Ménage à trois
25 octobre 2018Alicia profite de la rentrée pour s’adonner à un grand ménage alors qu’elle a invité deux amis de fac pour boire un verre. Les garçons, quelque peu en avance, vont décider de lui donner un coup de main d’une manière tout à fait délicieuse.
lls étaient absolument impossibles à gérer. Romain venait de renverser des chips sur la moquette de ma piaule d’étudiante. Moi qui les avais invités, Romain et Kylian, bien gentiment pour fêter les premiers jours de la rentrée dans notre faculté du Nord de la France, ils ne me rendaient pas la pareille ! J’ai sorti l’aspirateur que mes parents m’avaient acheté durant le mois d’août pour aspirer les petites miettes.
Le ménage, s’il n’est pas fait régulièrement, ça peut vite devenir un enfer. Pensez-vous que Romain et Kylian se sont dits qu’ils allaient m’aider ? Pas du tout, ils ont préféré ricaner entre eux à la place. Ah les mecs, qu’est-ce que cela peut manquer de maturité à la vingtaine…
« Bah alors Alicia ? Ça se la joue femme de ménage ? Tu n’as pas l’impression que tu serais plus à ton aise si tu étais tranquillement assise avec nous sur le canapé. » J’ai commencé à me fâcher un peu, en leur expliquant que je n’étais pas « à leur service » et Romain s’est tout de suite adouci. « OK, OK, désolé, on te promet, on nettoie tout avant de partir. En attendant, tu ne veux pas venir t’asseoir avec nous ?
Tu seras en meilleure compagnie qu’avec ton aspirateur ! ». Je me suis docilement laissée faire, et je suis venue sur le canapé. Là, Kylian et Romain m’ont prise en sandwich de part et d’autre. Ils ont posé la main sur ma cuisse. Bon, avant que j’aille plus loin dans mon récit, il faut nécessairement que je vous raconte la façon dont nous nous sommes rencontrés. Romain et Kylian sont mes deux compagnons lorsque nous travaillons ensemble.
Nous avons mené avec courage de nombreux projets durant l’année dernière. Ou plutôt j’ai mené de nombreux projets toute seule, et eux se sont contentés d’y ajouter leur nom. Vous pensez que cela me dérange ? Pas le moins du monde ! Je préfère mille fois que l’on me laisse rédiger mon travail à ma manière plutôt que l’on vienne mettre son vilain nez dedans, comme c’était le cas dans la plupart des autres groupes. Résultat ? Nous avons eu la meilleure note de la promo. Quand je vous disais qu’il s’agissait d’une super équipe ! Bref, nous partagions ensemble une amitié étudiante – mais ce n’était jamais allé plus loin. En particulier, ils savaient tous les deux que j’étais très amoureuse de mon mec, Axel, et ils n’avaient nullement envie de briser mon couple.
Mais là, les règles avaient changé et manifestement Romain était au courant. « Alors, il paraît que tu as jeté Axel durant les grandes vacances ? ». S’il était vrai que nous n’étions plus ensemble – et que de fait, je devenais célibataire – il est absolument faux de croire que c’est moi qui avait jeté Axel.
C’est plutôt l’inverse qui s’était produit. Il avait rencontré une petite blonde, et ça s’était fini de la sorte. Mais j’ai acquiescé en leur laissant croire que c’est moi qui dominais la situation. Ils m’ont alors dit « Et du coup ? On peut essayer de te choper maintenant ? ». J’étais sûre qu’ils avaient bavé sur moi toute l’année dernière, et j’étais prête à leur accorder une récompense pour avoir aussi bien tenu le coup.
Ils se sont mis à deux pour retirer mon petit top et je me suis laissée faire. Ils ont ensuite sorti leur bite en dehors de leur pantalon et me l’ont placé au niveau de la bouche. J’avais l’odeur de leurs deux membres me pénétrant les narines. C’était un mélange à la fois marin et boulanger. La légèreté du sel et la chaleur d’une peau transpirante. Peut-être qu’un peu d’urine parfumait le tout, mais je préférais ne pas y penser. Il vaut mieux un esprit vide quand il s’agit de se faire remplir.
J’ai tourné la tête à droite, puis à gauche, tel un pantin indécis. Laquelle allait-elle être dégustée en premier ? C’est Romain qui a eu le droit de toucher ma bouche en premier, et Kylian s’est placé derrière à l’assaut de mon cul.
Il a baissé mon jean sur mes genoux et j’ai accentué la cambrure de mon dos. J’ai toujours trouvé que cela améliorait la façon dont mes fesses s’en trouvaient exposées. Kylian s’emmêlait dans ma petite culotte rose, il ne savait comment la placer.
Il tirait maladroitement sur l’élastique dans tous les sens, en frottant sa queue sur mes deux petites miches.
N’y tenant plus, il a finalement baissé ma petite culotte, révélant à l’air libre mes deux orifices suintants de mes liquides.
Il a léché mon trou du cul et enfoncé son doigt bien fort dans ma chatte. Waouh ! La sensation était telle que j’en ai perdu la bite de Romain que j’essayais de gober du mieux que je pouvais. Quelle attaque ! Romain, un peu triste que sa queue se retrouve soudainement à l’air libre, m’a prise par les cheveux et m’a incitée à venir la gober à nouveau.
Je me suis exécutée sans aucune autre forme de procès. J’ai pompé, pompé, pompé, comme lorsque l’évier est bouché et que vous avez besoin d’aspirer tout ce qui bloque. Je devenais assoiffée du jus de Romain. Kylian, de son côté, continuait toujours l’exploration de mon intimité, tel Christophe Colomb découvrant l’Amérique.
Enfin, il se décida à agir ! Il baissa de son côté son pantalon, et agita son gland contre mon anus. Je sentais mes petits plis se distendre pour laisser passer son membre. J’ai bien écarté mon cul avec mes doigts pour le laisser passer le plus profondément possible.
Pourquoi n’est-il pas passé directement par mon sexe bien lubrifié ? Le mystère reste totalement complet… En tout cas, il a dû cracher sur son sexe et sur mon cul pour avoir un droit de passage.
Il s’enfonçait dans mon intimité le plus doucement possible, et heureusement ! Il n’y a rien de pire pour vous couper du sexe qu’une sodomie trop brutale façon marteau-pilon ! Une douleur tellement atroce qu’elle peut vous couper de toute libido pendant des semaines entières. Romain, de son côté, restait très calme. Il s’est même assis pour que je puisse le sucer comme je le sentais, sans trop me forcer.
Heureusement, parce qu’avec une bite dans le cul je n’avais pas très envie d’avoir la tête qui se trimballait dans tous les sens ! Il faut savoir rester concentrée dans ces moments-là, un faux mouvement avec son cul – et bim – on se retrouve avec une petite déchirure.
« Je peux t’enculer aussi, s’il te plaît ? », a manifesté tout d’un coup Romain, visiblement mis sur le carreau. J’ai répondu que je n’y voyais absolument aucun inconvénient et je suis venue m’enfoncer sur lui, les fesses bien écartées. Mon trou avait conservé la forme de l’engin de Kylian, il était donc beaucoup plus facile pour Romain de passer après.
Je me suis alors demandée ce que ça lui faisait d’avoir encore la mouille de son pote dans mon cul. Peut-être qu’il trouvait cela excitant. Peut-être qu’au fond de lui, il aimait bien aussi les fluides masculins ? Ma réflexion n’a été que de courte durée car Kylian, certainement jaloux d’avoir été exclu de la pénétration, a décidé de s’attaquer à ma chatte, qui était bien évidemment encore disponible.
C’est la première fois que je faisais l’amour à plusieurs, et donc la première fois qu’une double pénétration était envisagée sur ma petite personne.
Au début, j’ai hésité. Peut-être allais-je avoir très mal ? Peut-être vais-je être secouée dans tous les sens tel un cocotier, balancée par les deux verges qui me prennent chacune de leur côté.
Mais bon, je me suis laissée prendre à leur jeu. Après tout, on a qu’une vie, comme on dit ? Kylian est donc venu un peu plus près de mon minou, la queue à la main, comme s’il tenait une arme. Il l’a collée à ma fente.
Pour ne rien vous cacher, j’avais un peu de mal à la sentir sachant que Romain me bourrinait comme un porc à l’arrière. J’ai fermé les yeux. Et Kylian est rentré, d’un coup brut. Ça m’a fait un peu crier sur le coup, puis je me suis rappelé que mes cloisons étaient assez fines et que je devais garder mes petits bruits d’animaux pour moi.
Avec Axel, mon ex donc, nous provoquions régulièrement des plaintes de la part de mes voisins qui se soldaient par des messages dans le couloir ou dans l’ascenseur pas toujours aimables. Enfin bref, je me suis doutée que je n’allais pas tenir hyper longtemps dans cette position. J’ai demandé à Kylian de venir finalement me la fourrer dans la bouche.
Beurk, bon c’était un peu dégeu parce que le goût de la cyprine avait totalement recouvert sa teub, mais en deux ou trois coups de langue, on pouvait arriver à terme. Je me suis ensuite mise à quatre pattes pour mieux le prendre en bouche, tel un animal. Je ne vous ai pas dit ? Romain me la fourrait dans le cul tout du long, sans bouger entre mes différentes positions. Un réel pro, non ? Je me suis dit qu’il était grand temps qu’il soit récompensé à sa juste valeur.
J’ai arrêté de sucer Kylian deux minutes, et je me suis penchée pour mieux me tenir sur le canapé. Romain m’a agrippé les hanches bien fermement, et dans cette position, a pu faire entrer sa bite de quelques centimètres supplémentaires dans mon intimité anale. Mmh, qu’est-ce que c’était bon. Je ne sais pas exactement quelle zone précise il a pu toucher, mais je me souviens encore de la vague de plaisir que cela m’a procurée !
C’était absolument addictif. Je sentais Romain qui commençait à gémir de plus en plus bruyamment à l’arrière de moi. Je savais que chez la plupart des mecs, c’est le signal annonciateur d’une éjaculation. Nous les filles, comme nous ne voyons rien à rien (pas comme les mecs qui peuvent plus facilement mater la pénétration), nous nous fions à notre ouïe pour savoir avec précision quand ça sort.
Et – bam –, ça n’a pas raté ! Romain m’a envoyé la purée dans les quelques secondes qui ont succedé ma réflexion. Son sperme chaud coulait le long de ma cuisse, c’était absolument divin. Vous vous souvenez de la promesse des garçons au début de mon histoire ? Ils devaient m’aider à faire le ménage une fois les réjouissances finies. Eh bien, j’aurais dû écouter ma mère qui me disait que les garçons mentent tout le temps.
Kylian s’est branlé au-dessus de ma table basse en verre et m’a dit « Je vais tout juter ! Je vais tout juter ! Et toi, Alicia, tu feras le ménage… mais pas avec l’aspirateur, hein ? Avec ta langue ! ».
Pensez-vous que je l’ai écouté, l’animal ?
Eh bien, oui. Avec plaisir, même. Une fois que le liquide blanc a recouvert ma table immaculée, je me suis mise à la nettoyer comme une petite chatte.
Et les hommes se sont quand même emparés de l’aspirateur de bon cœur.