Entretien débauche
9 janvier 2025Marie-Odile est à la tête d’une entreprise florissante, tout à la fois gérante, responsable des ressources humaines, des paies et des achats, c’est elle qui reçoit les différents représentants et commerciaux qui viennent tenter leur chance. Ce jour-là, c’est un certain Denis qui se présente à elle. L’archétype du « vendeur-copieur », à sa plus grande surprise, va se faire cravater par cette maîtresse femme !
Étant allée voir le profil du commercial qui devait se présenter à elle quelques minutes plus tard, Marie-Odile, patronne à la main de fer gantée de velours, avait décidé de s’apprêter façon femme fatale. Une dernière retouche de rouge à lèvres tout en demandant à sa secrétaire, par téléphone, d’introduire le fameux Denis dans son bureau et de surtout n’être dérangée sous aucun prétexte.
Ce dernier entra. Pas de doute, elle avait eu raison sur toute la ligne, elle avait devant elle un « jeune-vieux », costume pas très bien ajusté, nœud trop serré et attaché-case d’un autre âge, il lui serait facile de mener ce beau gosse par le bout du nez … et de la bite par la même occasion.
Après avoir pris soin de fermer la porte à clef, elle alla se rasseoir, abaissa légèrement ses lunettes et fit se rapprocher le bellâtre qu’elle cravata au sens propre comme au sens figuré.
La bande de tissus bien emprisonnée dans sa main, elle attira le visage de Denis à quelques centimètres du sien, jusqu’à ce qu’elle sente son souffle sur ses lèvres.
Une haleine fraîche émanait de cette bouche masculine. Monsieur avait eu la délicatesse de sucer quelques pastilles de menthe.
Marie-Odile se leva et invita Denis à s’installer dans le fauteuil directorial. Une fois calé, elle déboutonna une partie de son corsage orange, laissant apparaître une paire de seins sublimes qu’un soutien-gorge corbeille venait mettre en valeur.
La patronne frotta alors son popotin bien rebondi et serré dans une jupe stricte pile sur la bosse prometteuse qui naissait au niveau de l’entrejambe du vendeur perdu qui se demandait bien ce qui était en train de lui arriver.
L’empoté s’était transformé en statue de sel, inerte et sans aucune initiative. Marie-Odile décida donc de le guider en lui attrapant les poignets afin qu’il pose enfin ses mains sur ses nibards affamés de caresses.
Ce fut le déclic. La poitrine fut palpée, malaxée, les tétons durcirent sous l’effet de pincements diablement bien dosés puis ce fut le tour des succions sur chacun des mamelons ultrasensibles, tant et si bien que Marie-Odile commença de gémir dans son bureau tout en extrayant un sexe plus que raisonnable du pantalon de costume.
Une belle queue jaillit, ferme, déjà bandante et en quête de caresses manuelles et buccales. Elle branla le gros vit avec lenteur, décalottant bien le pénis de son hôte afin d’admirer le gland joliment dessiné ainsi que les courbes avenantes de sa couronne réceptive.
La mise en bouche de la bite dressée ne fut qu’une formalité, Marie-Odile se pencha sur sa sucette et l’engouffra d’un coup tout au fond de sa gorge, avide de connaître son goût tout en profitant des effleurements que Denis, désormais tout à fait à l’aise, éparpillait sur son corps, sa main gauche essayant, tant bien que mal, de relever la jupe crayon pour se donner un accès direct au cul et à la chatte de cette patronne peu ordinaire.
Trouvant enfin la fermeture éclair, il abaissa le zip et fit glisser le fuseau noir. Écarter le string en dentelle fut aisé et il enfonça ses doigts dans un vagin mouillé à l’extrême.
Cette pénétration peu profonde en raison de la position du couple eut un effet immédiat sur sa suceuse de partenaire qui accéléra le rythme en bavant sur son pieu et ses couilles, couilles qu’elle s’empressa de lécher et de gober par la même occasion.
Les sucs masculins lui coulaient dans la gorge et elle en concevait une forte excitation sexuelle. Elle aimait sucer une bonne queue, surtout si cette dernière était juteuse comme celle de Denis.
Elle n’en abandonna pas moins son jouet, lassée de l’exercice de la pipe, pour s’installer à quatre pattes sur son bureau, le cul cambré au maximum, invitant par ce geste son amant à s’occuper un peu d’elle en retour.
Denis s’y prit tout d’abord avec les doigts, explorant la chatte entièrement ouverte et dégoulinante de cyprine. Il titilla l’étoile juste au-dessus et, ne recevant aucune remontrance, entrepris une double masturbation, l’index, préalablement trempé dans la foufoune, finit par se frayer un chemin dans l’anneau étroit de l’anus, tandis que son majeur, enduit de salive, se fichait au plus profond d’un vagin serré et accueillant. Quelques mouvements de poignet, la superbe Marie-Odile geignait et feulait tout en se mordant les lèvres.
Ses borborygmes gagnèrent encore en volume lorsqu’elle sentit la langue du beau commercial s’immiscer dans son sillon intime.
L’appendice humide entama sa quête de femelles saveurs par le trou du cul, odorant, musqué. Ce dernier se laissa dompter sans aucune difficulté, s’épanouissant même sous la caresse et prenant plaisir à se faire fouiller profondément. Puis ce fut au tour de la fente de recevoir cet hommage buccal. Le petit animal papillonnait, virevoltait, taquinant le clitoris au passage. La perle sensible bandait fortement et s’était extraite d’au moins un centimètre du capuchon protecteur. La combinaison « un doigt dans la chatte, un doigt dans l’œillet, langue sur le bourgeon » eut raison des barrières de la directrice.
Marie-Odile se raidit, cambra encore un peu plus les reins et émit un long bruit aigu tout en serrant les dents et en écartant davantage ses fesses. Un ru de mouille macula le bureau tandis que ses cuisses tremblaient au rythme des ondes de plaisir qui l’envahissaient. Toujours aussi affamée, elle descendit de son perchoir pour une nouvelle fellation qu’elle entendait bien magistrale afin de rigidifier au maximum la queue qui lui faisait tellement envie.
Caressant les bourses lourdes, pompant sur le gland et la tige avec conviction, elle ne s’interrompit que lorsqu’elle jugea l’érection de Denis suffisamment qualiteuse pour finir de se déshabiller, tout en conservant quelques dentelles affriolantes, et s’enfiler sur cette colonne de chair qui n’attendait que cela.
Même dans les joies du sexe, Marie-Odile était une meneuse d’hommes, elle aimait dominer la situation, l’amazone était sa position préférée, elle lui permettait de tout gérer à sa manière et à son rythme.
Une fois la pine de Denis bien fichée en elle, ses mouvements de bassin prirent le relais, doux pour commencer, allant jusqu’à laisser la bite sortir de son vagin pour mieux, de nouveau, se cambrer, écarter son arrière-train au maximum afin d’exhiber tous ses orifices – elle raffolait de voir ses amants en extase devant cette exhibition totale – et enfin se replanter la queue au plus profond d’elle.
La soie sauvage du chemisier orange se gonflait comme une voile avant de retomber négligemment de part et d’autre de ses hanches. Denis, lui, Marie-Odile le savait, suait sang et eau dans son costume et sa chemise toujours cravatée.
Mais l’endurance de cet homme n’était pas pour lui déplaire, bien au contraire, elle allait le pousser dans ses derniers retranchements.
La chatte désormais liquide, la tige de chair entrait et ressortait de plus en plus vite, de plus en plus fort, un pouce masculin s’aventurait régulièrement à la surface du petit trou et s’y enfonçait délicatement pour la plus grande satisfaction de la patronne qui avait décidé de céder à toutes les avances et d’offrir tous ses orifices pour cette partie de baise au bureau endiablée.
Elle descendit de son estrade pour imposer un nouveau changement de position. Elle n’omit pas, cependant, de sucer un peu le dard, autant pour en vérifier la bandaison que pour goûter aux sucs de son fourreau, ses propres sécrétions l’excitant toujours au plus haut point.
Denis affichait, pour la première fois de l’après-midi, un regard farouche et conquérant et c’est en dominant, en mâle alpha, qu’il obligea Marie-Odile à se pencher en avant, un genou sur son immense fauteuil de direction. Une claque sur son cul parfait lui fit comprendre qu’elle devait s’offrir mieux que cela, qu’elle devait cambrer les reins et s’écarter les fesses. Monsieur voulait voir, palper, toucher et tripoter tout ce dont il avait envie.
Et quelle excitation pour la gérante qu’elle était que de lâcher les rênes, de se laisser porter, de se laisser baiser comme la dernière des catins ! Elle aimait ce sentiment, se sentir pute de luxe jusqu’au bout des ongles, jusqu’au bout du clito, du moment que c’est elle qui le décidait, sachant qu’elle pouvait arrêter ce petit jeu quand elle le désirait.
C’est donc dans cette levrette improvisée qu’elle se fit prendre une nouvelle fois. Dans cette combinaison, c’est un Denis debout et bien en appui sur ses jambes qui, désormais, lui, labourait le bas-ventre de coups de boutoir si puissants que le siège avança jusqu’au mur.
Ainsi bloquée, Marie-Odile reçu un véritable ouragan de va-et-vient, son cul claquait si fort qu’elle ne pût s’empêcher de gémir et de réclamer qu’il la défonce encore plus énergiquement.
Un orgasme fulgurant plus tard, Denis n’avait toujours pas éjaculé et il était clair qu’il n’était pas prêt à le faire, c’est allongée sur son bureau que la femme d’affaires ouvrit donc ses compas pour la énième fois.
Chatte et anus exposés, elle se donna en cuillère, ses seins dansant en tous sens et son entrejambe disponible à toute sorte de caresses.
La queue allait et venait dans l’orifice rose qui dispensait généreusement une cyprine suave et translucide. De nouveau le petit trou fut doigté profondément, l’anneau, distendu et souple, accepta pas moins de trois doigts. Cette double pénétration porta Marie-Odile au septième ciel une fois de plus.
Décidément elle avait eu le nez creux. Dès le premier contact téléphonique, elle avait parié sur Denis et le fait qu’il serait un très bon amant. Et il se révélait extraordinaire.
Elle s’amusa à se relever. Elle adorait voir ses partenaires se branler et Denis méritait une belle récompense après tout le bien qu’il lui avait fait. Il s’exécuta en saisissant son gourdin.
Son engin bien en main, il entama une masturbation tandis que Marie-Odile, debout au-dessus de lui, exposait sans vergogne tout son entrejambe.
Elle écartait ses nymphes exagérément afin de faire saillir son bouton de rose, dévoilait toute la corolle de son vagin aussi bien qu’elle ouvrait les fesses, dégageant son petit trou à un Denis qui ne perdait pas une miette du show qui se déroulait à sa verticale.
Il sentait les prémisses de l’éjaculation, mais était dans l’expectative des directives de son amante, très déterminée dans tout ce qu’ils avaient déjà joué comme chorégraphie sexuelle.
Marie-Odile opta d’abord pour un soixante-neuf, renversant à plus d’un titre. Tête-bêche, elle donna son coquillage trempé de mouille à la langue experte de Denis, tandis que, de son côté, elle engouffrait de nouveau le chibre qui lui déformait plus qu’agréablement la bouche et les joues, où frottait de plus en plus intensément le gros gland désormais sirupeux avec son méat dégoulinant d’une liqueur salée et huileuse.
Les premières contractions musculaires dans les jambes firent leur apparition, la queue se mit à sautiller seule contre sa langue et son palais, il était temps d’offrir une délivrance bien méritée au petit vendeur à la bite d’acier.
Marie-Odile ôta son roudoudou de l’emprise linguale de Denis et vint se lover contre lui afin de pouvoir le sucer et le branler avec plus de facilité et, surtout, dans un geste de pusillanimité ultime, qu’il puisse se concentrer et profiter pleinement de son orgasme.
Elle y jeta toute son énergie et tout son cœur, astiquant le manche d’une main ferme, elle gobait le gland, crachait dessus, couvrait la hampe de salive pour mieux s’enfoncer la totalité du dard tout au fond de la gorge.
D’une main, elle caressait le scrotum, de l’autre, elle polissait le bulbe de plus en plus éruptif. Le tableau final approchait, elle le sentait, elle le savait. D’un geste, elle remit ses lunettes en place. Le braquemart fit une embardée, puis une deuxième, les couilles se resserrèrent dans sa paume, un râle masculin et annonciateur s’éleva dans la pièce, juste avant que le premier geyser ne s’échappe du méat surchauffé.
Le sperme crémeux et collant s’envola dans les airs pour venir s’écraser sur les verres correcteurs, de longues lignes blanchâtres maculant la monture. Marie-Odile les enleva pour mieux s’adonner à sa gourmandise et faire gicler le reste dans sa bouche.
Le foutre était onctueux et très épais, légèrement sucré. Elle le conserva un moment sur sa langue et déglutit, ravie d’avoir satisfait à son envie.
Elle cajola encore le sexe qui l’avait comblée et l’accompagna dans sa phase réfractaire. La colonne, si fière, se rétracta lentement, libérant les dernières gouttes de liquide séminal qu’elle lécha comme une glace qui fond, pour finir par redevenir flasque et mou, en bref, inintéressant.
Elle donna congé à son hôte et, en même temps qu’elle rentrait ses seins dans son soutien-gorge et remettait un peu d’ordre à sa tenue, appuyait sur l’interphone afin que sa secrétaire introduise le prochain visiteur, un très beau quinqua aux tempes grisonnantes et au paquet très prometteur.