Initiation à la sodomie

La rédaction 6 mai 2021

Anita, 23 ans a envie de nouveau plaisirs charnel, ses souhaits sont exaucés quand elle rencontre Vincent qui lui fera découvrir les joies de l’anal.

Je suis Anita, mignonne blondinette de 23 ans. Je me cherchais un peu sur le plan sexuel ces derniers temps, car j’avais des envies d’exploration plus approfondie des plaisirs charnels. Je me testais, mais je ne savais pas trop vers qui me tourner pour exaucer ces désirs qui m’habitaient, aujourd’hui je vous raconte mon histoire de sexe.

Je ne voulais pas attendre d’avoir le sacro-saint petit copain ou “le” bon mec pour me lâcher alors, quand j’ai rencontré le grand frère de mon amie Lolita, Vincent, 29 ans, je me suis tout de suite dit qu’il serait un bon initiateur. Ou du moins un bon complice de galipettes, pour peu que nous soyons discrets, car je ne suis pas sûre que ce serait au goût de Lolita de me savoir en train de batifoler avec son frère chéri. Nous nous sommes rencontrés chez elle, dans sa chambre d’étudiante.

Nous y prenions un apéro avec son frère et des amis à lui, c’était la première fois que je le rencontrais, et il était beau, grand, dégingandé aux cheveux blonds qui retombaient en mèches souples sur les yeux, dans lesquelles il passait régulièrement une main nonchalante. Vraiment trop à croquer. J’avais envie que ce soit lui, mon enseignant des charmes de la luxure. Je le sentais ouvert, sensuel, patient, et j’avais envie de voir jusqu’où nous pourrions aller ensemble, à quel point il pourrait m’aider à satisfaire mes appétits charnels. Nous avons commencé à nous draguouiller à cet apéro, à la fin de la soirée, il était assis à mes côté.

Mon amie Lolita a fini par partir avec un garçon sur qui elle avait mis le grappin. Elle m’a laissée en plan en me disant que je pouvais dormir dans son lit. Tout le monde est peu à peu parti et je me suis retrouvée seule avec Vincent, sur le petit lit de Lolita, à continuer à discuter sans oser me rapprocher davantage. Nous étions sur le matelas mou, sur l’édredon coloré, entouré de murs couverts d’affiches, ambiance campus d’université, et j’étais comme l’héroïne d’un film à l’eau de rose américain.

Il n’arrêtait pas de relancer la conversation et, au détour d’une phrase, il a fini par pencher son visage sur moi. Je lui ai donné mes lèvres à baiser, ma bouche à prendre, ma langue à malaxer avec la sienne. Son visage a fondu contre le mien, et son corps s’est coulé contre mon buste. Je me consumais de désir pour lui et son assurance me donnait des ailes.

Il m’a allongée sur le lit, mon jean a glissé sur mes cuisses, mon débardeur est remonté le long de mon torse pour s’arrêter au-dessus de mes seins et laisser mes deux gros globes prendre toute leur ampleur, à l’air libre. « Touche-toi, j’ai envie de voir comment tu fais », a soufflé Vincent dans mon oreille. Ça m’a fait tressaillir et j’ai trouvé ça irrésistible. Aucun homme ne m’avait jamais suggéré ce genre de choses par le passé. J’ai avancé une main timide entre mes cuisses et je me suis mise à me caresser comme je le faisais chez moi, sous ma couette, à frotter délicatement mon clito avec plusieurs phalanges rapprochées entre elles.

Le contact de ma peau contre mon intimité sous le regard de cet homme qui visiblement désirait apprivoiser mon plaisir était jouissif. Les cuisses resserrées, les doigts contre ma chatte, je me donnais du plaisir, en toute liberté, pendant que Vincent caressait avec tendresse ma poitrine dénudée et mon visage, un endroit dont je ne soupçonnais pas qu’il soit aussi érogène. La pulpe de ses doigts contre mes joues me donnait des frissons qui circulaient jusqu’à la pulpe de mes propres doigts au fond de ma culotte. Sans cesser de me caresser, il a pris des photos de moi, avec mon autorisation et j’ai éprouvé un étrange plaisir à me savoir photographiée.

J’ai fini de me déshabiller pour lui offrir mon corps. Il s’est dénudé à son tour, ses yeux plongés dans les miens, et nous avons pu nous découvrir sans aucun artifice. Je me suis mise à quatre pattes, étonnamment libre, tous orifices dardés en arrière. Il a pris mes fesses dans ses mains avec émerveillement, passant ses doigts sur mes différents trous en les stimulant si habilement que j’haletais comme une petite chienne. Je me suis tournée sur le lit pour prendre sa bite dans ma bouche, explorer le relief de son chibre, son goût et sa texture. Je l’ai pompé, il a pris une photo et ça nous a tellement excités que nous nous sommes rués l’un sur l’autre. Je voulais qu’il me pénètre, qu’il m’assaille jusqu’à l’évanouissement. Je voulais m’en remettre à lui pour éprouver ces sensations que je cherchais à découvrir, notamment la sodomie, que je voulais essayer. Je le lui ai dit.

Je me suis retrouvée à quatre pattes, les fesses en l’air et, tout en me caressant le clito en reproduisant les gestes que je lui avais montrés, il est entré très progressivement dans mon cul en tâchant de l’apprivoiser peu à peu, s’arrêtant parfois pour me caresser et m’élargir. Un nouvel univers de sensations s’offrait à moi, je sentais le potentiel explosif de cet endroit si intime et j’ai joui plusieurs fois tant sa stimulation clitoridienne était précise. J’étais comme folle. À chaque orgasme, il perçait un peu plus mon intimité et il m’écartelait un peu plus de plaisir.

Nous avons changé de position et je me suis mise sur le dos pour lui ouvrir en grand le passage. Mes fesses étaient emboîtées entre ses cuisses, ses genoux de chaque côté de moi, ma chatte dégoulinant de stupre et il s’enfonçait toujours plus, osant à présent les allées et venues dans mon fondement. Je me suis mise à frotter mon clito dégagé, jusqu’à jouir une énième et ultime fois. Cette fois-ci, j’ai vraiment eu l’impression que mon orgasme me prenait aussi par le cul. C’est d’ailleurs à ce moment qu’il a éjaculé en moi.

Notre rapprochement nous avait emmenés à des niveaux très élevés de plaisir et nous étions exsangues, mais prêts à recommencer dès que l’occasion se représenterait. Je n’en ai toujours pas parlé à ma copine, car je compte encore garder le secret.

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