La bosse me mets la bosse !
26 décembre 2024Marina reçoit Gaëtan, son responsable en ressources humaines, qui doit lui présenter sa dernière recrue : le charmant Andreas. L’excellent profil d’Andreas saura très rapidement séduire sa boss et la convaincre de lui verser un bonus en nature.
Je suis assise dans mon bureau, entourée par le luxe qui m’est familier. Le mobilier en bois sombre, impeccablement verni, contraste avec les murs pourpres, ornés de tableaux d’art contemporain.
Rien ne dépasse, tout est à sa place. Même les fenêtres, qui donnent sur la ville en contrebas, sont soigneusement encadrées par d’épais rideaux noirs. Mon tailleur, sur mesure, épouse mes courbes avec élégance.
On peut apercevoir le galbe de mes seins rehaussé par les boutons très serrés de ma veste.
J’aime ce pouvoir de séduction subtil, qu’il soit pour mes clients ou mes collaborateurs. C’est ma marque de fabrique.
La porte s’ouvre doucement et Gaëtan entre avec son assurance habituelle. Il porte un costume noir rayé parfaitement taillé qui met en valeur sa silhouette athlétique.
Ses yeux bleus pétillent alors qu’il me sourit. Gaëtan a toujours su comment capter mon attention, même si entre nous, c’est presque purement professionnel. « J’ai trouvé une pépite, Marina » annonce-t-il en prenant place devant moi. Je l’invite à s’expliquer d’un geste. Ses mains se posent sur le dossier en cuir du fauteuil alors qu’il se penche légèrement en avant.
« Il s’appelle Andreas. Ce type est un as du volant, capable d’avaler près de 1000 kilomètres en une journée, même sur les routes les plus difficiles. Je parle de celles qui zigzaguent en montagne, des itinéraires que même les plus expérimentés évitent. » Je fronce les sourcils, intriguée. Gaëtan a l’œil pour repérer les talents, mais une telle endurance est rare. « Il est jeune, à peine la trentaine, mais il a déjà une solide expérience. Et son physique… tu vas voir par toi-même. »
Gaëtan termine sa présentation avec une satisfaction visible. Son regard s’attarde un moment sur moi, comme s’il cherchait à lire ma réaction. Je l’écoute avec attention, le jaugeant du regard. Si Andreas est aussi bon que Gaëtan le dit, il pourrait devenir un atout précieux pour l’entreprise, surtout avec les nouveaux contrats que nous venons de décrocher.
Quelques instants plus tard, la porte s’ouvre à nouveau. Andreas entre et, immédiatement, je comprends ce que Gaëtan voulait dire. Il est grand, musclé, vêtu simplement d’un jean et d’un tee-shirt noir qui met en valeur ses bras tatoués. Son allure est décontractée, mais son regard est déterminé. Il me salue d’une voix grave, et je lui rends son salut en lui demandant de s’asseoir.
« Alors, Andreas, parlez-moi de vous » dis-je en croisant les jambes, consciente de l’attention qu’il porte à chacun de mes gestes.
Il se lance dans une description concise mais précise de son parcours. Dès son adolescence, il a su que la route serait son domaine. Il parle de ses premières expériences avec une passion indéniable, évoquant les heures passées à perfectionner sa conduite, à maîtriser des routes que d’autres auraient considérées comme suicidaires.
Ses yeux s’illuminent lorsqu’il évoque les défis qu’il a relevés, notamment les longues distances parcourues sans faillir, même dans les conditions les plus difficiles.
Je l’écoute attentivement, pesant chaque mot. Andreas n’est pas simplement un chauffeur, c’est un passionné, un homme qui vit pour la route et qui voit chaque trajet comme un défi personnel. Je suis impressionnée par son assurance, mais aussi par l’humilité qu’il dégage.
Malgré ses compétences, il ne se vante pas, il énonce simplement les faits, laissant son expérience parler pour lui.
Je pose quelques questions supplémentaires, testant sa réactivité, sa capacité à résoudre des problèmes en situation d’urgence. Ses réponses sont claires, précises, montrant qu’il a non seulement l’endurance, mais aussi le cerveau pour gérer les imprévus. Il est rare de rencontrer quelqu’un d’aussi complet.
Quand l’entretien touche à sa fin, je lui lance un regard appuyé, un sourire aux lèvres. « Je pense que nous allons bien nous entendre, Andreas. » Il sourit en retour, un sourire qui dévoile une certaine confiance en lui, mais aussi une reconnaissance pour l’opportunité que je m’apprête à lui offrir.
« Nous avons l’habitude de remercier nos salariés avec des bonus… très particuliers. Je pense que cela peut vous plaire. »
Je m’approche de lui et me mets à genoux. Je sens dans le regard d’Andreas un moment d’hésitation. Il ne comprenait pas ce que je souhaitais, où je voulais en venir… ou peut-être avait-il peur de comprendre. J’ai posé un doigt sur la braguette de son jean et je l’ai interrogé du regard : « Je peux ? »
Si son corps s’est transformé en celui d’une statue, totalement statique, ses yeux, eux, trahissaient l’impatience. La bosse qui déformait son jean témoignait de son envie que je le goûte. J’ai alors ouvert sa braguette et j’ai sorti sa queue. Comme tout son comportement le laissait évoquer, il était doté d’un membre particulièrement impressionnant. Une belle grosse bite très dure et bien longue.
Quand j’ai commencé à le sucer, Gaëtan, qui était resté discret derrière nous s’est avancé. Il avait l’habitude de mes « bonus » exceptionnels et savait qu’il avait lui aussi droit à la part du gâteau. J’ai également sorti sa bite et je me suis mise à les sucer alternativement : l’un à droite, l’autre à gauche.
Je comparais leur deux queues bien dures. Celle de Gaëtan, je connaissais déjà et elle m’apportait toujours beaucoup de satisfaction. Celle d’Andreas, que je découvrais alors avec beaucoup d’émerveillement, avait en plus le goût de la nouveauté.
La situation n’a pas entamé l’assurance d’Andreas.
Et, alors que j’étais occupée avec la bite de mon collaborateur en bouche, il m’a fait me retourner et m’agenouiller, a baissé ma culotte sans même me demander la permission, puis s’est mis à me besogner d’un coup. Sa prise d’initiative m’a fait chavirer.
J’ai senti ma petite chatte s’ouvrir brusquement au contact de son énorme chibre, comme une huître que l’on ouvre d’un coup sec avec un couteau adapté. Très rapidement, ils ont inversé les rôles. Gaëtan a profité de l’initiative de sa dernière recrue pour reprendre très vite sa place de mâle dominant.
C’était maintenant lui qui était derrière moi pendant que je me délectais du pénis d’Andreas. Les fluides qui le recouvraient alors apportaient un petit goût salé sur ma langue. Il s’est baissé et m’a chuchoté à l’oreille : « Je peux essayer votre cul, boss ? » La demande était absolument charmante ! Bien sûr, pourquoi ne pas essayer également mon petit orifice ?
Il s’est placé à côté de Gaëtan et a massé le pourtour de mon anus. Manifestement, il a dû le trouver assez souple car il a commencé à y frotter son gland très délicatement. Pendant ce temps, Gaëtan continuait à utiliser ma bouche comme une vaginette en admirant les prouesses de son prodige.
Est-ce qu’Andreas était réellement un conducteur hors-pair, prêt à s’insinuer dans les chemins les plus difficiles ? Est-ce que son gros camion passerait dans les passages les plus sinueux ? Prouvant qu’il ne pouvait pas faillir à sa réputation, Andreas a réussi, centimètre par centimètre, à s’enfoncer en moi. Il me démontrait alors, qu’au volant d’un camion ou dans le sexe, il avait la patience et la dextérité nécessaire pour mesurer les manœuvres les plus compliquées.
J’ai entendu Gaëtan pouffer d’admiration. Je suis sûre qu’il était d’autant plus fier de son recrutement maintenant qu’il découvrait tout le potentiel de son jeune poulain. « Et si nous collaborions sur cette mission ? » s’est-il amusé en se faufilant aussi derrière moi.
Je n’avais jamais essayé encore de double pénétration et je n’étais pas sûre que mon corps accueille un tel remplissage. Mais j’étais prête moi aussi à me montrer à la hauteur des défis. Il fallait que je leur montre que je restais forte face à l’adversité. Gaëtan s’est allongé et m’a fait grimper sur lui pour une première sodomie.
Heureusement, c’est Andreas qui gérait la partie la plus difficile, la partie haute. Il a levé une de mes jambes pour que mon bassin soit dans le meilleur angle. Il m’a regardé tendrement et m’a demandé si tout allait bien.
J’ai poussé quelques gémissements éloquents, ceux qui affirment ma puissance de femelle dont les orifices sont comblés.
Avec une douceur infinie, il a réussi à trouver sa place entre mes deux lèvres, malgré la bite de Gaëtan bien dure et bien enfoncée dans mon cul. Le conduit était particulièrement étroit et il fallait un talent indéniable pour pouvoir s’insérer sans expulser son camarade. À nouveau, Andreas démontrait que quel que soit le tunnel, il avait les compétences pour manœuvrer en zone tendue.
Cette double dilatation, je l’ai vécue d’une façon absolument somptueuse. C’était un plaisir inouï, je savais déjà que j’aimais beaucoup l’anal, mon conduit très serré était un habitué des plaisirs sodomites, mais combiné au plaisir vaginal, cela en devenait divin. Je me caressais les seins et le ventre en même temps, mon corps était en feu, quelque part, il ne m’appartenait plus.
J’ai complètement lâché mon contrôle de directrice, ma tête est tombée à la renverse, mes yeux se sont révulsés et mon esprit est parti ailleurs. Je l’ai laissé vagabonder, errer parmi les vagues de plaisir qui me submergeaient. J’étais loin. Loin de mon bureau, de mes dossiers, de mon ordinateur, de mes collaborateurs. Je planais au-dessus des nuages les plus hauts, dehors, encore plus loin, dans une autre galaxie, une autre dimension.
Et soudain, je suis redescendue. Un puissant orgasme m’a emportée et a fait trembler tous les muscles de mon corps. Je convulsais entre les bras de mes deux amants.
J’ai pris de longues secondes à revenir parmi eux, mon esprit est petit à petit réapparu dans mon corps. J’étais là, dans mon bureau. Et j’étais bien. Parfaitement détendue, docile et décontractée.
Ils ont alors mis fin à leur double pénétration, pour une petite pause bien méritée. Gaëtan m’embrassait tendrement sur la bouche tandis qu’Andreas restait en retrait, de façon plus effacée. Il ne savait plus vraiment où se mettre, mais je pense qu’il ressentait tout de même la satisfaction du devoir accompli.
Il cochait vraiment toutes les cases de l’employé modèle. D’un commun accord, mes deux collaborateurs ont décidé d’éjaculer sur mon corps. Je les voyais se masturber, à quelques centimètres à peine de mon visage. J’ai pressé mes deux seins l’un contre l’autre pour les rendre plus gros.
C’est Andreas qui a déchargé le premier, jetant sa purée sur mes lèvres entrouvertes. Je laissais son sperme couler le long de mon menton tout en le défiant du regard. Puis, je me suis tournée vers Gaëtan pour avoir le rab. Il m’a tenu la tête pour l’asperger à son tour de sa semence. J’ai laissé les deux coulées blanchâtres se mêler l’une à l’autre. Je jouais avec espièglerie avec leurs liquides et je voyais à leur regard qu’ils appréciaient cette petite perversion.
« Bien Andreas ! » ai-je clôturé d’un ton sec en me redressant. « Je vous remercie pour votre dévouement au sein de la société.
Si vos kilométrages sont bons, nous délivrerons votre bonus dans ce bureau de façon hebdomadaire. Si vous y consentez, bien sûr. » Son regard était plus qu’enthousiaste et il s’est enfuit en rougissant, avec mille remerciements à mon égard.
Gaëtan et moi avons éclaté de rire tout en nous gargarisant d’un talent indéniable : pour sûr, nous savions comment maintenir nos employés motivés !