Le garde du corps

Depuis le temps que je courais après ce “client”, j’avais été agréablement surpris qu’il m’engage pour assurer la protection de sa fille qui l’accompagnait lors de sa venue en France à l’occasion de la signature d’un gros contrat.

La miss, Emy, était une sportive aguerrie et elle commençait toujours sa journée par un footing. Je la suivais en vélo durant son parcours afin de veiller au grain. Il faisait beau en ce début de matinée. Mon client était parti toute la journée à Paris pour ses affaires. Emy, avec qui le courant passait de mieux en mieux, était donc “à moi” jusqu’au soir ! En plein effort, ma protégée a eu un point de côté. Nous avons donc dû écourter cette sortie matinale sportive. Une fois devant la résidence d’Emy, je lui ai inculqué quelques techniques de respiration afin que la gêne ressentie se dissipe. La suite, bien que nullement préméditée, s’est passée si vite que je n’ai même pas réfléchi aux conséquences de mes actes et aux dégâts collatéraux que cela pouvait engendrer sur mon boulot.

Lorsque, fermant la porte, je me suis retrouvé face à Emy, je n’ai pu m’empêcher de lui glisser un petit baiser dans le cou. À mon grand étonnement, elle y a répondu par un léger gémissement auquel je n’ai pas su résister. C’était la première fois de ma carrière qu’un tel “dérapage” se produisait. Il faut dire que, physiquement parlant, Emy avait plus d’une corde à son arc !

La petite blonde était à croquer et, avant que je ne puisse freiner mes ardeurs, nous étions tout les deux assis dans l’entrée à nous embrasser comme deux collégiens. Mon excitation prenait désormais le pas sur une quelconque lucidité professionnelle. Alors que je passais ma main sur son ventre ferme et musclé, elle a largement écarté les cuisses pour me faciliter le passage. À travers sa culotte, j’ai palpé sa motte qui, je le sentais, s’ouvrait telle une fleur fraîche sous mes caresses. Et ses miaulements plaintifs de chatte en chaleur s’accentuaient à mesure que mes doigts jouaient avec son petit abricot à peine mûr. Tout à son plaisir et très certainement aussi troublée que moi, Emy se laissait faire, visiblement conquise.

Avant que le garde du corps ne reprenne le pas sur l’homme, j’ai décidé de passer la seconde. Doucement, j’ai baissé la culotte qui me séparait encore du fruit défendu. Incapable de résister à l’appel du sexe, j’ai plongé mon visage entre ses cuisses fuselées. La petite n’a pu retenir un cri aigu lorsque ma langue s’est enfouie entre ses lèvres, d’où s’écoulait une mouille chaude et déjà abondante… Quelques bonnes léchouilles ont suffi à mener Emy jusqu’au plaisir.

Elle n’était visiblement pas très expérimentée !Je me suis déshabillé et j’ai saisi la main de ma partenaire pour la guider jusqu’à ma queue dressée. Elle semblait un peu gauche avec cette tige de chair dans les doigts. M’avançant vers son visage, j’ai posé mon gland à l’entrée de sa bouche pour l’inviter à me sucer. Elle m’a gratifié de quelques coups de langue maladroits en signe de bonne volonté.

J’ai limité les préliminaires et je l’ai aidée à se relever afin de la pénétrer debout. Sa chatte était trempée, chaude… Un vrai délice ! Chacun de mes coups de reins lui arrachait de véritables cris.Heureusement que “papa” était parti pour la journée, car avec un tel degré de décibels, la mignonne risquait d’ameuter tout le quartier ! Son corps était parcouru de spasmes, et elle semblait enchaîner les orgasmes à la vitesse de la lumière. 

Décidément, les prétendants qui avaient fouillé l’intimité d’Emy ne devaient pas être légion ! Ma queue, d’un calibre plus qu’honorable, n’était pourtant pas trop à l’étroit dans ce fourreau moelleux, et je me disais que la blonde devait être une adepte des jeux solitaires. Dans l’excitation, nous n’avions même pas pris la peine de nous rendre dans la chambre, préférant laisser parler notre instinct animal à même le sol, dans le couloir de l’entrée. Si jamais mon client décidait d’écourter sa journée parisienne, je risquais de perdre mes galons.

Je me suis allongé, la queue tendue, et j’ai invité Emy à s’empaler sur mon pieu. Elle s’est empressée de suivre mes instructions et a fait disparaître ma tige de chair au fond de son intimité. Elle ondulait du bassin, frottant son clito gonflé sur mon bas-ventre. Ses gémissements transformés en cris ne faisaient qu’accroître mon excitation. Je sentais sa mouille couler et ses petits tétons étaient tellement dressés que c’en était un appel au sexe ! C’était la première fois de ma carrière que je m’autorisais un tel écart pendant une mission et, même si mon comportement n’avait rien de professionnel, le plaisir que j’en tirais dépassait mes espérances. Cet ange blond, à la plastique parfaite, ne pouvait que faire fondre n’importe quel homme !

Après un nouvel orgasme qui a fait trembler tout son corps, elle s’est jetée avec avidité sur ma bite encore toute luisante de son désir. Cette fois-ci, sans même que j’aie à l’inviter, elle m’a délecté d’une pipe dans les règles de l’art. Sa langue qui passait sur mon gland faisait des miracles, et je sentais poindre les prémices de l’éjaculation. Mon corps s’est raidi. Ma tige semblait prête à exploser. Emy m’a fait comprendre qu’elle ne voulait pas que je jouisse dans sa bouche. Encore un peu prude, la jeune fille ! C’est donc sur son ventre que je me suis vidé, étalant ma semence visqueuse sur sa peau si douce.

Ma “mission” accomplie auprès de la demoiselle, il ne me restait hélas plus qu’à revenir vers ce pour quoi j’étais payé !