Mon premier trio

La rédaction 15 juin 2021

Cette jeune interstron.ruiste nous avait raconté ses aventures, aujourd’hui elle nous raconte son premier plan à trois avec un couple !

Trio Nice-Paris histoire de sexe

Bonjour les interstron.ruistes !

C’est moi, Marie, votre belle capverdienne coquine, vous vous souvenez de moi ?

Je vous ai déjà écrit mes aventures à deux reprises et je me rends compte que je ne vous ai jamais raconté, premièrement, comment j’ai connu notre magazine préféré et, secondement, mon tout premier trio avec un couple. Je me dois de réparer immédiatement cette omission ! Je vous raconte tout dans cette histoire porno. 

J’ai découvert les magazines interstron.ru par mon frère. Il en avait toute une collection dans sa chambre, il l’a oubliée lorsqu’il a quitté la maison pour s’installer avec sa copine. Comme sa chambre est la plus grande, j’avais investi les lieux dès le lendemain de son déménagement et, Ô surprise, au fond de sa penderie, il y avait toute une pile du fameux magazine. Je n’avais jamais été très portée sur les films pornos, je préférais nettement le réel et c’est ce qui m’avait tout de suite excitée au fil des pages : les témoignages des lectrices et des lecteurs. J’avais dévoré les hors-séries, l’un d’entre eux m’avait particulièrement intéressée. Et quand je dis « intéressée », je me comprends, je me souviens m’être masturbée un nombre incalculable de fois en le lisant et en le relisant.

Cela faisait des années que je n’avais pas pensé à cela, j’avais quinze, seize ans à l’époque.  Les images, les mots, tout m’est revenu en mémoire avec Paul, mon professeur d’escrime. Cinquante ans, sculptural, cultivé, intelligent et aussi beau qu’il est … marié ! Aucune chance qu’une jeune femme comme moi puisse lui faire tourner la tête ! Quoi que ?

Au fil de mes lectures, j’ai réalisé à quel point ce gap pouvait disparaître pour peu qu’on pousse un peu le destin. Aussi ai-je commencé à échafauder des plans plus tarabiscotés les uns que les autres, des scénars dignes de films X. Tout y est passé, simuler une blessure à la cheville, tomber fortuitement dans ses bras lors d’un combat, me « tromper » de vestiaire … mais je n’ai eu en rien besoin de ces scabreux stratagèmes. Une simple grève dans transports en commun a suffi. Voilà que j’étais bloquée à la salle d’armes, plus de bus pour repartir chez moi et après une séance d’entraînement de deux heures, mes jambes ne me portaient plus. J’ai été dire aurevoir à Paul en lui demandant de me souhaiter bon courage. Evidemment il m’a demandé pourquoi et après que je lui ai expliqué la situation il m’a proposé de me ramener en voiture.

A peine étions-nous assis dans l’habitacle que le GPS annonçait plus d’une heure et demie pour traverser l’agglomération de Toulouse !

« Ce serait peut-être mieux que tu dormes à la maison non ? On a une chambre d’amis et Clémence te prêtera des affaires pour la nuit. » m’a proposé mon sauveur.

J’étais un peu gênée, je me voyais déjà en train de tenir la chandelle, d’un autre côté imposer trois heures de route à Paul ne me paraissait envisageable non plus. J’ai accepté son offre avec un grand sourire.

Nous sommes passé acheter de quoi dîner chez un traiteur thaïlandais et nous sommes rapidement arrivés à destination. Clémence avait préparé l’apéritif et j’ai été surprise de trouver une femme dont le physique donnait presque à penser qu’elle avait le même âge que moi. En fait elle a quarante ans mais quel corps ! Athlétique comme moi, cette femme était aussi blanche que je suis noire, avec de longs cheveux blonds, de grands yeux bleus, une petite bouche presque sans lèvres et une paire de seins qui débordaient généreusement d’un décolleté trop petit. Le contraste entre nous était saisissant mais j’ai été sous le charme immédiatement.

Formidable ! J’avais déjà un œil sur son homme que je trouvais craquant au possible, ne manquait plus que je sois attirée par sa compagne. Moi qui n’ai absolument jamais eu de penchants lesbiens, mon cerveau était en ébullition.

Mes hôtes se sont révélés absolument charmants, Clémence, en particulier, était aux petits soins avec moi et se montrait de plus en plus tactile dans son approche.

« On se réparti les rôles ? » a lancé Paul. « Je vous laisse débarrasser la table, pendant ce temps-là je vais aérer la chambre d’amis et faire le lit ensuite je vous apporte le café au salon. » un homme qui prend des initiatives dans la maison et qui s’occupe de tâches ménagères, serviable et galant. Mon esprit a commencé à vagabonder et des images de lui nu sous la douche se sont mises à tourner dans mon esprit.

Voilà comment nous nous sommes retrouvées seules, la belle Clémence et moi, à ranger les assiettes et les couverts dans le lave-vaisselle, voilà comment, à cause de sa jupe trop courte, je n’ai pas pu éviter de poser les yeux sur sa chatte aux poils blonds et bouclés, voilà comment, malgré ma carnation sombre, Clémence a très bien vu mon émoi et comment je me suis retrouvé enlacée dans ses bras, sa bouche contre la mienne, à ne plus pouvoir bouger, pas même agiter un cil.

J’ai trouvé ça doux. Infiniment doux. Sensuel et coquin tout à la fois, un baiser libertin, un baiser libéré, un baiser sans attente, juste une offrande plus qu’une effraction. Puis elle s’est reculée, elle a dû penser que j’étais effrayée, c’est moi qui ai repris l’initiative, cette fois-ci en ouvrant mes lèvres ourlées pour mieux accueillir sa langue et porter la mienne à sa rencontre.

Je n’aurais jamais pensé qu’il soit si agréable d’embrasser une femme, si excitant aussi. Je sentais ma chatte monter en température et en degré d’hygrométrie. Je n’avais plus qu’un désir, glisser ma main sous cette jupe, vers ce calice doré qui semblait si soyeux.

Clémence a glissé une main dans mon décolleté, aurait-elle cueilli une fragile pêche qu’elle ne s’y serait pas prise autrement. Mes bretelles ont glissé, j’ai ouvert son chemisier et c’est seins nus que nous a « surprises » Paul !

Il s’est appuyé contre l’encadrement de la porte, jambes croisées dans une attitude très sexy, et nous a regardées, spectateur silencieux. Les baisers ont continué, se sont emballés, se sont envolés, tout comme nos vêtements qui sont tombés au sol les uns après les autres. Le regard brillant de mon professeur d’escrime portait mon excitation aux nues. Jamais je ne m’étais sentie autant désirer et mon trouble a atteint son paroxysme lorsque les douces caresses de Clémence ont flirté avec ma vulve.

J’ai écarté les cuisses, là, debout dans la cuisine, entre le réfrigérateur et l’îlot central, je me sentais sensuelle, fatale, j’avais envie de ces effleurements lesbiens, je les désirais plus que tout. Visiblement, il n’y a que pour moi que c’était une nouveauté, mon amante avait un savoir-faire indéniable. Agaçant mon clitoris avec une totale maîtrise du bout d’un ongle, glissant la pulpe du doigt pour ouvrir ma fente, allant oindre son doigt à ma source pour en napper mon bourgeon. Mes cuisses en tremblaient tellement c’était bon. Voilà que j’étais en train de vivre ma première expérience saphique et mon premier trio sexuel !

Mon calice était désormais plus qu’humide, je voyais briller mes sucs sur les phalanges de Clémence, elle a finalement pris ma main et m’a guidée vers la suite parentale. Elle m’a laissée m’allonger puis s’est tournée vers Paul et l’a mis à nu à son tour. Elle l’a pris par la main et ils m’ont rejointe sur le lit.

« Tu veux bien sucer Paul pendant que je m’occupe de toi ? » m’a demandé, candide, la belle Clémence.

Si je voulais le sucre !? Mais je n’attendais que cela. Il est venu s’agenouiller devant mon visage, sa longue bite juste offerte à ma bouche, j’ai avalé le membre viril en gémissant pile au moment où la langue de sa femme venait me chatouiller le clito.

J’ai tout donné dans cette pipe, branlant la hampe en vrillant le prépuce et en le décalottant à mort, suçant le gland, lèchent la tige sur toute sa longueur avant de gober une couille puis l’autre. J’étais tellement concentrée sur ma fellation que je n’ai même pas senti que Clémence venait de me fister. Elle nous a stoppé dans notre élan et s’est décalée pour que nous puissions voir notre reflet dans le grand miroir au pied du lit, elle avait son poing fiché dans mon vagin jusqu’au poignet !

Le magnifique pieux dans ma main, le fruit encore en bouche, la vue de ce tableau m’a fait jouir sur le champ. Un orgasme terrible, un tremblement de terre qui m’a ébranlée de partout.

A peine étais-je remise de ce premier orgasme que les rôles dans le couple s’inversaient. Clémence venait s’installer sur moi en face-sitting, me présentant ses fesses et tous ses orifices à lécher tandis que Paul enfilait une capote et se glissait entre mes cuisses. Comment décrire le tourbillon sensuel qui s’en suivi ?

Paul me prenait, tantôt avec douceur et langueur, tantôt avec force et virilité, pendant ce temps, sa femme se déhanchait sur ma bouche et ma langue, m’offrant tour à tour son anus, son con, son clito puis retour au trou du cul. Elle sentait bon la femelle en chaleur et me barbouillait littéralement de ses sucs au fragrances orientales. J’étais maculée de sa mouille, son clito, bien plus gros que le mien, venait forcer mes lèvres presque comme une petite queue, elle a émis un jet puissant lorsqu’elle a joui, c’est le moment que Paul a choisi pour se retirer de moi et m’enculer avec la même aisance que son épouse m’avait fistée quelques minutes auparavant.

Son pieu doux et fin a forcé ma rondelle sans aucune douleur et il m’a sodomisée jusqu’aux couilles le petit salaud. Clémence s’est relevée et est venue voir de plus près l’ouvrage de son mari. Elle lui poussait les fesses pour qu’il entre au plus profond de mon sphincter, sa queue ivoire dans mon petit cul d’ébène ! Je ne pensais pas prendre autant de plaisir, ni saphique, ni anal un jour ! Mais Dieu que c’était bon. Je n’ai pu m’empêcher de gémir puis de crier lorsque j’ai senti la langue de cette diablesse de Clémence. Lovée entre mes cuisses, sa langue était parvenue à se frayer un chemin jusqu’à mon clito qu’elle lapait avec une habileté toute féminine. J’ai joui d’un orgasme profond et total. C’est venu de mon bouton et de mon cul en même temps, le pied intégral.

Remise de ce plaisir que je ne connaissais pas, j’ai roulé une pelle à Paul qui, doucement, m’a rapproché de l’entrejambe de sa belle. Les cuisses quasi au grand écart (ils sont tous sportif dans la famille !) sa chatte s’ouvrait comme un coquillage rose. Un petit toupet de poil ornait son pubis, signant la blondeur réelle de cette femme si belle. J’ai improvisé et je me suis lancé dans le premier cunni actif de ma vie.

La fente était soyeuse et couverte d’une mouille comme un mucus léger aux parfums assez acides. J’ai adoré dévorer cet agrume. Moi qui m’étais convaincue « qu’entre filles » c’était dégoûtant, toucher une autre chatte que la mienne me hérissait le poil, alors un cunni !? Et j’ai fondu en sentant la perle du clitoris rouler sous mes coups de langue. J’étais même avide de récolter la mouille qui s’échappait de la fente dans laquelle j’enfonçais une langue impatiente.

Comme par magie, un long vibro noir est apparu juste à côté de moi, j’ai pris l’engin qui émettait déjà un bzzzzzz insistant et têtu. Au premier contact avec les nymphes, j’ai entendu un
« Oh oui …  Oh ouiiiiiii … oh ouiiiiiiiii » grave et murmuré. Je me suis enhardie et j’ai poussé le jouet en forme de rabbit loin au fond de la cavité qui l’a avalé sans sourciller. De ma position je voyais l’anus de Clémence s’épanouir puis se rétracter. L’idée m’est venue alors d’inverser le sens du sextoy, j’ai enfoncé la partie prévue pour venir stimuler le clitoris dans l’étoile palpitante. Tout de suite j’ai senti un changement dans l’attitude de cette femme si sensuelle, elle a relevé les jambes pour dégager son petit orifice, j’ai vu sa cyprine couler et venir lubrifier l’anale pénétration.

Sa jouissance l’a prise d’un coup, convulsive, longue, puissante. Ses cuisses tremblaient et sa main a forcé la mienne a éjecter le jouet tant les sensations étaient fortes.

Le reste de la soirée et la nuit qui a suivi n’a été qu’une longue passe d’arme. Autant vous dire que je suis très souvent invitée et que je découvre des plaisirs nouveaux à chaque fois que nous « croisons le fer ».

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