Dans la chambre de maman…
24 janvier 2021L’amant de Sandrine, 42 ans qui n’est autre que le fils de sa meilleure amie s’occupe bien de cette MILF pendant le week end en lui offrant une partie de food-sex des plus gourmande.
Je me prénomme Sandrine, j’ai 42 ans, je suis une femme brune et pulpeuse, ayant comme amant le fils de ma meilleure amie. Il a 22 ans. Notre aventure dure depuis un moment, et je viens vous faire partager encore une fois dans cette histoire de sexe un des instants intenses que nous passons ensemble. La mère de Yannis partie au ski, cela nous laissait le champ libre pour profiter de toutes les pièces de la maison sans aucun risque de nous faire surprendre (même si ça ajoute du piment à la situation). Je l’ai donc rejoint pour un week-end de baise torride.
La porte à peine passée, il a commencé par me plaquer contre celle-ci pour ouvrir les boutons de ma robe. Dessous, je portais la lingerie en dentelle noire qu’il m’avait offerte pour la Saint Valentin. Le balconnet mettait mes seins en valeur et le tanga faisait ressortir mes fesses rondes. Il m’a retiré ma robe pour m’observer en me faisant tourner sur moi-même. Mes escarpins et mes bas complétaient bien l’ensemble et, à son sifflement admirateur, j’ai compris que je lui plaisais bien. J’avais imaginé qu’il me baiserait sans attendre, mais ma surprise a été grande quand il m’a pris la main pour m’emmener dans la salle à manger. Un plateau de sushis était posé sur la table. Je n’avais pas très faim, à part faim de sexe…
Plutôt que de m’asseoir sur une chaise, il m’a fait me placer sur ses genoux et a décidé de me donner à manger à l’aide des baguettes qu’il maniait à la perfection. À peine le temps de finir ma bouchée qu’il me faisait lever et allonger sur la table. Mon appétit s’est éveillé quand il a déposé trois sushis sur mon corps en partant de mes seins à mon nombril. Yannis rigolait en me disant de ne pas bouger, j’avais envie de rire, mais ça n’a pas duré longtemps…
Il m’a écarté les cuisses et m’a bouffé la chatte à travers la fine dentelle, me faisant frissonner. Mon ventre se contractait, et je devais faire des efforts pour ne pas faire tomber la nourriture en équilibre instable. Après m’avoir bien fait mouiller, il a délaissé ma fente pour venir manger directement avec la bouche entre mes seins avec une lenteur exaspérante. Je sentais sa langue, ses lèvres chaudes, il n’en fallait pas plus pour faire dresser mes tétons… Un détail qui ne lui a pas échappé et qui lui a donné des idées.
Il a délicatement sorti mes seins et s’est emparé des baguettes chinoises, avec lesquelles il a pincé mes tétons tout dressés. Il passait de l’un à l’autre en les triturant. Je devais me mordre les lèvres pour retenir mes gémissements. Après un moment de cette délicieuse torture, sa langue a pris le chemin du deuxième sushi qu’il a englouti, tout en parcourant mon corps du bout des doigts. Ma patience était mise à rude épreuve, mon excitation grandissait, j’avais faim de lui, de son sexe !
Mais Yannis, toujours habillé, avait décidé de jouer avec moi et de prendre son temps. Il a versé un peu de saké frais dans mon nombril avant de l’avaler. Il en a repris un petit verre dans sa bouche pour venir faire couler l’alcool entre mes lèvres avant de m’embrasser avec passion. J’en ai profité pour caresser sa bite à travers son pantalon.
Yannis m’a fait remarquer qu’il restait un sushi et que je devais être patiente. Il n’a pas eu le temps d’arrêter mon geste, j’ai attrapé le sushi et je l’ai enfourné dans ma bouche avec un sourire de satisfaction. « Et voilà ! Baise-moi maintenant. »
Il m’a entraînée à l’étage. Je prenais la direction de sa piaule quand il m’a attirée dans la chambre de sa mère… J’hésitais : je baisais déjà le fils de ma meilleure amie, alors dans sa propre chambre… Lorsque j’ai fait part à Yannis de mon hésitation, il m’a dit que lui, ça l’excitait encore plus. Ses vêtements ont été vite retirés.
Sa queue a claqué sur son ventre quand il a ôté son boxer. Il m’a poussée sur le lit avant de virer mon tanga et de m’écarter les cuisses pour lécher mon sexe déjà trempé. Je sentais le parfum de mon amie, des photos d’elle me rappelaient où je me trouvais, mais j’ai vite oublié tout ça grâce à la langue experte de Yannis. Il avait passé mes jambes sur ses épaules pour mieux me dévorer. Il aspirait et mordillait mes lèvres. J’étais agrippée au drap, il était complètement déchaîné, même mon anus n’échappait pas à sa langue. Je dégoulinais de plaisir, il m’a fourré deux doigts dans la chatte et un dans le cul, tout en aspirant mon clitoris.
Après m’avoir fait longuement jouir, et sans me laisser reprendre mon souffle, il s’est placé au-dessus de mon visage et m’a enfourné son sexe dans la bouche. Il me baisait la gorge ! Il sortait sa bite trempée avant de la renfoncer plus profondément encore en poussant des gémissements. Jusqu’au moment où il a explosé, me déversant de grandes giclées de sperme dans la bouche.
Il s’est écroulé à côté de moi, m’a embrassée en me serrant contre lui. Je me suis levée pour passer dans la salle de bain. Il m’a rejointe après quelques minutes. J’étais debout devant le grand miroir, il s’est placé derrière moi pour m’embrasser dans le cou en me regardant. Il m’a levé les bras et a posé mes mains sur la glace. Je me suis retrouvée penchée, les jambes écartées. Yannis admirait le spectacle de mes gros seins qui pendaient, ses mains pétrissaient mon cul en écartant bien mes fesses. Je sentais son sexe dur frottant contre la fente de ma chatte, je remuais le bassin pour accentuer ce contact délicieux.
Sa bite, aidée par mes mouvements, m’a pénétrée sans difficulté tellement je mouillais. Il m’a attrapé les hanches et a commencé à me baiser fermement. Nos regards ne se quittaient pas, mes seins ballottaient et claquaient au rythme de ses coups de bite. Il m’a plaquée contre le miroir froid sans sortir sa queue de moi, j’avais les seins écrasés et le cul bien cambré. Ses coups de bite ont redoublé, me faisant crier les mots crus qu’il aime entendre. « Oui, je suis ta salope, ta grosse chienne, ta petite pute défonce-moi la chatte ! » Il m’a attrapée, m’a fait asseoir sur le rebord du lavabo et a recommencé à me pilonner en me giflant les seins, les malaxant fortement. Il a accéléré, encore et encore, des coups puissants et profonds… Jusqu’au moment où, dans un cri bestial, il s’est vidé les couilles au fond de ma chatte brûlante. Après une bonne douche, nous avons passé toute la nuit dans le lit de sa mère.
À mon réveil, Yannis n’était plus là. Je suis descendue nue pour chercher mes affaires. Il était dans la cuisine et il préparait le petit-déjeuner. Il m’a tendu un jus d’orange, je me suis assise sur un des tabourets pour dévorer ce qu’il avait fait. Après un moment complice plein de regards coquins et de sous-entendus à peine dissimulés, il est passé derrière moi (déjà très en forme), il m’a fait asseoir de telle façon que mes fesses dépassaient du tabouret.
Il a pris le beurre et a massé longuement mon petit trou, avant d’y enfoncer son gros gland qui a écartelé mon anus fripé, le reste de sa tige s’est enfoncé jusqu’à la garde. Il entrait et ressortait lentement. Je sentais toute la longueur de son sexe coulisser. Je l’ai supplié de me prendre plus fort, c’est avec plaisir qu’il a accéléré la cadence, m’arrachant des cris. Au moment où il allait jouir, il m’a fait mettre à genoux pour arroser mes seins et mon visage de sa semence toute chaude.
Nous avons passé deux jours sans sortir, à moitié nus, à baiser partout dans la maison. Pas un meuble n’aura échappé à la trace de mes fesses, certains des bibelots ont même servi de godemichet. Et si je pouvais, je remercierais mon amie pour ce week-end merveilleux avec son fils !
(Photo à la une et autre photo : Getty Images)
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