
Road trique
13 novembre 2025Mylène et Pamela sont parties découvrir l’Amérique, son gigantisme, sa légendaire route 66, ses americans truck’s avec leurs longs nez et…si l’occasion se présente, pourquoi ne pas goûter à l’ivresse des grandes plaines dans les bras de quelques cowboys modernes !? Qui de mieux placés que les routiers du Texas, ces hommes qui domptent des machines développant plusieurs centaines de chevaux, pour leur faire voir du pays !?
Mylène et Pamela en étaient à la moitié de leur séjour étasunien et ne comptaient plus les heures passées dans les trains, les bus et les lignes intérieures. Une envie de changement et d’aventure les hantait depuis quelques jours…, quelque chose d’authentique, sur les traces des pionniers d’antan. Alors quoi de mieux, pour se lancer dans l’inconnu, que de faire de l’auto-stop en petite tenue ?

Elles s’étaient amusées entre elles, bien sûr, dans les chambres des motels dans lesquelles elles étaient descendues, mais rien ne remplaçait une bonne queue, un homme viril prenant l’initiative, bref, un mâle, un vrai !
La chance voulut qu’un camion, dont la cabine était assortie à la tenue de Mylène, s’arrête dans la station-service où elles avaient échoué, pour faire le plein. Le binôme de conducteur qui en sortit les repéra immédiatement et, tandis que le pompiste remplissait les énormes réservoirs, se dirigea vers elles sans hésiter.
Les filles s’échangèrent des messes-basses, elles s’accordèrent très rapidement sur le fait qu’elles trouvaient ces deux forçats de la route très sexy et très hot, encore fallait-il se les répartir.
Ce serait celui à la chemise rouge pour Mylène, le second, en chemise à carreaux, serait dévolu à Pamela. Les deux chanceux n’eurent même pas le temps de dire « Hello » que les femmes passaient à l’action. Pamela écrasa sa cigarette sous l’une de ses semelles tandis que Mylène la devançait et allait plaquer sa bouche avec voracité sur les lèvres de sa proie. La rattrapant, son amie blonde se perdit en mille caresses onctueuses sur le torse du second beau gosse.
Le soleil était de plomb, les corps se liquéfiaient dans l’air qui vibrait autour d’eux tant la température était élevée. Le pompiste les interpella juste au moment de bascule, les réservoirs étaient pleins, le pare-brise nettoyé. Puis il s’éclipsa non loin, une intuition lui disant qu’il allait y avoir du spectacle… bien lui en prit !
Le quatuor se rapprocha de l’immense nez allongé du camion rutilant, l’ombre qu’il créait autour de lui serait bien plus propice à leurs ébats que le tarmac chauffé à blanc par des rayons implacables, d’autant que la chaleur des corps en émois était encore montée de quelques degrés. Ces dames avaient extrait les queues bandantes des deux routards, bielles bien raides qui affichaient des érections d’airain.
Les pénis avaient tout de leviers de vitesse de semi-remorques. Les tiges rigides étaient massives, longues, lourdes, dressées tels les mâts portant fièrement les bannières étoilées tout autour de la station. Elles n’attendaient qu’une chose, des lèvres féminines et généreuses qui les accueilleraient en leur sein ou plutôt, dans leur bouche. Ce fut chose faite dans l’instant.
Mylène et Pamela, jusqu’alors en manque de masculinité, étaient servies !

Les sexes de ces messieurs ne dérogeaient pas à la règle. De vraies queues de taureaux – au pays des rodéos, quoi de plus normal – assorties à des paires de couilles bien pleines qui ne demandaient qu’à déverser leur semence en quantité pour le plus grand bonheur de ces dames.
Les chromes des calandres et des jantes étincelaient au soleil. Mylène et Pamela se ruèrent sur les bites tendues !
Perchées sur leurs hauts talons, la blonde se pencha debout sur le premier mastodonte, tandis que la brune s’accroupissait afin d’envelopper le second de ses lèvres pulpeuses. Les phallus prirent encore en volume, réagissant aux pipes qui débutaient tout en légèreté et en souplesse linguale. Les filles agaçaient les glands, longeaient les hampes interminables, effleuraient les bourses, pour mieux remonter et engouffrer la totalité des colonnes dans un concours de gorges profondes qui déstabilisa les deux mâles.
Le souffle court, les abdominaux contractés, les chauffeurs routiers étaient concentrés, ne quittant des yeux leur propre bienfaitrice que pour jeter un regard à son voisin, béat de plaisir, osant à peine bouger de peur de rompre le charme de la scène en cours.
Impossible pour eux de ne pas posséder ces deux amantes exceptionnelles, se dénudant en quelques gestes nerveux, ils montèrent de concert dans leur cabine afin d’y arracher des plaids épais et moelleux sur lesquels ils invitèrent les deux beautés tombées du ciel à s’étendre.
Mais l’appétit de Mylène était sans fin, elle se lança de nouveau sur les bourses du plus musclé des deux à l’instant où Pamela se faisait entreprendre debout, à la hussarde.
Les coups de boutoir qu’elle recevait étaient si puissants qu’elle avait du mal à garder le gland libre en bouche. Au bord de la jouissance, elle abdiqua et s’offrit, jambes écartées, allongée sur la couverture aux motifs tribaux. Celui qui était en train de la prendre à la verticale eut tôt fait de la rejoindre à l’horizontale et de faire montre de toute la palette de ses talents de baiseur !
Agaçant le clitoris du bout du gland, faisant mine de pousser sur ses reins pour la pénétrer, mais reculant au dernier moment, venant jouer avec l’anus qui palpitait à chaque contact, pour, in fine, se laisser absorber par le vagin moelleux et étriqué d’une Pamela en pleine pâmoison.
Mylène s’évertua à prolonger sa fellation le plus longtemps possible, en vain, lutter contre son instinct se révéla irréalisable et elle se faufila entre les cuisses de son amie afin de se lover, corps féminin contre corps féminin en un soixante-neuf torride. Elle offrit ainsi son petit trou poivré et luisant de mouille au premier vit disponible. Ce dernier s’empressa de passer par la bouche de Pamela qui l’enduisit de salive avant de le guider vers l’étoile serrée qui s’épanouit sans aucun effort.

Son anus s’étirait, se dilatait, s’ouvrait aux coups de reins systématiques et implacables de ce burin d’acier. Elle qui avait toujours adoré la sodomie, était servie. Le chibre qui lui fouillait le rectum était, lui semblait-il, de plus en plus épais, de plus en plus dur, les fragrances du sillon qu’elle lapait commençaient à signaler l’arrivée imminente du plaisir de son amie.
Quelques coups de bite et de langue plus loin et l’envolée commune fut au rendez-vous.
Pamela ne connaissait que trop les talents de lécheuse de Mylène, elle ne put, une fois de plus, repousser l’orgasme qui frémissait depuis un moment au cœur de sa perle poudrée. Un doigt féminin dans chaque orifice et l’étincelle jaillit, puissante, inexorable, elle consuma tout sur son passage, lui donnant des frissons jusque dans le cuir chevelu tandis que sa minette coulait de satisfaction jusque dans la raie de ses fesses.
Mylène, sentant sa complice s’abandonner sous ses coups de langue méthodiques et ses aspirations diaboliques, attendit sagement sa délivrance, retardant autant qu’elle le pouvait, l’advenue de son propre plaisir. Les tressaillements espérés finirent par déferler, Pamela feula tel un coyote et s’effondra, parcourue par des spasmes de bonheur. Mylène se concentra alors sur sa petite rondelle, instant précis que choisit son amante pour, à son tour, plaquer sa bouche gourmande sur la vulve ouverte.
La double ignition eut lieu au niveau du cul et du sexe en même temps, retournant son cerveau, son esprit et la laissant pantelante dans une mare de cyprine délicieusement iodée.
C’est son vagin qui, maintenant, réclamait son dû. Elle lâcha sa position dominante pour écarter les cuisses, de nouveau, à l’un des deux cowboys, et laissa la main de celle qui continuait à laper son bourgeon guider la barre veinée jusqu’à son anfractuosité rose et humide.
Une simple poussée et la queue disparut en elle jusqu’à la garde. Une main, aux ongles peints de bleu, vint mourir sur les bourses qui semblaient couler tant elles étaient volumineuses, tout en s’appliquant, une nouvelle fois, dans un cunnilingus léger et vaporeux.
Elle accompagnait voluptueusement les amples va-et-vient, les paupières closes, jusqu’à être interrompue par l’homme resté en retrait. Lui aussi voulait passer aux choses sérieuses alors qu’il s’adonnait à un onanisme mécanique en regardant la scène qui se déroulait sous ses yeux.

Pendant ce temps, l’oreille attentive aux gémissements qui provenaient de l’habitacle, Mylène, cuisses écartées et relevées au-dessus d’elle, laissait toute la dextérité de son amant se déployer.
Deux phalanges plantées au fond de son antre, une langue bien pendue se tortillant frénétiquement sur son clitoris, elle se laissait branler et manger, de son trou du cul à son bourgeon, avant d’être invitée à monter carrément sur l’avancée gigantesque du capot brûlant. Chaussettes aux pieds, c’est un homme totalement nu, musculature saillante, qui l’embrocha sans coup férir, une épée n’aurait pas mieux empalé sa cible !
Les reflets, dans les rétroviseurs et dans les chromes, démultipliaient les silhouettes, tant et si bien que Mylène et Pamela se dédoublaient presque à l’infini, vision troublante de leurs jumelles miroitantes qui, elles aussi, se donnaient à de parfaits inconnus, leurs peaux luisant au soleil, la sueur coulant sur leur visage et leur chute de reins.
Toutes et tous suffoquaient, les deux amies avaient joui, une fois, deux fois… elles ne comptaient plus leurs orgasmes à vrai dire et elles comprirent que ces messieurs avaient un timing à respecter, la gaudriole d’accord, « but business is business » … Leurs talents buccaux n’étaient plus à démontrer, elles invitèrent donc les deux cowboys des temps modernes à redescendre sur le plancher des vaches et reprirent là où elles avaient commencé.
Cette fois-ci totalement nues, elles pouvaient sucer les deux queues énormes tout en échangeant baisers et caresses. La main de l’une se perdait sur les couilles de celui qu’elle ne pompait pas, l’autre glissait des doigts curieux dans les anfractuosités de son amie et les ressortait couverts d’une mouille dense et parfumée, qu’elle donnait à lécher à l’un ou à l’autre des deux mâles au visage de plus en plus empourpré par la montée inexorable du plaisir.
Aréoles libres, tétons fièrement dressés, chacune se donnait au maximum dans l’exercice si délicat de la fellation, surtout quand les bites à accueillir en bouche sont si grosses ! Mais elles attisaient sans relâche la sensualité de l’autre et, durant toute l’opération, aucune n’oublia d’effleurer qui une hanche, qui un sein ou bien encore une vulve émue et débordante de cyprine chaude et sirupeuse.
Ces attentions entre femmes n’échappèrent pas aux deux Texans chanceux, au contraire ! Ils se penchèrent tous deux en arrière, unis par un clin d’œil entendu, et, tout en contrôlant leur éjaculation, firent durer le plaisir, se repaissant du spectacle complice et lesbien qu’il leur était donné d’admirer.

Le premier à abandonner fut celui que Mylène pompait. Entre ses seins qui ballottaient et ses mains qui s’aventuraient jusque sur les fesses de son camionneur, il ne put tenir plus longtemps.
Il se recula vivement et attrapa sa belle bite à pleine main, lui imprimant un vibrato de plus en plus rapide.
Le poing serré sur la colonne rubiconde, la première trace de sperme macula un nichon, puis l’autre. Face à ce gâchis, Mylène ouvrit grand la bouche et sorti sa langue, montrant ainsi clairement le bon chemin pour les jets suivants. Le foutre onctueux se répandit sur sa muqueuse et coula lentement jusqu’au fond de sa gorge.
Pamela eut droit exactement au même traitement, la semence fusa pour barbouiller sa poitrine.
Les yeux fermés, elle chercha désespérément son biberon dans le vide et finit par tomber sur le gland qui lâcha ses derniers trais de liquide séminal afin qu’elle en déguste tous les arômes et les parfums secrets.
Les contractions des abdos du plus musclé des deux finirent par lui vider entièrement les couilles.
Les deux chauffeurs se rhabillèrent sans un mot, embrassèrent Mylène et Pamela, puis leur claquèrent le cul, qu’elles avaient toujours nu, avant de remonter dans leur camion et de repartir de la station, tout en faisant exploser leurs énormes klaxons !
Les filles ramassèrent leurs effets. Les semi-remorques partis, le pompiste, queue à la main, fut pris la main dans le sac, ou plutôt sur le chibre.
Il n’était pas leur genre mais, prise de compassion, Pamela et Mylène se rapprochèrent de lui pour l’aider à se soulager… Trop tard, la tige écarlate crachat un petit éjaculat qui, sitôt répandu sur le bitume, sécha en un instant !
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antoine
Récit et photos très suggestifs, texte très bien écrit. une excellente distraction!
















