À vacances ratées, chatte fourrée !

Bonjour moi c’est Estelle, voici mon histoire de sexe. Parfois les vacances commencent mal, mais se terminent bien. En août dernier je suis partie pour le Var, trois semaines de cigales, de soleil et de soirées festives.

À mon arrivée, double douche froide ! Un orage et un certain Simon m’ont accueilli.

Queue des problèmes…

Mon airbnb avait été loué deux fois ! Vêtue avec mes fringues d’hiver, mon chemisier blanc collé à mes seins nus qui ne cachait rien de mon anatomie mammaire j’ai fondu en larmes. Il m’a pris dans ses bras, j’ai chialé comme une madeleine, il était grand, rassurant, je l’ai senti bander contre mon ventre, la pluie a cessé. Je venais à Sainte-Maxime pour m’envoyer en l’air, Simon était mignon et visiblement gâté par la nature.

J’ai osé lui dire « Tu as vu mes seins, je veux voir ta bite », il a sorti sa queue.

Un morceau ! Pour moi la taille n’est pas le plus important mais l’occasion fait le larron non ?

Je me suis accroupie et j’ai commencé à le sucer. J’ai dû me contenter de faire le tour de ce pieu, d’en dessiner les contours et en avaler un tiers, mais il a eu l’air d’apprécier.

Simon aussi savait y faire, amant prévenant, il m’a prodigué une léchouille parfaite, fouinant dans les moindres recoins de ma chatte qui n’était plus qu’une flaque, enfouissant ses longs doigts en moi. Il m’a donné à jouir deux fois rien qu’avec les prouesses de sa bouche puis il a repris sa baguette en main pour l’agiter à toute vitesse sur mon con trempé d’où émergeait mon clito. Cette friction lubrifiée par ma cyprine et sa salive m’a offert mon troisième aller simple pour le septième ciel.

Enfin, il s’est introduit en moi. Mazette ! Son membre raide n’en finissait pas de m’emplir. Avec le miroir derrière lui, je voyais tout, j’étais comme dissociée, comme si ce sillon qui se déformait sous la pénétration de ce gros boudin de chair n’était pas le mien, comme si je matais un porno, mais en en concevant toutefois toutes les sensations.

Il m’a alors installée sur le côté, je raffole de cette position lascive qui laisse à l’homme tout le loisir de reluquer, de toucher, de caresser. Et il ne s’en est pas privé, ses mains se sont égarées sur mes seins qu’il adorait visiblement malgré leur petite taille qui me complexe souvent, ses doigts se sont enfoncés auprès de son pieu, me dilatant encore un peu plus puis se sont faufilés dans mon anus accueillant. Je ne rechigne pas devant le plaisir arrière lorsque cela est fait avec délicatesse et au bon moment.

Orgasme à deux !

Quand nous avons arrêté de baiser, après que Simon ait éjaculé deux fois et moi joui une quatrième, le beau temps était revenu.

Les jours sont passés ainsi, entre danses sensuelles et balades, entre bains de soleil et promenades en mer. Je ne sais plus quand exactement il m’a montré les photos qu’il avait prises de moi lors de la première fellation. J’ai joué les outrées, en réalité j’ai adoré qu’il ait conservé une trace de notre toute première fois. Et évidemment, de me voir en train de sucer son bel outil, cela m’a donné des fourmis dans le ventre et ailleurs. Je me souviens, nous étions sur le bateau sur le port de Sainte-Maxime, encore seuls.

« Tu portes une culotte », m’a-t-il demandé avec ce sourire qui en disait long sur ses intentions.

« Oui, tu le sais bien, comme toujours. », lui ai-je répondu.

« Et bien, qu’est-ce que tu attends ? Enlève-là et donne-la-moi ! »

« Mais il y a plein de monde qui embarque … » il m’a coupée en me tendant la main, j’ai roulé le coton liberty à toute vitesse sur mes cuisses déjà bronzées, j’ai trémoussé du cul pour l’amener à mes chevilles et me dépêtrer du bout de tissus entortillé pour, finalement, le lui jeter en hâte.

Il l’a glissé dans la poche de son bermuda et m’a ordonné d’écarter les genoux. Il a fait la mise au point de son gros objectif, parfaite analogie de son sexe imposant qui bandait et se rétractait. À partir de ce jour, j’ai été sa chose. Il m’a fait m’exhiber en tous lieux, me foutre à poil sur le bateau électrique que nous avons loué sur le lac de Sainte-Croix et m’a fait l’amour absolument partout.

Soit je devais le sucer, jusqu’à éjaculation dans ma bouche sur une plage, soit je devais donner mon string en pourboire à un serveur après le dîner. Nous avons fait plusieurs plans à trois, Simon étant partageur… et moi gourmande.

Nous sommes rentrés en train ensemble, il a insisté pour que je porte la tenue de notre première rencontre. Évidemment, j’ai été obligée de faire le trajet le cul à l’air, il a même pris encore une fois ma chatte en photo alors que nous étions assis au café de la gare !

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