Sodomie en forêt normande

La rédaction 24 juin 2019

Fred, 34 ans, Montreuil.

J’ai 34 ans et je suis conseiller en communication. J’ai divorcé, il y a maintenant deux ans, et j’ai connu des moments un peu difficiles. L’automne dernier, des amis à moi ont organisé un week-end en Normandie et ils m’ont traîné là-bas « pour me changer les idées« . Je ne pensais pas que ce banal séjour entre copains serait en fait l’occasion pour moi de me remettre un peu en selle.

Vendredi soir, nous nous sommes retrouvés dans la grande ferme de famille de mon pote Jérôme. Nous étions une petite dizaine de copains, plus quelques personnes que je ne connaissais pas. Jérôme, arrivé plus tôt dans la journée avec sa fiancée Léa, avait dressé la table dans le salon et organisé la répartition des places. « Fred, tu es assis à côté de Maryline, comme ça, vous ferez connaissance. » Moi qui n’aimais pas les coups arrangés, j’étais servi ! Maryline, une brune piquante aux cheveux courts, m’a tout de suite mis à l’aise : « Ne t’en fais pas, on colle les divorcés ensemble pour qu’ils partagent leurs malheurs ! » Elle était drôle, souriante, et nous avons passé le repas à blaguer à propos de nos vies respectives. Après le dessert, un peu ivre, la petite troupe est allée se coucher. En me mettant au lit, j’ai pensé malgré moi à Maryline, ses épaules menues, sa jolie bouche rose foncé.

Le lendemain, nous sommes tous partis pour une balade en forêt sous le crachin normand. Naturellement, Maryline et moi nous sommes mis à discuter, un peu en retrait du reste du groupe — ce qui nous a attiré quelques plaisanteries. J’étais content d’être loin du boulot, en pleine nature, et Maryline était si pétillante… Une confidence en entraînant une autre, elle a fini par lâcher que sa séparation était notamment due à la frustration sexuelle. « Moi, je rêvais de sodomies sauvages, lui, c’était missionnaire dans le noir !« , m’a-t-elle confié en rigolant. Un peu surpris, j’ai ri à mon tour : « Marrant, ma femme n’aimait pas la sodomie non plus. Moi, par contre… » Maryline s’est arrêtée d’un coup et m’a lancé : « Et ça te dirait, là, tout de suite ?” Je suis resté bouche bée, tandis qu’elle éclatait d’un joli rire. Je l’ai observée : elle était adorable dans son ciré jaune, ses yeux noirs pétillant plus que jamais.

Elle m’a pris par la main et m’a entraîné hors du chemin. Nous nous sommes enfoncés dans les bois. Soudain, elle s’est stoppée net et s’est appuyée contre un arbre : « Embrasse-moi. J’ai envie de toi. » Je me suis exécuté, et nos langues se sont mêlées. Maryline a défait ma braguette sans hésitation et a commencé à me branler. « Tu as une belle queue, bien épaisse comme j’aime« , a-t-elle susurré. J’ai senti que je me raidissais comme un taureau. Rendu fou par la perspective de ce que nous allions faire, j’ai passé mes mains dans son jean pour caresser ses fesses douces et frémissantes. Maryline s’est alors retournée et a descendu son pantalon : « Je veux que tu m’encules, Fred… »

Je me suis agenouillé et j’ai léché son cul bien ferme, puis j’ai enfoui ma langue dans son petit trou. Maryline tremblait et gémissait. Elle s’est retournée et a placé ses mains sur le tronc d’arbre, se cambrant au passage. Elle m’offrait son rectum. Mon doigt a effleuré l’entrée de son œillet: il était tendre et brûlant. J’ai placé ma queue bien en face de sa rosette et j’y ai entré mon gland d’abord, puis tout mon engin, brutalement. Elle a étouffé un cri de douleur. Sans vouloir me vanter, je suis plutôt bien doté par la nature. J’étais étonné que ça passe aussi bien, sans tarder, je lui ai assené de gros coups de hanches, qui l’ont fait se plier en deux. J’ai vu sa main chercher son clitoris pour le masturber. Peut-être pour mieux supporter cette sodomie un peu hardcore. En même temps, elle m’encourageait en me disant des trucs comme « Tape dans le fond, vas-y, n’aie pas peur. »

Elle s’est cambrée sous mes coups de hanches, ses fesses brillaient sous une fine couche de pluie. Pressant ses miches, j’ai collé ma bite au plus profond de Maryline et j’ai joui dans un long râle. Sans me laisser le temps de reprendre mes esprits, elle s’est retournée et a agrippé ma main : « Finis-moi ! » J’ai enfoncé trois doigts sans effort, son cul était rempli de foutre. Folle d’excitation, Maryline a passé sa main derrière ma nuque et collé sa bouche contre la mienne, son cul ondulant de plus belle. Elle a explosé à son tour en étouffant un grand cri.

Bien évidemment, quand on est rentrés une heure après tout le monde, trempés et décoiffés, on a eu le droit à notre lot de sous-entendus moqueurs. Mais Maryline et moi nous voyons toujours aujourd’hui. Peut-être le début d’une histoire ? D’ailleurs, on reparle souvent de ce délicieux moment, en se disant que la forêt normande doit se souvenir de nous…

(Photo à la une : Getty Images)

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À retrouver sur notre plateforme VOD 

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  • georges

    Sodomie en forêt de Normandie,
    Magnifique histoire débats charnels en forêt, surtout quand une femme prend l’initiative de se faire désirer et de se faire sodomiser, j’adore ces profils de femmes.

    • Maria Dos Santos

      D’accord avec toi Georges….. J’aime aussi la sodomie…..

      • Maria Dos Santos

        J’annule ma réponse… Merci

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