Infirmière cochonne

La rédaction 21 mai 2021

Marina, 25 ans est infirmière. Elle rêve d’une partie de sexe au travail, la coquine jette son dévolu sur un mec de l’hôpital. Elle ne va en faire qu’une bouchée.

Je vais vous raconter ce qui m’est arrivé il y a peu de temps. Je travaille comme infirmière dans un petit hôpital local où plusieurs de mes collègues ont eu des histoires de cul avec des mecs du boulot, qu’elles soient en couple ou célibataires. Et moi… jamais rien ! Alors je me suis dit que j’aimerais bien me faire baiser au boulot, moi aussi. Je suis en couple depuis plusieurs années et je voulais sortir du quotidien. Un mec de l’entretien qui s’appelle William me plaisait bien ; en plus, j’avais déjà remarqué qu’il avait l’air plutôt bien membré. Je vous raconte mon histoire porno. 

Un jour, une stagiaire est arrivée, elle le connaissait. Je lui ai demandé si elle se l’était déjà tapé pour rire et elle m’a répondu que non, mais qu’une de ses copines avait déjà baisé avec. Je lui ai dit « Ah oui ? Et il est bien monté je pari… » en rigolant. Elle m’a dit, texto : « Oui il paraît qu’il a une bite énorme et qu’il adore baiser. » J’ai mouillé direct. J’avais encore plus envie de sa grosse bite à présent.

Je me suis arrangée pour le croiser le plus souvent possible, je déconnais de plus en plus avec lui, j’abordais souvent le sujet du cul. Je pense qu’il avait remarqué que je matais souvent sa queue. Plus le temps passait, plus on parlait cul. Je frémissais en l’imaginant me défoncer, et ce petit jeu lui plaisait, je le voyais bien. Jusqu’au jour où je lui ai proposé : « Si tu devines la couleur de mes sous-vêtements toute la semaine, tu auras le droit à une gâterie. » Il m’avait confié qu’il matait souvent mes strings sous ma blouse. Cette situation m’excitait au plus haut point, je voulais qu’il me baise, j’étais trempée à longueur de journée. Toute la semaine, il a trouvé la couleur de mes sous-vêtements. Pour le dernier, j’ai fait exprès de revêtir un string et un soutif rose fluo pour être sûre de le sucer. Alors que je refaisais un lit dans une chambre, il est arrivé, a fermé la porte à clé, prétextant l’entretien d’une fenêtre, et m’a dit « continue ce que tu as à faire. » Alors que je me penchais sur le lit pour finir de le faire, j’ai senti sa main sur mon cul. Il m’a dit « rose fluo » ; je dégoulinais de mouille.

Je me suis vite retrouvée sur le lit en train de me faire bouffer la chatte et le cul tout en me doigtant. J’ai senti un premier orgasme arriver. J’ai joui comme une salope. Puis je suis descendue au niveau de sa queue pour enfin la sentir et la toucher. Il avait une bite énorme, aussi grosse que longue. Je lui ai taillé une bonne grosse pipe juteuse comme je sais si bien le faire. Ensuite, il est venu me défoncer la chatte sur le lit. J’ai senti sa grosse pine me ramoner l’âtre, puis il est sorti de mon minou et il a frotté son gros gland juteux contre mon petit trou.

Je me suis dit « il va me déglinguer avec son engin ! » En plus, c’est une pratique que je refuse à mon copain… Mais je le voulais dans tous mes trous ! Il est entré tout doucement dans mon cul. Je l’ai senti centimètre par centimètre. Une fois bien calé dans mon boule, il m’a littéralement défoncée. J’ai crié comme une folle, j’aimais ça, il m’a fait jouir une nouvelle fois. Puis il est sorti de moi et il m’a chopé la tête pour que je le suce avant de cracher tout son bon sperme brûlant dans ma bouche ! Ça faisait des années que je n’avais pas bu de bon jus d’homme bien chaud. J’ai tout avalé jusqu’à la dernière goutte.

Deux jours après, je reprenais le boulot. J’étais tremblante rien qu’à l’idée d’aller bosser. Alors que je prenais une douche dans le vestiaire (je m’étais renversé du produit sur ma blouse), j’ai entendu quelqu’un entrer et puis plus rien… Je croyais que c’était lui qui venait me baiser pendant ma toilette. Et quand je suis ressortie de la douche, plus de sous-vêtements ! J’ai donc dû retourner bosser à poil sous ma blouse. Je dégoulinais de mouille, je savais que ce gros cochon était passé par là. Je l’ai croisé plusieurs fois.

À deux reprises, il m’a glissé des mains au cul. Ça me coulait le long des cuisses. À un moment, il est venu dans le local à médicaments, J’étais seule. Il m’a glissé un doigt direct dans la chatte en me disant « tu aimes ça salope, être à poil sous ta blouse… » Je lui ai juste répondu « j’ai envie de ta grosse queue, que tu me baises », puis une collègue est arrivée et il a dû partir.

Ma journée touchait à sa fin. Je me répandais comme une fontaine et il ne m’avait même pas baisée ! Je me suis changée, j’ai remis ma minijupe, la chatte à l’air. Je suis entrée dans l’ascenseur et juste quand la porte allait se fermer, il est arrivé et a bloqué l’ascenseur. « Tu ne croyais pas partir sans que je te baise ma salope ? » Il a soulevé ma minijupe, sorti son pieu et m’a défoncé l’abricot direct. Il est entré tout seul tellement j’étais humide. Il m’a dérouillé la chatte et le cul. J’ai joui comme jamais, pas étonnant vu comme j’en avais eu envie toute la journée. Il est ressorti de mon oeillet pour venir remplir ma chatoune de sperme. Puis il est parti.

Je suis rentrée chez moi. La semence me coulait le long des cuisses. J’ai adoré cette situation, me sentir aussi salope ! Mais quand je suis arrivée chez moi, mon mec était déjà là… J’ai vite filé sous la douche car je sentais le sperme à plein nez. Depuis, William me baise régulièrement, il est toujours aussi imaginatif, ce qui m’excite toujours autant ! Je suis ta salope, tu me baises quand tu veux et où tu veux avec ta grosse bite qui me fait tant jouir.

(Photo à la une : Getty Images)

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