Sodomie pour Sidonie

Orane 4 mars 2021

Sidonie par en vacances en randonnée avec deux de ses potes, sans son mec, la belle ne va pas réussir à contenir ses ardeurs.. Un superbe trio comme on les aime

Je m’appelle Sidonie, j’ai 27 ans. Je vis à Paris et je suis ingénieure dans la recherche, voici mon histoire de sexe. Cet été, je suis partie en randonnée avec quelques copains. Mon mec n’avait pas pu prendre de vacances et je suis donc restée trois semaines à avoir les crocs.

L’attente était d’autant plus dure que, parmi mes amis, il y avait deux beaux mâles : Antoine, un grand brun aux yeux hypnotiques et Martin, à la musculature de bûcheron. Pour ma part, je suis blonde, svelte, plutôt grande, avec des tendances exhibitionnistes. Pendant la randonnée, nous passions nos journées au soleil, à alterner entre sessions de marche intense à transpirer et baignades à poil dans l’eau fraîche et limpide. Difficile de ne pas se rincer l’œil dans de pareilles conditions.

Après plusieurs jours de randonnée, deux de mes amis sont partis et je me suis retrouvée seule avec Antoine et Martin ; nous n’avions rien de prévu pour la suite si ce n’est de se balader en van pour quelques jours. Avant de rentrer chez nous, nous sommes allés boire des pintes au bar du coin. J’étais assez saoule et chaque frôlement de mes amis suscitait en moi une excitation intense.

Nous sommes rentrés assez tard et nous sommes tous les trois écroulés dans le même lit, collés les uns aux autres, Martin et Antoine en caleçon et moites de chaleur. Je n’arrivais absolument pas à dormir. J’étais tellement à fleur de peau que chacun de leur contact, involontaire ou non, me mettait dans un état pratiquement insupportable. L’envie de baiser était tellement insoutenable que je me suis levée pour m’isoler dans l’autre pièce de la maison.

Je me suis installée sur le canapé et j’ai commencé à me toucher, ma culotte était complètement trempée. Mes doigts qui glissaient sur mon clito, mais n’apaisaient qu’à peine mon envie de bite, une envie de me faire remplir à fond. J’approchais de l’orgasme quand j’ai entendu un bruit : Antoine venait voir si j’allais bien et me trouvait là, la main dans la culotte, la tête chauffée par le désir.

Il n’a pas hésité longtemps. Sans un mot, il s’est penché et a posé sa bouche sur mon entrejambe dégoulinante. Il m’a léchée d’abord avec précaution, je lui ai agrippé les cheveux et ai joué de mon bassin pour lui faire mettre un peu plus de cœur à l’ouvrage. Il a redoublé d’efforts et je me suis perdue en gémissements. La pression de l’interdit me grisait, tout mon épiderme était comme électrisé.

Probablement attiré par le bruit, Martin est à son tour apparu à l’entrée de la pièce ; il avait l’air un peu décontenancé, mais d’un geste de la tête je lui ai fait signe d’approcher. Un peu timide, il a d’abord touché mes seins, puis les a pris dans sa bouche, doucement, puis plus agressivement, en les pressant avec ses larges mains.

Antoine m’a alors retournée, j’étais déjà à moitié en transe, les membres comme engourdis par les vagues de plaisir qui déferlaient dans mon corps. J’ai avalé son sexe dur avec délice, à quatre pattes, pour bien laisser mon cul et ma chatte accessible à Martin. Je me suis délectée de la belle bite d’Antoine pendant que Martin s’est mis derrière moi en m’agrippant les hanches. Il a fait glisser le bout de son gland contre mes lèvres gonflées. J’étais tellement humide qu’il n’a pas fallu insister pour entrer en moi ; j’ai poussé un petit cri de plaisir étouffé, tant la sensation de me faire remplir m’avait manquée.

Je me suis remise à sucer Antoine de plus belle, en aspirant son gland baveux comme un sorbet, toute secouée par les coups de rein de Martin : je me sentais comme un jouet sexuel et j’adorais cette sensation. Ça me changeait des baises routinières d’avec mon copain… Martin a commencé à insérer un doigt, puis deux dans mon cul : si j’étais au bord de l’orgasme depuis le début, ces deux doigts ont suffi à me faire défaillir. J’ai joui intensément et ma mouille a dégouliné le long de mes jambes.

Antoine s’est couché sur le dos et je me suis empalée sur sa bite. Rien que de toucher son torse et regarder ses yeux avides ont suffi à me faire repartir. Alors, Martin s’est attelé à pénétrer mon cul, j’étais totalement offerte et son sexe couvert de mouille n’a pas eu trop de mal à rentrer. Je n’avais encore jamais fait de double pénétration, et j’ai eu l’impression de ne plus rien comprendre et d’être envahie par une tornade de sensations exquises. Je n’ai pas tardé à jouir de nouveau, très bruyamment cette fois, en même temps qu’Antoine. Martin s’est retiré et a fini en se branlant sur mon cul.

Nous nous sommes effondrés sur le lit, épuisés. J’ai fait un bisou à mes deux amis et nous nous sommes enfin endormis.

Mis à part quelques regards complices le matin, nous n’avons pas reparlé de cette succulente aventure. Mais je sais qu’aucun d’entre nous n’oubliera une telle baise !

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