
Sur le capot sans capoter
30 octobre 2025Le voisin m’avait confié une tâche simple : arroser les plantes pendant son absence. Une mission banale, une de ces petites responsabilités qu’on accepte par politesse et qu’on oublie presque aussitôt. Ce jour-là, en arrivant devant son pavillon impeccable, je m’attendais à retrouver les géraniums assoiffés, pas une scène toute droit sortie d’un magazine étrange et vaguement interdit aux mineurs.

L’un d’eux était manifestement le modèle, athlétique, charismatique, avec ce regard droit qui évoque des ordres donnés sur un ton bas. L’autre, un photographe, s’agitait autour de lui comme un chorégraphe passionné.
J’ai hésité à avancer. J’étais en short, un petit modèle en coton qui n’avait jamais été conçu pour des apparitions publiques.
Mais leur regard m’a repérée, scannée, puis… invitée. Pas par des mots, mais par cette façon qu’ils avaient de sourire, comme s’ils m’avaient déjà intégrée au scénario.
« C’est pour un projet artistique », a dit le photographe, mi-sérieux, mi-amusé.
Le militaire, lui, s’est contenté d’un hochement de tête, mitraillette collée au corps. Solennel. Presque cérémonial. Je me suis rapprochée. Le soleil tapait sur le capot chaud de la voiture, et j’ai senti une tension étrange s’installer, un mélange de curiosité, de nervosité… et d’excitation inavouée. Le décor était absurde, une mise en scène à mi-chemin entre un film d’auteur et un rêve fiévreux.
Ils m’ont proposé de participer, d’entrer dans le cadre, de jouer le jeu. J’ai dit oui. Peut-être trop vite.
Je me suis laissé guider. D’abord juste quelques photos, quelques poses un peu suggestives où je montrais clairement mon cul bombé dont je suis très fière. Mon regard croisait celui du militaire. Il y avait quelque chose de captivant, une forme de respect dans la manière dont il me regardait. Comme si j’étais un mystère qu’il avait ordre d’explorer avec soin.
Les gestes sont devenus plus proches. Une main effleurant une hanche. Un regard plus appuyé. Un souffle partagé.
L’atmosphère avait changé. L’appareil photo continuait de cliquer, mais il s’était transformé en témoin silencieux. Les gestes devenaient chorégraphiés par un désir contenu, mais insistant. Ce n’était plus une séance photo, c’était une danse lente, une montée douce vers quelque chose de plus intime, plus flou, plus magnétique.

La carrosserie sous moi diffusait une chaleur douce, captée au soleil, et mon dos frissonna à son contact. Il m’avait soulevée avec une facilité déconcertante, comme si j’étais aussi légère qu’une promesse. Puis, lentement, presque rituellement, il s’est agenouillé.
Son regard s’est attardé sur ma chatte humide. Il n’y avait rien de pressé, rien d’impulsif. Juste une patience féroce, dangereusement tendre. Ses mains glissèrent le long de mes jambes, comme s’il lisait un texte secret sur ma peau. Il effleurait, il devinait. Puis il se pencha et le souffle qu’il laissa s’échapper me fit fermer les yeux.
Ce qui suivit ne fut pas un acte. C’était un langage. Une sorte de prière murmurée entre chair et souffle. Sa bouche s’appliquait avec une dévotion presque absurde, comme s’il cherchait à me déchiffrer avec chaque geste, à m’ouvrir à lui non par la force, mais par une exactitude langoureuse. C’était absolument délicieux et je laissais de longs soupirs s’échapper de mes lèvres, au risque d’alerter le quartier.
Le plaisir grondait dans le bas de mon ventre. Et petit à petit, je m’y abandonnais. Je perdis peu à peu la notion du temps. Seules restaient les sensations : lentes, précises, infiniment attentives. Par moments, il s’arrêtait, comme pour m’écouter respirer. Comme s’il voulait que ce soit moi qui le guide, non par la voix, mais par les frémissements de ma peau.
Et moi, sur ce capot, au milieu d’un monde qui n’existait plus, j’ai compris qu’on pouvait être vulnérable et souveraine à la fois.
Enfin, il s’est laissé tomber, le souffle court, le regard à la dérive, encore bercé par les derniers éclats du plaisir qu’il m’avait offert. Je suis restée là un instant, au-dessus de lui, fascinée par le contraste entre sa stature de soldat et cet abandon silencieux qu’il venait de m’accorder.

J’ai senti en moi le besoin de répondre, non pas par devoir, mais par une forme de gratitude charnelle.
Mes doigts se sont glissés sous la ceinture, explorant avec une lenteur calculée, comme si chaque geste appelait le suivant.
Il n’a rien dit. Son regard s’est simplement rivé au mien, et dans ce silence-là, tout était dit.
Il m’offrait sa belle queue bandante, sans mot, sans orgueil, sans armure. Je l’ai touché comme on touche quelque chose de sacré et dangereux. Lentement, méthodiquement. Une main, une caresse, un souffle tiède à quelques centimètres. Sa réaction fut immédiate, presque violente, et pourtant contenue, comme un orage qui se retient. Quand je l’ai enfin accueilli entre mes lèvres, ce fut sans mise en scène.
Juste une évidence. Je jouais de lui comme d’un instrument parfaitement accordé, parfois doux, parfois plus appuyé, jusqu’à lui arracher des soupirs qu’il semblait vouloir retenir, par pudeur ou par orgueil militaire.
Son corps vibrait sous mes gestes, tendu entre le contrôle et l’abandon, et moi, à genoux, je m’abandonnais aussi, pas par faiblesse, mais par une forme de domination offerte. Il n’était plus question de rôle ou de pouvoir, juste de désir, brut, sculpté dans la lenteur et l’intention.
Et quand sa main a glissé dans mes cheveux, ce n’était pas pour guider. C’était pour remercier.
Il s’allongea sur le capot, ses muscles encore tendus, sa respiration lourde de ce que nous venions de partager. Je regardais ce corps d’homme, solide, vibrant, et pourtant offert avec une confiance rare. Il avait gardé ce regard calme, presque stoïque, mais ses mains ouvertes trahissaient une impatience tranquille.
Je me suis approchée, les jambes encore un peu tremblantes. Mes doigts se sont posés sur ses hanches, explorant la frontière entre la peau et le métal. Puis, dans un mouvement lent, délibéré, je me suis installée sur lui. Dos à lui, les cuisses contre ses flancs, je l’ai senti frémir sous moi, une onde silencieuse qui m’a parcourue en retour.

Le premier mouvement fut presque imperceptible, une pression, une glissade. Il accueillait chaque geste avec une retenue admirable, comme s’il me laissait mener, mais en gardant cette force tranquille, juste sous la surface.
Je dictais le rythme. Lui, il me portait.
La chaleur du capot se mêlait à celle de nos corps, et je sentais la sueur perler doucement dans mon dos. Mon souffle s’accélérait, pas seulement par l’acte, mais par la conscience aiguë d’être observée. Le photographe, silencieux, évoluait autour de nous, son objectif capturant ce qui ne serait jamais dit, des regards, des ondulations, des instants entre deux battements de cœur.
Je laissai une de mes mains glisser entre mes cuisses, paume lente, geste privé dans ce théâtre public. Il n’y avait rien de honteux. Rien de caché. Mon plaisir devenait le sien, son regard posé sur moi comme une louange muette.
Chaque mouvement devenait plus profond, plus habité. Je contrôlais tout, et pourtant, je me sentais emportée, possédée par cette mécanique douce, cette pulsation partagée. Son bassin accompagnait le mien avec précision, me soulevant par moments, me rattrapant à d’autres, comme un écho silencieux de mes propres élans.
Le souffle devenait haletant, les gestes plus ancrés. Je me suis cambrée, j’ai posé mes mains derrière moi sur son torse, sentant la moiteur de sa peau sous mes paumes, et là, un frisson m’a traversée, ce frisson de l’instant juste avant, du point de rupture qui se rapproche comme une marée lente. Mon dos ondulait, mes jambes se serraient, et ma main ne cessait de tracer son propre chemin. Je sentais son regard sur moi, pesant, brûlant, adorant.

Je ne pensais plus qu’à la chaleur, aux frictions, aux souffles entremêlés et à cette montée qui nous happait tous les deux, irrésistible.
Et dans cette tension, dans ce vertige partagé, je me suis laissé aller. Mon corps a tremblé contre le sien, secoué par cette vague que j’avais appelée sans la craindre.
Sous moi il a fermé les yeux, les mains posées sur mes hanches, comme pour s’assurer que je ne disparaisse pas dans cette secousse.
Puis, doucement, le silence est revenu. Le capot vibrait encore sous nos souffles. Le caméraman avait cessé de bouger. Et nous, encore liés, restions là, suspendus entre deux mondes : celui du fantasme et celui, trop réel, qui attendait juste derrière la clôture. Nous avions quitté toute urgence. Le monde autour s’était réduit à la surface du capot, à la chaleur de la peau, au glissement des souffles. Après m’être abandonnée sur lui, dominant l’instant, j’avais senti ce besoin de renversement. Pas une fatigue, mais une nécessité douce de proximité, de changement de rythme, comme une variation musicale dans une symphonie charnelle.
Je me suis tournée. Lentement. Son regard a capté le mien, intense, surpris peut-être, mais déjà prêt à accueillir cette nouvelle direction. Je me suis glissée contre lui, poitrine contre torse, jambes mêlées, bras refermés autour de sa nuque comme pour le garder, le contenir, le retenir.
Il me tenait à son tour. Fort. D’une fermeté tendre, ancrée. Nos fronts se sont frôlés, nos souffles se sont unis. J’ai senti ses hanches sous les miennes, son corps s’ajustant, se modelant contre le mien avec une précision instinctive.
Chaque mouvement devenait une caresse, chaque geste, une conversation intime entre deux corps qui avaient appris l’autre sans un mot. Là, face à lui, enveloppée, j’ai senti que tout s’équilibrait. Plus rien n’était urgent. Juste lent, chaud, profond. D’un mouvement fluide, presque silencieux, il m’a fait basculer.
Pas avec brutalité mais avec cette assurance calme des hommes qui savent ce qu’ils font, ce qu’ils donnent, et ce qu’ils prennent. Je me suis laissé faire. Mon corps a suivi l’impulsion comme une évidence. J’ai posé mes mains à plat sur la carrosserie, et j’ai senti la chaleur encore vivace du métal vibrer contre ma peau.

Le rythme s’est accéléré, le souffle s’est fait plus haché, le silence s’est chargé d’une tension électrique. Je me suis cambrée, offerte, en équilibre entre perte de contrôle et plénitude pure.
Chaque geste était net, précis, profond. Mon corps répondait au sien comme une onde. Je sentais ses mouvements en moi comme des battements d’un cœur extérieur, comme si son plaisir sculptait le mien à chaque poussée.
Et moi, là, penchée, les doigts crispés sur le métal, je ne me suis jamais sentie plus vivante, plus vibrante. Pas spectatrice. Pas simple partenaire. Mais actrice consciente d’une scène brûlante, d’un instant gravé dans la chair et la mémoire. Il s’est retiré lentement, ses mains glissant le long de mes hanches avec un frisson contenu.
Je suis restée un instant immobile, encore offerte au vide, haletante, le dos encore arqué comme une mémoire vivante de ce que nous venions de créer. Puis je me suis retournée vers lui. Je me suis approchée, lentement. Comme un dernier mouvement dans une chorégraphie silencieuse.
Je me suis agenouillée devant lui, les genoux sur le capot, les mains posées avec une tendresse volontaire sur ses cuisses.
Il n’a pas bougé. Il m’a juste regardée. Longuement. Intensément. Avec cette gratitude silencieuse qu’on ne peut que ressentir.

Le goût du dernier acte, du moment final.
Il a posé sa main sur ma joue, un geste presque tendre. J’ai senti son corps s’alourdir, sa tension monter encore, prête à se rompre.
Sa queue grossissait dans mes joues, son gland se faisait plus frémissant. I
l allait jouir. Alors, j’ai tiré la langue, bien grand.
Et il s’est répandu, le long de ma langue et de mes joues, dans de douces giclées dégoulinantes.
Heureusement, le caméraman n’a rien raté de ma prestation. Et je me réjouissais de ma future notoriété dans le monde des militaires !
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Pat Redeggs
J’ai adoré, il me tarde de m’inspirer de ces échanges habités et fiévreux avec ma jeune esclave sexuelle. Félicitations au rédacteur de haute qualité d’une finesse exquise dans le fond et la forme. Puis je avoir plus d’informations sur lui ?
Mille mercis !! Je suis nouveau ici !!
Maître Pat -
Antoine
La fille est magnifiquement expressive, sans vulgarité!
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CyberA
Magnifiquement érotique et non porno.
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