L’ami de Papa

La rédaction 27 mai 2021

Marie, 20 ans, nous confie un secret inavouable : la jeune étudiante s’est tapé le meilleur ami de son père !

Cher interstron.ru, je suis obligée de t’écrire cette histoire porno. Il faut que je confie mon secret, sans quoi j’ai l’impression que je vais étouffer. Et puis je sais que tu ne me jugeras pas, contrairement aux quelques copines avec qui j’ai osé évoquer le sujet… Voilà : il y a quelques mois, j’ai couché avec le meilleur ami de mon père.

J’ai fêté mes 20 ans en décembre. Mes parents avaient organisé une fête surprise avec tous mes copains, mais aussi de vieux amis à eux. Ils me connaissent depuis que je suis toute petite et je les aime autant que ma vraie famille. Parmi eux, Éric, le meilleur pote de mon père ; ils se connaissent depuis la fac et ont fait les 400 coups ensemble. Jusqu’ici, il n’était pour moi qu’un vieil ami, mais ce soir-là, tout a changé. Mon petit ami, Seb, n’avait pas pu venir à la fête. Il joue au foot à haut niveau et avait encore une fois préféré privilégier une bonne nuit de sommeil pour assurer sur le terrain. J’avais beau être enchantée de cette fête surprise, j’étais très triste que Seb ne soit pas là. Vers la fin de la soirée, je me suis éclipsée dans la cuisine pour ruminer mes pensées. Je suis tombée sur Éric qui fumait une clope à la fenêtre.

Je ne sais pas si c’est le champagne ou le fait qu’à ce moment-là j’étais vraiment exaspérée du comportement de gamin de Seb, mais j’ai regardé Éric d’un œil totalement différent. Il était très beau, vêtu d’un jean sombre et d’une belle chemise blanche qui mettait en valeur sa silhouette sportive et son teint mat. Il m’a fait penser à un héros de film, mi-James Bond mi-baroudeur… Ses yeux bleu clair se sont posés sur moi et il a lancé avec un sourire : « Comment va ma princesse ? » Sans réfléchir, je me suis approchée de lui et je me suis blottie dans ses bras. Il sentait le musc et le tabac mélangé, une odeur d’homme qui me fait chavirer. J’ai relevé la tête et j’ai plaqué mes lèvres contre les siennes.

J’ai cru qu’il allait me rejeter, me dire que c’était mal de franchir la ligne rouge avec la fille de son meilleur ami. Mais à ma grande surprise, il m’a rendu mon baiser. L’atmosphère était soudainement devenue électrique et j’avais l’impression que l’air crépitait autour de nous. L’espace d’un instant, il s’est arrêté et a bredouillé une phrase incompréhensible. J’ai immédiatement plaqué ma main contre son sexe, que j’ai senti durcir. Les baisers ont repris de plus belle. Éric m’a assise sur le plan de travail, a mis sa main sous ma jupe puis a glissé son index dans ma culotte. Mon sexe palpitait et j’avais presque mal tant j’étais excitée. Il a commencé par caresser mon clitoris tout en continuant à m’embrasser profondément, m’arrachant des soupirs de plaisir. Quand il a commencé à me doigter, j’ai dû enfouir ma tête au creux de son cou pour étouffer mes gémissements.

Quand il a fait rouler ma petite culotte sur mes chevilles, j’ai senti le marbre froid du plan de travail sous mes fesses et la mouille qui coulait entre mes lèvres. Éric a entré sa langue et s’est mis à fouiller en moi, tout en titillant mon clito avec son pouce. Les mains dans ses cheveux, je me suis cambrée en priant le ciel pour que mon père ne rentre pas à ce moment-là. Que dirait-il en voyant sa petite fille se faire manger la chatte par son meilleur pote ?

J’ai supplié Éric de faire vite. Je voulais son sexe en moi et nous n’avions plus beaucoup de temps avant que quelqu’un ne s’inquiète de notre absence. Il m’a fait descendre et m’a plaquée contre le plan de travail, dos à lui. J’ai senti son souffle dans mon cou et le contact rude du jean, puis sa main qui fouillait pour sortir sa bite. Son gland était humide et il l’a passé entre mes fesses en me murmurant à l’oreille : « Je pourrais la glisser entre tes fesses, tu aimerais ça ? » J’ai gémi, imaginant déjà sa verge remonter dans mon cul.

Mais ma chatte était si trempée qu’il l’a préférée à mon trou le plus étroit. Petit à petit, j’ai senti qu’il s’enfonçait entre mes lèvres et je me suis cambrée pour qu’il puisse me prendre à fond. Un ultime coup de reins et il m’a enfin possédée complètement. J’étais en train de me faire baiser par l’ami de Papa… Cette idée m’a rendu folle. Je me suis tournée vers lui et tout en faisant onduler mon bassin, j’ai gémi : « Vas-y, défonce ta petite princesse. »

Éric a grogné et j’ai vu dans son regard un mélange de honte et de désir irrépressible. Il m’a pilonnée comme une petite salope, se cramponnant à mon cul que je tortillais du mieux que je pouvais. Je ne me contrôlais plus. D’une voix aiguë, je me suis entendue dire : « Gicle, gicle dans ma chatte ! » Les couilles d’Éric frappaient fort contre mon cul et ses râles se faisaient de plus en plus forts. D’un coup, il a tout lâché en se plaquant contre moi.

Nous avons passé de longues minutes à nous embrasser, puis Éric a ramassé ma petite culotte et a essuyé le sperme qui coulait entre mes jambes, avant de la glisser dans sa poche. Un souvenir de ce moment qui ne pourrait plus jamais se reproduire, nous le savions lui et moi.

Nous nous revoyons de temps en temps chez mes parents et faisons à chaque fois comme si de rien n’était, même si je vois parfois dans les yeux d’Éric comme une lueur de malice. Je sais alors que lui et moi, nous repensons à notre étreinte aussi torride qu’interdite.

(Photo à la une : Getty Images)

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