Le plafion de verre

La rédaction 19 mai 2021

Hervé, 28 ans est curieux et veut essayer la sodomie mais sa copine refuse. Le voila sauvé quand il rencontre Laetitia, vendeuse de sextoys.

Ma copine refuse de pratiquer la sodomie depuis le début. Je ne lui en veux pas, ce n’est pas son truc et je ne vais évidemment pas aller à l’encontre de son consentement. Mais du coup, j’ai fait un petit écart récemment, car la curiosité a eu raison de moi. J’ai rencontré à une soirée une jeune femme de 24 ans, Laetitia, qui était vendeuse de sextoys à domicile. Elle m’a tout de suite amusé, elle était très drôle, jolie brune décomplexée au franc-parler séduisant, et ce serait vous mentir que de vous dire que cette rencontre ne m’a pas un peu titillé côté libido, je vous raconte dans cette histoire porno.

J’avais très envie de la revoir. Nous nous sommes mis à tenir une correspondance salace faite de petites photos un peu dénudées et de blagues de cul. Jusqu’à ce qu’elle m’envoie une photo du dernier toy qu’elle avait reçu en livraison : un dildo en verre d’une taille assez imposante. « J’adore les jouets en verre, parce qu’ils sont d’abord froids et ensuite le matériau se réchauffe au contact de la peau. Moi, ça a le don de me rendre dingue, surtout si je suis prise en sodo en même temps. J’aimerais trop le tester avec toi. Mais bon, y’a ta copine… » Mon sang n’a fait qu’un tour en lisant ce message.

Après une nuit sans sommeil ponctuée d’une branlette dans la salle de bain, j’ai débarqué chez elle au petit matin, sans prévenir. Elle a ouvert la porte et m’a accueilli. « Tu veux jouer ? » Oh que oui, je le voulais ! Je voulais la voir à l’œuvre avec cet objet dans sa petite chatte de chaudasse. Juste pour regarder… Elle est allée s’habiller car elle voulait la jouer à fond fille sexy : elle a mis des dessous canons et des bas résille. C’était marrant parce que je l’ai matée en train de se saper alors que je savais qu’elle allait finir à poil. Mais elle aimait avoir sa panoplie de baise pour se sentir belle. On s’est dit que ce serait notre parenthèse enchantée, qu’on ne se laisserait aller à la tentation qu’une fois. Tu parles ! Elle m’a saisi par le col pour me plaquer contre le mur.

Elle m’a galoché comme il faut, main sur ma bite à travers mon fute, tâtant le renflement causé par ses gestes. Elle mordillait et suçait mes lèvres, mon cou et mes lobes d’oreille. Elle prenait le temps de m’exciter et y mettait toute l’attention possible. Ça me rendait ouf ! Je n’allais pas faire que regarder, c’était trop tard, mon cerveau avait vrillé… Elle a promené sa bouche impudique sur mon torse, a déboutonné ma chemise pour embrasser ma peau, puis elle est allée jusqu’à ma queue. Je me suis allongé sur le lit et elle l’a prise pour s’en régaler, gobant ma raideur, embrassant mon gland, tout en me dévisageant avec un côté chienne… Waouh, elle avait le don de bien préparer le terrain ! Puis elle a voulu mettre en pratique ce pourquoi nous étions là. Laetitia s’est mise à quatre pattes, a baissé sa culotte et m’a présenté son ravissant petit trou du cul. Elle m’a demandé de lui mettre le gode en verre dans la chatte, ce que j’ai fait, l’enfonçant doucement dans sa fente rose sombre.

Elle s’est allongée de côté et elle a repris la main pour se goder elle-même par-derrière. Je voyais sa main bouger sur l’objet et se l’enfoncer bien profond en se faisant du bien. J’oubliais complètement ma situation conjugale et je me plongeais dans la contemplation de cette fille sans chichi qui était en train de m’apprendre des trucs fascinants sur son plaisir. Elle s’érotisait toute seule devant moi, spectateur transi, et se faisait plaisir avec son jouet favori. Elle ne voulait pas que je la baise par la chatte, priorité était donnée au dildo qui semblait si plein de voluptés, par contre, comme elle me l’avait annoncé, elle voulait bien que je la sodomise en même temps qu’elle se godait. Je n’en croyais pas mes oreilles.

La sodo, non seulement elle l’acceptait, mais elle la demandait ! Elle a relevé les jambes contre son buste, elle continuait de se pénétrer avec le gode en verre en gémissant de plaisir, et moi je n’avais plus qu’à m’introduire dans son cul. Pareil, j’y suis allé tout doucement pour ne rien brusquer. L’ampleur de son kiff me faisait délirer ; elle était comme possédée, et elle tremblotait de l’entre-cuisses en se prenant la double péné de ma queue et du sextoy.

Les replis de son cul s’ouvraient à moi, tel une grotte enchanteresse que je visitais. Le plaisir était maboul, je la voyais prendre son pied à la fois “toute seule” et avec moi en bonus, avec ma queue qui s’enfonçait dans son petit trou sombre et qui devait décupler les sensations qu’elle prenait déjà par le jouet. Si belle, si bonne et si libre, Laetitia m’ouvrait de nouvelles perspectives. Son orgasme a eu l’air d’être d’une intensité proprement délirante. Voir un truc pareil m’a moi aussi fait jouir au milieu des vibrations de son orgasme.

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