Essai transformé ! Entre les jambes de ma rousse

davidk 21 juillet 2022

Pour son match de rugby, Morad fait la rencontre de Abby une belle rousse irlandaise. Qui va bien s’amuser avec l’entre jambe de cette dernière…

Bonjour moi c’est Morad, 37 ans, voici mon histoire de sexe.Irlande – France, ça n’est pas le “crunch” qui nous oppose aux Anglais, mais c’est la promesse d’un beau match de rugby. Et on ne se doute pas du succès que remporte ce sport chez les femmes outre-Manche.

Quatrième mi-temps : fellation

Coup de chance, je me suis retrouvé à côté d’une superbe petite rousse en plein milieu de l’Aviva Stadium. Je l’ai invitée à aller boire un verre dans un pub, troisième mi-temps oblige et pourquoi ne pas en envisager une quatrième pour lui mettre un ou deux essais entre les poteaux !

Je n’ai pas approfondi mes connaissances sur l’Irlande, mais de l’Irlandaise oui ! Abby n’était pas douée pour les langues, mais de la langue. Une virtuose de la fellation, la Callas de la pipe ! Des pieds aussi ! Ma queue joue plutôt “avant” comme on dit dans le monde de l’ovalie. Un mastard grand et gros.

Quand ma belle rouquine a découvert à quel point j’étais gâté par la nature, j’ai eu peur qu’elle ne recule devant l’obstacle. Il n’en a rien été, mais elle m’a surpris en posant dessus ses ongles vernis aux couleurs de l’Eire. Après m’avoir masturbé et caressé avec ses voûtes plantaires, elle a doucement apprivoisé la bête en y égrenant un chapelet de baisers avant de commencer à me sucer pour de bon. J’en ai eu des copines qui aimer la turlute, mais alors comme Abby, jamais. Durant ces deux jours, si elle ne m’a pas pompé quinze fois… Je l’avoue, ça n’a pas été pour me déplaire aussi l’ai-je canardée à mort avec mon portable. Moi je voulais garder quelques souvenirs, et par bonheur, cela l’excitait à fond.

Sperme juteux

À plusieurs reprises, d’ailleurs, elle m’a fait jouir dans sa bouche, me montrant bien mon sperme qui l’inondait avant de vriller ses yeux aux miens et de déglutir bruyamment. J’ai même réussi à nous photographier au retardateur (ça n’est pas très bien cadré du coup), la chatte d’Abby grande ouverte remplie de mon foutre chaud.

Abby avait une façon de passer sa langue partout autour de mon gland pour mieux descendre jusqu’à mes bourses, le tout en me caressant du bout des doigts.

Souple et insatiable, dès que nous avions atteint le pinacle, elle voulait repartir pour un nouveau match. Ses menus seins en poire avec ses aréoles roses étaient hyper sensibles, elle me les donnait sans cesse à sucer ou à cajoler. Ses tétons bien sortis, ma grande bouche aspirait la moitié de son nichon, elle poussait alors des petits cris de bête sauvage et sa chatte mouillait à en laisser échapper des filets visqueux avec lesquels elle jouait. Allongée sur le dos, elle touchait ses nymphes et éloignait son doigt, étirant une stalagmite cristalline et huileuse puis s’étalait cette cyprine épaisse sur le clitoris qu’elle faisait bomber pour mieux me l’offrir à déguster.

Une bite bien astiquée

Une femme qui tient la fellation en si haute estime mérite amplement qu’on lui octroie des cunnilingus du même niveau que ses pipes. Je me suis donc évertué à la lécher aussi bien qu’elle me pompait. Sa liqueur était légèrement épicée, une trace de cumin et d’iode, un vrai régal. Son petit trou, lui aussi, était sensible à ma langue. La pauvre a bien voulu essayer que je le lui force avec mon énorme pieu, mais sans lubrifiant, il m’a malheureusement été impossible d’enculer cette beauté îlienne. Elle a quand même adoré que je lui doigte l’œil de bronze pendant que je la prenais.

Les heures se sont ainsi écoulées, entre Abby me bouffant la bite avec un appétit insatiablement renouvelé, ma queue en état de quasi-priapisme et sa chatte affamée réclamant des assauts toujours plus longs et plus puissants. J’ai rarement baisé avec une fille aussi exempte de tabous et, surtout, réussissant à parvenir à l’orgasme dans toutes les positions. Debout, en missionnaire, en levrette, à califourchon sur moi ou bien encore, les chevilles ramenées derrière la nuque. Alors ça, pour une expérience délirante ! Elle balançait ses belles guiboles et se retrouvait comme une petite grenouille, cuisses tendues, sexe totalement béant.

Un gouffre satiné que mon gros zguègue avait tout loisir d’investir, tandis qu’elle me griffait le dos ou les bourses. Sa chatte rendue à ce point accessible me permettait de lui asséner des coups de reins d’une puissance phénoménale, je revois son visage rougi par l’excitation, ses yeux bleus et j’entends encore sa voix monter dans les aiguës au fur et à mesure qu’elle sentait l’orgasme arriver, m’encourageant à garder le rythme avec des « Yes » répétés de plus en plus vite.

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