Initiation à la double pénétration

La rédaction 31 janvier 2021

La copine de Bastien, 27 ans, fantasme sur un plan à 3. Trop jaloux pour sauter le pas, la belle finira tout de même par jouir de tous les orifices grâce à la magie du dildo.

Je m’appelle Bastin, j’ai 27 ans et voici mon histoire de sexe.

Chloé m’a fait une annonce récemment qui m’a vraiment perturbé. Suite au visionnage d’un film porno, elle tenait absolument à faire un plan à trois avec un autre homme. Mais moi, je suis d’un naturel assez jaloux et il était hors de question que je la partage. Déjà, j’ai pris sur moi quand elle m’a avoué regarder du porno seule dans son coin, mais la voir prendre du plaisir avec une autre queue que la mienne, non, c’était mort de chez mort ! Mais plutôt que de le refuser en bloc son fantasme, j’ai joué le petit copain conciliant, pour ne pas qu’elle parte voir ailleurs : j’ai acheté un dildo en silicone et j’ai annoncé la couleur d’emblée, ce serait exploration de la double pénétration.

En fait, quand Chloé m’a proposé son fantasme, l’imaginer intégralement remplie, par tous les orifices, ça m’a vraiment excité. Elle m’a dit que c’était un compromis plus qu’acceptable et a préparé la chambre pour nous deux, avec du lubrifiant posé à côté du lit, un éclairage tamisé et sa petite lingerie rouge dans laquelle je la trouvais craquante !

A voir sa petite frimousse émoustillée par l’aventure d’une nouvelle pratique sexuelle, je me suis tout de suite mis à bander. Je peux être plus long à me mettre en route d’habitude, mais j’étais tellement dans l’anticipation de la sensation de son anus serré autour de ma bite, cette dernière comprimée par un objet sexuel, que j’avais envie qu’on se mette aux choses sérieuses au plus vite.

Elle m’a pris en bouche en plongeant son regard bleu azur dans le mien, un sourire taquin aux lèvres. J’étais prêt, elle n’avait pas besoin de s’attarder plus que ça sur la partie préliminaire. Alors, très vite, elle s’est retournée et m’a présenté son joli petit trou. Elle frétillait du popotin et moi j’ai pris une grande poignée de lubrifiant et je l’ai étalée sur son petit cul. J’y ai apposé le bout de mon gland et je l’ai poussé bien fort dans le tréfonds de ses oubliettes. Tout le lubrifiant a glissé sur le côté, c’était assez amusant.

Maintenant que son petit cul était bien ouvert et dilaté, je lui ai demandé de se goder sous mes yeux avec son nouveau jouet. Elle a relevé les jambes, les a écartées un peu, et m’a montré avec quelle expertise elle arrivait à bien se l’enfoncer, sans aucun souci. Ça m’a excité grave, et très vite, j’ai réussi à me remettre à pousser ma queue dans son anus. Elle se godait en même temps, et je sentais parfaitement bien la texture, assez dure, de l’objet, contre mon sexe ! Jamais je n’aurais pensé que la membrane était aussi fine entre les deux orifices. C’était assez bizarre mais en même temps, très excitant. Je lui ai dit « et tu veux un « finish » comme dans les films porno ? » Elle m’a répondu « Oh oui ! » Alors je me suis retiré de son cul et j’ai giclé son adorable visage.

Elle a beaucoup ri et m’a dit « Merci ! Merci ! Merci ». Je crois bien qu’elle était chaude pour un second round, avec moi et mon fidèle pote, le gode en plastique. Qui a dit que l’on avait besoin d’un troisième partenaire pour s’amuser en couple ?

A LIRE AUSSI :

Double pénétration au boulot 

Matin bonheur

Fenêtre sur cour

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru