Thèse, antithèse, partie de baise

La rédaction 2 avril 2021

Khadija, 29 ans se retrouve en pleine partie de sexe avec son séduisant directeur de thèse.

La fin de mon couple a été le début d’une nouvelle romance. Voici mon histoire de sexe.

Je m’appelle Khadija et je suis une jolie beurette de 29 ans. Mensurations : 1,65 m pour 50 kg, 95C et de belles fesses rebondies. Mais ne croyez pas que je sois juste mignonne. J’ai aussi un cerveau, qui m’a servi à écrire ma thèse en statistique. Quelques semaines avant de me lancer dans la rédaction (cela faisait déjà 2 ans que je travaillais dessus), j’ai été assaillie de doutes, stressée et contrariée. Mon mec, avec qui j’étais depuis 5 ans, était aux abonnés absents. Un lundi, j’ai donc appelé Gilles, mon directeur de thèse.

Gilles et moi nous connaissions d’avant la thèse. Il enseignait dans ma fac et je le croisais souvent. Je l’avais toujours trouvé séduisant – la quarantaine, grand avec des cheveux ondulés et déjà gris, très élégant avec ces costumes impeccables. Il avait vraiment la classe. Je l’avais choisi non pas pour son physique, mais parce qu’il était reconnu dans ma discipline et qu’il avait la réputation d’être un très bon encadrant, présent et doux. J’en ai eu la preuve ce jour-là, car nous avions rendez-vous à la bibliothèque universitaire. Au téléphone, Gilles m’avait dit qu’il essayerait de me détendre. Ça n’était pas une métaphore.

Nous sommes arrivés ensemble à la BU. J’étais très tendue, mais Gilles m’a répétée qu’il allait chasser mon stress. Quand il m’a entraînée dans le coin le plus reculé de la bibli’, j’ai évidemment pensé à un entretien, pendant lequel il me conseillerait sur ma thèse. Je me suis assise à une table, protégée par un immense rayonnage couvert de livres. Mais, au lieu de s’asseoir en face de moi, Gilles a pris une chaise et l’a placée derrière moi, avant d’enlever sa veste, de la poser sur le dossier et de s’y installer, jambes écartées de part et d’autre de mon siège. J’ai senti ses mains très douces sur mes épaules…

Il s’est alors lancé dans un massage ultra-sensuel. Tout mon corps a comme fondu. Mes résistances, si tenté que j’en ai eu vis-à-vis du bel enseignant, ont disparu d’un coup et je me suis retrouvée à pousser des soupirs, pendant qu’il massait le haut de mon dos. Puis il a baissé les bretelles de mon top. Il descendait par devant, passant sa main sur mes seins et les faisant remonter en des cercles concentriques, c’était très excitant. Son massage de la poitrine a duré de longues minutes et j’oubliais jusqu’aux légers murmures des étudiants qui travaillaient autour. Nous étions certes cachés par les livres, mais dans un lieu public remplis de gens qui connaissaient Gilles… Ça ne l’a pas arrêté pour autant.

J’ai l’ai senti se lever derrière moi, attraper le dossier de ma chaise et la faire pivoter de 90°. J’étais maintenant face à lui. Quand il s’est mis à genoux, je n’ai même pas réfléchi : j’ai ouvert les jambes, lui proposant mon antre. Il a souri, avant de passer le plat de ses mains sur mes cuisses et de remonter ma jupe. Mon slip était la dernière barrière entre nous. À travers le tissu, il a embrassé mon sexe, que j’ai senti gonfler de désir. Le slip a roulé jusqu’à mes chaussures et je me suis cambrée, la langue de velours de Gilles entrant enfin en moi.
Elle était large, agile et si efficace que j’ai très vite voulu plus. Mon directeur l’a senti : il m’a prise par la main, m’invitant à me lever, puis a déboutonné son pantalon. Le chibre qu’il a sorti était d’une longueur impressionnante, très veineux et luisant au bout. Gilles s’est assis à mon ancienne place et m’a attirée vers lui. Je tremblais d’excitation. Très doucement, je suis venue au-dessus de son bel appareil et je l’ai laissé me guider par les hanches, jusqu’à ce qu’il soit pile en face de la cible. Les secondes s’égrainaient comme au ralenti, tandis que le gland, puis la tige entraient en moi, jusqu’à la base.

J’ai dû me blottir dans le cou de mon amant pour étouffer mon soupir de satisfaction, puis les cris qu’il a commencé à m’arracher en me faisant onduler sur lui. L’étau de ses hanches, très ferme, me faisait maintenant effectuer des mouvements circulaires de plus en plus amples. Sa queue était si longue, si puissante que le plaisir est monté très vite. J’ai jeté un œil sur ma droite et aperçu des têtes studieuses à travers les livres. L’idée que quelqu’un nous trouve ici, emboîtés et ivres de désir, m’a électrisée. Je me suis dressée sur la pointe des pieds avant de me laisser retomber, arrachant un soupir de plaisir à Gilles. L’opération, renouvelée encore et encore, nous a mis en orbite. Une minute plus tard, je m’empalais une dernière fois, laissant l’orgasme me traverser de part en part. Le flot de mon directeur a éclaté en moi un instant plus tard, décuplant mon plaisir.

En rouvrant les yeux tous les deux, nous nous sommes regardés comme pour la première fois. Gilles a écarté les mèches de cheveux qui s’étaient échappées de mon chignon et m’a embrassée très doucement. Le soir-même, je quittais mon conjoint. Je vis depuis un an une magnifique passion avec mon directeur, me permettant de décrocher un doctorat avec les félicitations du jury, mais aussi des orgasmes cosmiques.

Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…

Le prof de sport et l’étudiant coquine

Balade à vélo

Sodomie en forêt normande


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru