elle mouillait à fond, le scénario lui plaisait vraiment. Ça m’a fait immédiatement bander, plus par réflexe que parce que je voulais vraiment la baiser. J’ai passé ma verge toute dure sur ses lèvres du visage entrouverte. Elle me léchait comme une petite chatte. » Karim, 27 ans.
« Elle s’est glissée à mes côtés en m’embrassant dans le cou et, sans mot dire, s’est empalée sur mon pénis qui ne demandait que cela. Ses cris de plaisir ont ameuté plusieurs hommes, qui nous ont encerclés en se masturbant au-dessus de nous. Me sentir observé comme cela m’a bien chauffé, Carole a été renversée par un orgasme, et je l’ai suivie de très peu. »Stéphane, 27 ans.