Une sexualité plus tendre…
17 juin 2020Nadine, 42 ans.
J’aimerais vous faire part de mon histoire ! Je ne suis pas une « débridée du cul » comme certains ont l’air de s’en vanter dans les pages de votre magazine, alors, pendant longtemps, je n’ai pas voulu vous écrire. J’avais une sexualité très classique avec mon mari et je ne me voyais pas prendre ma plume pour vous narrer mon missionnaire du samedi soir. Cela n’avait pas grand intérêt, en particulier parce que nous la faisions la lumière éteinte et, souvent, le plus rapidement possible. Et puis nous nous sommes séparés, pour des motifs qui n’avaient rien à voir avec le sexe. Je me suis retrouvée seule, dans le grand marché des célibataires ! Je n’avais pas envie de retrouver une sexualité classique avec mes futurs amants, et je prenais bien soin de préciser que c’était un point important à chaque nouvelle rencontre.
Et puis je suis tombée sur Yacine, un magnifique Algérien, qui m’a soufflée qu’il avait une technique différente des autres hommes pour faire l’amour, quelque chose de beaucoup plus sensuel. Il m’a beaucoup parlée de « tantra » pendant notre discussion, et si je ne comprenais pas ce qu’il était en train de me dire sur le coup, une fois que je m’étais renseignée sur Internet, je trouvais que cette pratique était celle qui se rapprochait le plus de ce que nous faisions.
Le premier soir, il m’a simplement massée le clitoris, il m’a demandée de me concentrer sur tout ce que mon corps ressentait à ce moment. Que ce soit la chaleur qui s’emparait de mon corps, la sueur qui perlait sur ma peau, les doses de plaisir qui faisaient délirer mon cerveau. Il fallait que je verbalise la moindre de mes sensations, que je la nomme, que je sois enthousiaste à son propos. C’était très bizarre. On a l’habitude de s’oublier un peu quand on fait l’amour, d’oublier même parfois son partenaire. Mais là, il fallait que je sois consciente de tout, et même pire, que je partage mes pensées avec mon partenaire. C’était très déstabilisant, mais j’ai quand même ressenti du plaisir, un plaisir différent plus subtil, plus diffus aussi. Quelque chose qui se rapproche plus de la sensation de bien-être. À notre deuxième rendez-vous, nous avions convenu que c’était à moi de m’occuper de lui. Je ne savais pas trop comment m’y prendre, il m’a seulement indiquée que « je devais prendre mon temps, apprivoiser son organe comme s’il s’agissait d’un animal sauvage. »
J’ai fait de mon mieux ! J’ai d’abord titillé ses couilles du bout des doigts et j’ai léché un peu sa bite. De la même façon que je l’avais fait la dernière fois, il s’est pris à tout commenter, comme si nous étions à un match de foot. « Mmmmh, là c’est très bon, je sens que mon plaisir augmente au fur et à mesure. Je sens ce plaisir dans mon ventre, dans ma vessie et dans mon anus. » C’était à la fois complètement insolite, mais en même temps, j’aimais être sûre de la sensation que je provoquais sur son corps. Yacine n’a pas éjaculé, et a décidé de lui-même de mettre fin à nos ébats au bout de 2 h.
La troisième séance arrive bientôt ! Il m’a promise un « massage coquin » à trois, avec une autre fille en me disant que je trouverai ça plus doux. J’adore ces nouvelles expériences ! Cela me change vraiment de mon ex mari et de nos missionnaires du samedi soir.
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« Depuis notre première relation sexuelle, qui lui a fait connaître les bonheurs que pouvaient procurer un sexe, un doigt ou encore une langue, nous avons décidé de partir en croisière vers de nouvelles sources de plaisir. Elle a découvert les joies du cunni et de la feuille de rose, le plaisir de la sodomie, le fisc, la complicité des sextoys, le goût du sperme… Nous baisons pratiquement tous les jours. Sa façon préférée de prendre du plaisir vous inclus ! » Manu, 38 ans.
« Si le cul est trop serré inutile de vous enfoncer dedans comme un forcené, ça va faire mal et c’est tout ! Il m’est d’ailleurs déjà arrivé de ne pas pouvoir pénétrer une fille parce qu’elle était trop serrée. Dans ces cas-là, tant pis. On fait autre chose, d’autres jeux sexuels, et je lui donne rendez-vous pour une prochaine fois. Les filles attachent beaucoup d’importance à ne pas être brusquées. » Alexandre, 32 ans.