Un travail de pro

La rédaction 20 février 2023

Je m’appelle Paola, j’ai 25 ans et j’aimerais partager une histoire porno. Je suis secrétaire dans un cabinet de dentiste, un job qui m’a permis de passer des moments très hot l’été dernier.

En tête à tête avec mes patrons

À la toute fin du mois d’août, nous devions nous rendre avec mon patron et son associé à une convention dentaire. Rentrer de vacances plus tôt pour le boulot, je n’étais pas enchantée… Heureusement, mes deux boss étaient plutôt sympa, et surtout, la convention avait lieu à Hyères. Hôtel offert, buffet à volonté et plage, ça valait le coup de se taper quelques conférences ennuyeuses !

Dès mon arrivée, j’ai vu que mes patrons étaient de bonne humeur. Éric, le big boss, était bronzé, ce qui le rendait vraiment séduisant. Quant à Stéphane, il m’a complimentée sur ma bonne mine avec un sourire jusqu’aux oreilles.

Le soir, après le dîner de présentation, on est allés au bar tous les trois. J’étais assez mal à l’aise : d’habitude, j’aime bien garder une certaine distance au boulot, mais à la troisième margarita, j’ai compris que ça allait être compliqué…

« Alors, Stéphane, tu as dit à Paola que tu avais lâché ta copine ?« , a soudain lancé Éric. J’ai avalé mon cocktail de travers. Stéphane m’a regardée par en dessous : « Pas sûr que ça intéresse Paola… Si ? » J’ai gloussé, gênée : « Je suis désolée pour vous, mais il y a plein d’autres jolies femmes autour de vous. Rien qu’à la convention… » Stéphane a répondu du tac au tac : « Il y a vous, déjà ! »

Éric est parti dans un grand éclat de rire : « Champagne ! Stéphane se lâche et déclare sa flamme à Paola ! » Et de crier au serveur du bar : « Des bulles fraîches, allez ! On va monter tout ça dans la chambre de la jeune fille. »

J’ai regardé mes patrons, bluffée par le tour que prenait la soirée. Éric, la petite quarantaine, un vrai sourire de séducteur, des cheveux bruns et un torse musclé sous sa chemise blanche… Stéphane, plus discret mais très beau, avec des traits fins et une jolie bouche… Sous le charme, j’ai lâché : « OK, ça marche, on monte. »

À trois dans ma chambre

Dans la chambre, j’ai décidé d’arrêter avec mon professionnalisme un peu coincé. Ils voulaient s’amuser ? Moi aussi. Je me suis assise sur le lit et j’ai souri. Stéphane s’est approché et m’a caressé les cheveux, pendant qu’Éric faisait péter le bouchon du champagne. J’ai bu directement au goulot, une douce chaleur envahissant mon corps.

Lentement, j’ai ouvert les cuisses… Stéphane m’a regardée avec une telle intensité que j’ai perçu son désir jusque dans mes reins. Il s’est agenouillé devant moi et a entrepris d’enlever ma culotte, puis l’a portée à son visage. « Tu sens si bon…« , a-t-il murmuré en la humant.

Flattée et très excitée par ce geste, j’ai écarté grand les jambes. Éric, maintenant assis dans le fauteuil du coin de ma chambre, avait sorti son sexe et se caressait en tenant son portable de l’autre main. J’ai pris la pose. Cambrée, ouverte, je me suis laissé photographier et mater comme jamais.

De plus en plus chaude, j’ai fini par me mettre à quatre pattes devant mes admirateurs, leur offrant mon cul. Stéphane, jusque-là immobile, s’est écrié : « Je n’en peux plus !« avant de plonger littéralement vers moi. Sa langue très douce est venue lécher mon petit trou puis ma vulve, avec tant d’ardeur que j’étais projetée en avant. Derrière, j’entendais Éric grogner dans son fauteuil.

Je mouillais comme une dingue. Stéphane s’est relevé et a sorti une belle queue, un peu courbée sur la gauche et barrée de poils clairs. J’ai fermé les yeux et j’ai senti sa tige écarter mes lèvres et venir se planter dans mon minou, d’abord de façon hésitante, puis de plus en plus fort, m’arrachant des cris de plaisir. « Vas-y, mon Stéphane, fourre-la bien !« , a balancé Éric.

Le dard en main, il se paluchait comme un fou, le regard aimanté par ma croupe et ma minette que son associé limait à fond. Stéphane, encouragé, a donné un coup de reins si puissant que je me suis retrouvée la tête dans l’oreiller. J’ai mordu le coussin et joui dans un râle, suivie de près par Stéphane.

La fente en feu, les lèvres collantes de foutre, j’ai relevé la tête, pour voir Éric lâcher trois beaux jets blancs en me souriant. La fin de la convention s’est surtout passée dans ma chambre et à la plage, sous l’objectif d’Éric et les caresses de Stéphane. Et cette année ? Puisqu’on est une super équipe, on recommence !

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