Derrière la fenêtre

La rédaction 12 février 2023

Je m’appelle Alain, j’ai 39 ans et je suis marié depuis quatorze ans. Ma vie sexuelle avec ma femme évolue, mais cette évolution est trop lente pour ma libido plutôt envahissante. Alors j’ai toujours recours à la masturbation intensive. Je me refuse à tromper mon épouse, je l’aime comme un fou. Il m’arrive fréquemment de me goder. Même si je suis un hétéro confirmé, j’y prends beaucoup de plaisir. Depuis peu, j’intensifie ce jeu avec des maîtresses virtuelles qui me regardent m’exhiber devant ma cam, gode à la main. Ce qui m’a donné l’occasion de vivre un moment excitant à souhait et l’envie de vous partager mon histoire porno.

Isolé pour se goder

Il y a quelques mois, j’étais en ligne avec une jolie « MILF« que cela excite à fond. J’habite une maison très isolée, ma femme était en déplacement, et les enfants chez leurs grands-parents : aucune inquiétude à avoir. J’étais entièrement nu, et j’avais emprunté à mon épouse, à la demande de ma maîtresse, des porte-jarretelles et des bas blancs. Je jouais avec un gros godemichet noir à ventouse monté sur une ceinture, que j’avais acheté à sa demande. Je me godais sans aucune pudeur !

Elle semblait très excitée, et je l’ai sentie changer de ton. Ses requêtes se sont faites plus spécifiques : elle m’a ordonné de me mettre à quatre pattes devant l’écran, ultra cambré. Par ma fenêtre, j’ai eu, à un moment, l’impression de voir une silhouette ; impossible pourtant, car j’ai un Saint-Bernard de 80 kg qui monte la garde dans la cour ! J’ai donc continué à exaucer les souhaits de ma maîtresse virtuelle. Elle voulait ensuite voir mon visage lorsque le gode serait tout entier dans mon fondement. Mes fesses étaient tendues vers la fenêtre, je me suis fourré avec vigueur avant de jouir très intensément. Je me suis roulé sur le dos au moment de l’éjaculation. Les premiers jets sont passés au-dessus de mon visage, mais le troisième est venu se poser sur ma joue (douce sensation d’ailleurs). J’ai sorti le gode, laissant mon anus béant à la lumière de la fenêtre, comme une nature morte !

Pris en flag de sodo !

Ma correspondante ajoutait à ma satisfaction en me félicitant de l’entrain exprimé, et pouffait bêtement en me traitant de cochonne ! Tout à coup, on a frappé à la porte ! J’ai gardé mes bas, enfilé un pantalon de jogging par-dessus, passé un vieux T-shirt, puis je suis allé ouvrir : c’était une jeune factrice, une remplaçante. Elle a bafouillé qu’elle s’était permis d’entrer, vu que la barrière n’était pas fermée et qu’elle ne voyait pas le chien annoncé par le panneau. Elle avait les joues rouges et le regard fuyant. Elle baissait les yeux, et n’a pu s’empêcher de sursauter en voyant mes pieds gainés de blanc.

Situation troublante, de me retrouver ainsi devant cette jeune factrice d’à  peine 25 ans, avec mon anus certes caché mais encore palpitant. J’ai signé, pris le recommandé, et elle est partie en vitesse. Amusé, je me disais : « Si elle savait…? Je suis revenu au PC, ma complice avait quitté la conversation en me laissant pour seul message : « Cette salope te mate depuis un bon quart d’heure par la fenêtre du fond… LOL ! »

Longtemps, je suis resté honteux de cette expérience, mais j’y repense souvent. Et aujourd’hui, sachez, Madame la factrice, que, si vous le souhaitez, je vous prête un gode-ceinture et je m’offre à vous ! Si vous êtes lectrice, vous vous reconnaîtrez ! Merci à tous les lecteurs pour leurs récits croustillants, en espérant que le mien, bien que particulier, vous plaira tout autant.

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