Les désirs de Manuela

La rédaction 22 mai 2021

Fred 40 ans, fantasme sur la belle Manuela, une bombe que tous les hommes s’arrachent et c’est finalement lui qui aura sa confiance… et son corps de déesse !

Je fantasmais depuis plusieurs semaines sur une femme que j’avais rencontrée à une réinterstron.ru de la copropriété de mon immeuble. Manuela, belle plante évanescente, mère célibataire quinquagénaire, vivait au dernier étage. Je vous raconte mon histoire porno.

Elle venait d’arriver dans la ville. J’ai tout de suite flashé sur elle, avec son côté “MILF” hyper chaude sans avoir l’air de le savoir. Tous les hommes la mataient à la réunion. A la fin, je me suis approché d’elle pour lui dire que si elle avait besoin de renseignements sur la ville, je pourrais être son guide. Elle a souri et a eu l’air d’apprécier la proposition. Elle m’a fait un sourire avenant. Elle était tellement craquante !

Du coup, dans les temps qui ont suivi, je l’ai accompagnée dans ses ballades et dans des visites des sites touristiques. Nous nous sommes rapprochés, inévitablement. Elle m’a raconté que j’étais le premier homme à qui elle refaisait confiance depuis sa séparation et qu’elle ne pensait pas qu’elle pouvait encore plaire à un quadra. Oh que si, lui ai-je dit ! Elle était divine, tellement belle avec son côté un peu plus mature, aguerri, pas naïf et sexy à la fois. Elle était tout à fait mon type de femme ! Ça lui a fait plaisir et elle m’a proposé de passer chez elle le soir même car elle y serait seule. Je me suis échappé de chez moi pour monter au dernier étage. Elle m’a attiré contre elle sans même me saluer.

Elle m’a guidé à son tour jusqu’à sa chambre et elle s’est déshabillée avant de s’installer sur son lit, lascivement. “Je veux que tu me regardes, j’ai envie d’un regard d’homme sur moi.” Je suis resté debout contre le lit pour l’admirer avec attention. Mes yeux partaient de ses jolies chevilles fines jusqu’à son ventre plat en passant par son sexe ourlé de rose, sa poitrine naturelle, menue mais ronde, les traits de son visage, pour finir par ce sourire qui m’avait déjà fait fondre. Je l’ai prise en photo avec son autorisation. “J’aime sentir que tu me désires.” “J’ai rarement autant désiré quelqu’un”, ai-je admis.

Manuela m’a fait signe de m’approcher. Elle m’a aidé à me dévêtir, puis elle a entrepris de me sucer, en me demandant de continuer à la prendre en photo pour voir son visage en train de faire du bien à quelqu’un à posteriori. Elle se demandait à quoi elle ressemblait. Ses yeux fermés, sa bouche s’activant sur ma queue, elle était plus belle que jamais. Son visage délassé par le plaisir, la faille qui s’ouvre dans le visage d’une femme qui suce un homme… Si jolie… Je l’ai photographiée amoureusement tout en profitant de ses caresses. Elle m’a voulu en elle et m’a escaladé pour me prendre en amazone.

Je voyais son corps tendu comme un arc au-dessus de moi, à prendre les rênes de son plaisir en main et j’adorais sa liberté. Elle s’est retournée pour se mettre en amazone inversée et me donner une autre perspective sur son corps de nymphe. Son cul rebondi et généreux dansait sur mon ventre et sa chatte encaissait mon chibre en le domptant tel un animal sauvage, en en faisant son docile joujou. J’en profitais pour écarter ses fesses et admirer la finesse de sa rosette. Elle se laissait faire, elle avait cette maturité des femmes qui n’ont pas peur de montrer tous les recoins de leur intimité et qui n’en ont pas honte pour un sou.

Au contraire, elle cambrait encore plus son bassin pour que ma vision de son trou soit plus précise, elle aimait sentir que je la regardais par cet aspect-là de son intimité. J’y ai plongé les doigts pour lui procurer des sensations au niveau anal en même temps qu’elle se faisait plaisir vaginalement avec ma bite. Elle a piaillé de satisfaction. J’avais cet angle de vue formidable sur sa chatte avaleuse et son cul qui laissait passer mes doigts, venant à leur rencontre par sa cambrure, et la belle qui prenait son pied en accélérant le flux de ses mouvements charnels.

A force de basculer son cul d’avant en arrière et de se prendre ma bite et mes doigts à un rythme effréné, elle a fini par jouir en renversant la tête, et je vénérais ce plaisir, le mien me frappant au moment où je visualisais sa jouissance, éjaculant dans son sexe encore secoué de spasmes.

J’avais été son guide dans la ville et elle avait été le mien dans la sensualité.

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