L’Entrée des artistes
16 avril 2015Lucie se refait une beauté dans les toilettes d’un restaurant huppé, laissant son mari seul à table. C’est le moment que choisit l’amant de la belle pour la rejoindre et s’accorder une visite de ses moindres recoins. L’addition va être salée !
Lorsque j’ai reçu le texto de Richard alors que je me trouvais à table avec mon mari, j’ai d’abord pensé qu’il blaguait. Mais non, en me tournant discrètement pour ramasser ma serviette dans ce restaurant branché du 8e arrondissement de Paris, je l’ai vu, là, à quelques tables de moi.
Mon amant avait décidément de la suite dans les idées, et le pire, c’est que j’étais incapable de lui résister ! Son SMS me demandait de le rejoindre dans les toilettes pour un quicky entre le plat de résistance et le dessert.
J’ai longuement hésité, mais j’avoue que l’idée de me faire prendre comme ça alors que mon mari m’attendait sagement à table avait un aspect si transgressif que ma petite chatte s’humidifiait à la simple pensée des mains de mon amant sur mon corps en fusion. Quand mon mari a reçu un important coup de fil professionnel et que j’ai su qu’il en avait pour un petit moment, j’ai craqué. Je lui ai fait signe que j’allais profiter de ce temps mort pour me repoudrer le nez. L’envie me tiraillait de partout, et j’ai eu du mal à marcher jusqu’aux toilettes.
Je n’étais pas devant la glace depuis plus de quelques dizaines de secondes que déjà, la porte s’ouvrait, laissant deviner la belle silhouette musclée de Richard, celui qui faisait vibrer mes sens depuis maintenant deux mois. Nous nous étions rencontrés via un site internet et, dès le premier rendez-vous, le brun ténébreux avait su réveiller la chienne qui sommeillait en moi depuis bien trop longtemps. Avec mon époux, la routine s’était inexorablement installée, et seules les rencontres adultères me conduisaient vers des orgasmes toujours plus violents. Richard m’avait récemment fait découvrir les délices de la sodomie et, depuis, tous nos rendez-vous se soldaient invariablement par une visite de mon petit trou. Je refusais presque toujours cette faveur à mon mari, mais même si j’étais bien incapable de l’expliquer, j’avais toujours une envie folle de recevoir la grosse queue de Richard entre mes fesses.
Il est venu se coller derrière moi et, tout de suite, j’ai senti sa bite déjà raide qui devait se trouver bien à l’étroit dans son pantalon. Je pensais à mon époux, à quelques mètres de là, imaginant sa gentille petite femme en train de se poudrer le nez. Je crois que jamais je n’avais ressenti un tel degré d’excitation auparavant. J’enfreignais toutes les règles, et la sensation était aussi troublante que délicieuse. Le temps était compté et je pensais, au départ, gratifier mon bel amant d’une pipe dont il raffole.
Pourtant, lorsqu’il a soulevé mon petit haut et a commencé à déboutonner mon short, j’ai compris qu’il ne comptait pas se limiter à une simple caresse buccale. Incapable de lui résister, je me suis laissé guider au gré de nos envies communes. Dans les bras de Richard, je n’avais plus aucune pudeur, aucune retenue ; seul le besoin de recevoir en moi sa grosse tige, qui m’arrachait des cris de plaisir, me tiraillait. Nous avons bloqué la porte pour assurer notre intimité et, sagement, je me suis agenouillée devant lui pour extraire son sexe tendu du morceau de tissu. Sa tige était épaisse, bien raide comme je l’aime, et il s’en échappait un parfum de musc qui mettait mes sens à rude épreuve.Je sentais ma chatte trempée d’excitation, ruisselante entre mes cuisses ouvertes. “Allez, maintenant mets la bien au fond de ta bouche. Je veux que tu t’étouffes avec, que tu baves dessus, que tu sois la petite garce que j’aime tant !” Chacun des mots prononcés par Richard m’électrisait. Jamais mon mari ne me parlait de la sorte ! Avec mon amant, je me métamorphosais en une femme dont je découvrais chaque jour un peu plus les vices, les désirs cachés. Parfois, cet autre moi me faisait peur, tant je franchissais toutes les barrières de la raison. Et si le coup de téléphone reçu par mon mari était en définitive plus court que prévu ? Et si, lui aussi, avait l’envie subite de rejoindre sa jolie et coquine épouse dans les toilettes du restaurant ? Et si…
Pour le moment, seule la grosse bite de Richard, sur laquelle ma main coulissait, comptait. Obéissante et à l’écoute de ses moindres désirs, je le fixais du regard, le questionnant des yeux sur l’effet provoqué par mes travaux manuels. Son gémissement lorsque ma bouche est venue entourer son gland violacé de désir ne laissait aucun doute sur son plaisir naissant. Je passais des coups de langue habiles sur son méat, récoltant ses petites gouttes d’excitation qui, déjà, perlaient. Comme à son habitude, Richard a maintenu fermement ma tête de ses mains puissantes et a enfoncé la quasi-totalité de sa grosse bite au fond de ma gorge. Je n’ai pu réprimer un haut-le-cœur. Je savais à quel point il aimait me remplir la bouche ainsi. Même si la chose était assez déconcertante, cela ne faisait qu’accroître mes envies perverses. Je bavais abondamment le long de sa tige, lapant de ma langue ce trop-plein de salive qui coulait sur ses grosses couilles bien pleines.
Le temps était malheureusement compté. Lorsque Richard a retiré d’un coup sec mon petit short et m’a installée sur le lavabo des toilettes, j’ai compris qu’il voulait sans plus attendre passer aux choses sérieuses. Ma chatte était en eau, mais c’est à une autre partie de mon intimité que mon amant avait décidé de s’attaquer. Il m’a largement écarté les cuisses et est venu plonger sa langue dans mon petit trou.
Hum, j’adore cette sensation. Jamais mon mari ne m’avait prodigué de telles caresses, je les avais découvertes dans les bras de Richard. Il aimait passer de longs moments ainsi, à me manger, à pousser son petit bout de chair rosé bien au fond de mon cul. En se relevant, il a craché un filet de bave sur mon fondement afin que son épaisse queue puisse se frayer plus facilement un chemin dans mes entrailles. Je raffole de ce moment si particulier où je sens son gros gland pointer devant ma rondelle et pousser bien fort jusqu’à ce qu’il disparaisse en moi. Richard me demande toujours de regarder le spectacle de cette bite qui plonge au fond de mon petit trou, et j’avoue que la scène me rend à chaque fois toute chose.
Cette fois-ci, le lieu, si peu propice à une sodomie en règle, et la situation, n’ont fait que renforcer mon désir. D’un coup sec, Richard a fait disparaître son sexe dans mon cul ouvert. Je n’ai pu réprimer un gémissement de délice. Mon amant a alors fermement appuyé sa main sur ma bouche pour me faire taire. Il ne fallait pas éveiller les soupçons d’éventuels clients, mon mari y compris, qui auraient décidé de faire, comme nous, une halte par les toilettes de l’établissement ! Les coups de queue de mon amant étaient fougueux, rapides, profonds, m’arrachant des cris de plaisir que même sa main plaquée sur mon visage avait toutes les peines du monde à contenir. C’était trop bon ! Je me sentais littéralement ouverte par cette queue qui me fouillait si divinement en profondeur. D’une main habile, Richard malaxait de manière experte mon bouton d’amour gorgé de sang.
Cet homme me rendait dingue et me faisait vraiment faire n’importe quoi ! Provocante, j’écartais au maximum mes fesses pour lui montrer combien sa belle et grosse queue avait dilaté mon petit trou désormais béant. Je me sentais chienne, et j’adorais ce sentiment. Afin d’accélérer le rythme et de profiter encore mieux de cette belle tige qui s’offrait à moi, je suis venue m’asseoir sur Richard. Je m’empalais littéralement, faisant disparaître la totalité de la bite de mon amant au fond de mes fesses. Dans l’oreille, Richard me balançait des mots crus qui, il le sait, me font décoller à chaque fois.
Encore quelques va-et-vient et j’ai joui comme une folle, tous mes muscles étant pris de spasmes incontrôlés.Richard s’est levé prestement en sortant de mes fesses et est venu me présenter sa queue pour se vider sur ma langue tendue. Quelques allers-retours de ma bouche autour de sa bite ont suffi à le faire gicler de longs jets crémeux sur mon visage. Son jus coulait sur mes lèvres, mes joues, mon menton…
Nous nous sommes rhabillés rapidement avant de regagner séparément la salle du restaurant. En revenant à table, j’ai compris à l’air sombre de mon mari qu’il m’attendait patiemment depuis un certain temps déjà. “Désolée, je suis un peu barbouillée”, ai-je menti ! Mon homme s’est radouci alors que le fondant au chocolat m’attendait sur la table. J’avais effectivement bien besoin de forces après cet intermède sexuel des plus excitants !