Projections privées
30 avril 2015Élodie décide de faire une halte dans un sex-shop pour offrir un cadeau à un ami. Lorsque le propriétaire des lieux lui propose de visionner le DVD de son choix, la miss se dit qu’un petit plaisir ne se refuse pas après une dure journée de travail. Mais Élodie n’est pas au bout de ses surprises !
J’y avais réfléchi toute la journée au bureau et j’avoue que l’idée me titillait bien : faire un tour dans le sex-shop devant lequel je passais tous les jours en me rendant sur mon lieu de travail. Le but : y dénicher un cadeau pour l’anniversaire de l’un de mes bons amis. Cela me paraissait une excellente solution. Quoi de mieux qu’allier plaisir des yeux et plaisir d’offrir, non ? Lorsque j’ai appuyé sur le petit bouton qui permettait d’entrer dans la forteresse, je ne peux nier que mon bas-ventre me chatouillait déjà. La porte s’est ouverte automatiquement, et je me suis ruée dans cet antre du stupre.
La dernière fois que j’étais entrée dans un sex-shop, ce devait être à l’université, avec mon petit copain de l’époque qui avait voulu que l’on fasse l’amour dans une cabine. Une expérience divine que je n’avais, hélas, jamais réitérée. J’étais maintenant au cœur du plaisir, et mes yeux ne savaient plus sur quel objet se poser. Vagins en plastique, pompes pour gonfler le pénis, godes de toutes tailles, toutes formes, plugs, boules de geisha… Des heures de bonheur étaient là devant moi. Comme je ne savais sur lequel de ces objets porter mon choix, j’ai heureusement reçu les conseils du propriétaire des lieux, qui avait noté mon désarroi face à un tel éventail de sextoys. L’homme, charmant, connaissait ses produits sur le bout des doigts. Mais, malgré sa démonstration et l’étalage des jouets “stars” du magasin, je restais indécise, incapable de prendre la moindre décision devant un choix si vaste.
Lorsque, pour que je puisse réfléchir, l’homme m’a proposé de me détendre en visionnant un film qui, de surcroît, pourrait certainement plaire à mon ami, j’ai ressenti cette envie incontrôlée que j’avais eue des années auparavant en compagnie de mon ex. Et c’est tout naturellement que j’ai accepté son offre. Munie de mon précieux sésame, le cœur battant à tout rompre et l’entrecuisse déjà humide, je suis descendue au sous-sol afin de trouver une cabine libre et m’offrir un petit plaisir après une dure journée de travail. En bas, l’atmosphère était moite. J’imaginais tous ces hommes qui s’étaient masturbés en visionnant des femmes ouvertes par de grosses queues. Hummm, l’excitation ne faisait que croître en moi, et ma culotte devait déjà être imbibée de mouille à l’idée de me caresser là où des mâles avaient joui avant moi !
Surchauffée, j’ai ouvert une porte qui n’était pas verrouillée de l’intérieur. Je m’apprêtais à m’installer sur le canapé et à lancer ce DVD lorsque je l’ai vu.Là, un homme faisait doucement coulisser sa main le long de son épaisse queue, le regard vissé sur l’écran de télévision. Mes yeux restaient focalisés sur son gros pieu, et cette image n’a fait que décupler mon excitation. Le type respirait très bruyamment, concentré sur son plaisir.Son membre, au diamètre impressionnant, luisait de désir, et je m’imaginais déjà accueillir ce divin morceau de chair entre mes cuisses.Alors, lorsqu’il m’a découverte dans l’embrasure de la porte et m’a fait signe d’entrer, je n’ai su résister ! Le bel inconnu s’est déshabillé et a retiré ma jupe et ma culotte (qui était à tordre tant elle était trempée de mouille). Moi, je ne voulais pas de tendresse, encore moins de suaves préliminaires, juste du sexe à l’état brut pour apaiser le feu qui me brûlait le bas-ventre. Dans cet espace clos, tout sentait le mâle, et la forte odeur de musc qui emplissait la pièce ne faisait que décupler cette folle envie de sexe bestial. J’ai prestement ôté le reste de mes vêtements, ne gardant que mes bas pour la jouer à fond dans le registre porno…
Puis j’ai demandé à mon partenaire de vite enfiler un préservatif car là, je n’en pouvais plus !
Il me fallait son épaisse queue entre les cuisses, et tout de suite. J’ai alors saisi ce gros engin que j’ai fait coulisser le long de mes lèvres afin de bien l’enduire de ma mouille et enfin, je me suis empalée dessus. La sensation était délicieuse. Sentir ce pieu épais, large et bien raide prendre possession de ma chatte en feu m’a procuré un orgasme au bout de quelques va-et-vient seulement, tant la situation de me donner ainsi à un parfait inconnu était inédite pour moi. Je n’ai pu contenir un cri de plaisir tout en ondulant du bassin, afin de bien frotter mon clitoris gonflé sur le pubis de mon partenaire. Je ruisselais littéralement sur son bas-ventre, sa queue, ses couilles… Même la première fois où j’avais fait l’amour dans un sex-shop avec mon copain de l’époque, je n’avais pas atteint un tel degré d’excitation, une telle envie d’être possédée. Comme une chienne en chaleur, je me suis mise à quatre pattes. Le beau mâle s’est engouffré dans ma chatte béante et a recommencé ses va-et-vient de plus en plus fougueux au fond de moi. J’avais du mal à retenir mes cris tant le plaisir envahissait mon corps par tous les pores de la peau. Ses petites claques sur les fesses ne faisaient qu’accroître ma furie, et je donnais de grands coups de reins pour me prendre son gros calibre jusqu’à la garde.
À la respiration de plus en plus rapide de mon partenaire, j’ai compris qu’il n’allait pas tarder à jouir.Comme une affamée, j’ai retiré son bout de latex pour prendre sa queue dans ma bouche et l’inviter à me gicler son sperme sur le visage. Je n’ai pas eu à patienter très longtemps… Quelques secondes plus tard, ma bouche, ma langue, mes joues étaient recouvertes de semence. Sans un mot, je suis partie. Je ne connaissais même pas le nom de celui qui venait de me faire jouir. Seul hic, j’en ai oublié le cadeau prévu pour l’anniversaire de mon ami !