Ana, la petite Américaine

La rédaction 19 mai 2021

Richard, 37 ans sort avec des amis en boite. La bande ramène 3 jeunes américaines et c’est la belle Ana qui lui tape dans l’oeil.

Les meilleures aventures sexuelles que j’ai connues, c’était très certainement avec ma bande de pote ! Je pense que c’est comme une bonne bouteille d’alcool, ils m’aident à me désinhiber et à montrer le meilleur de moi-même.

Il faut que je vous raconte la dernière histoire porno que nous avons vécue tous les quatre. Nous nous sommes pris quelques jours à Bordeaux dans un très beau loft que nous avions loué en plein centre-ville. Après une virée très tardive en boîte de nuit le premier soir, nous avions ramené trois jeunes Américaines à la maison.

Il faut dire que mes potes et moi étions plutôt beaux gosses et nous nous habillions toujours avec classe, surtout quand nous étions de sortie. Pantalon serré, chaussures en cuir, chemise cintrée, il n’en faut pas plus pour faire craquer n’importe quel regard féminin.

Bref, un peu éméchés et de retour à la maison, nous avions entamé une partie de poker plutôt originale ! Les règles étaient simples : si une fille terminait la partie avec le plus de jetons, elle pouvait choisir le mec avec lequel elle voulait finir sa nuit, si c’était un mec, c’était à lui de choisir. On était tous très concentrés durant la partie : il y avait une fille, Ana, qui m’avait vraiment tapé dans l’œil mais je voyais bien que j’étais le favori d’Amber… Et je n’avais pas du tout envie de me retrouver nu dans le lit avec elle ! Elle avait un corps plutôt bien fait, mais au niveau du visage, elle ne me plaisait pas du tout. Ana, en revanche, avait des traits très délicats et de beaux cheveux blonds que j’avais très envie de caresser pendant des heures (ça peut sembler ridicule, mais ils me fascinaient vraiment).

Au bout de nombreuses parties et de quelques coups de chance et de bluff, j’avais plumé toute la table et c’était à moi de choisir ! Je suis devenu tout rouge et j’ai demandé timidement à Ana si elle voulait bien partager mon lit ce soir dans un anglais très approximatif. J’ai vu Amber foudroyer Ana du regard, et celle-ci a haussé les épaules en disant : « That’s the game ! » Même si elle faisait semblant d’être forcée par le jeu, je sentais bien qu’elle en avait terriblement envie elle aussi.

Une fois que nous nous sommes retrouvés dans la chambre, je l’ai caressée avec beaucoup de pudeur. Je ne voulais pas lui imposer un geste déplacé. Ce qui est marrant, c’est que c’est elle qui a pris les devants ! Elle a baissé mon pantalon et a directement commencé à me branler. « French guys are so sexy ! » s’est-elle exclamée en rigolant. Je pense que l’alcool a dû jouer pour quelque chose dans sa libido mais je pense que les Américaines sont tout de même beaucoup plus dévergondées que les Françaises. Et je dois avouer que ce n’était pas pour me déplaire !

Je l’ai mise toute nue en baisant toutes les parties de son corps ferme et tonique, elle roucoulait de plaisir. J’ai tout de suite été attiré par sa belle chatte imberbe et fine que je me suis empressé de lécher avec entrain. Elle me caressait la tête comme si j’étais un petit chaton, et quelque part, j’étais ravi de voir que nos corps et nos gestes allaient si bien ensemble, malgré le fait que nous étions de parfaits inconnus quelques minutes plus tôt. Elle semblait très à l’aise avec moi, et j’en ai donc profité pour me lâcher un peu plus ! Je l’ai retournée à quatre pattes et lui ai posé la main sur le dos pour qu’elle se cambre bien. Je voulais qu’elle m’offre sa belle croupe.

J’ai touché l’entrée de son vagin pour m’assurer qu’elle était assez lubrifiée (en même temps avec ma salive, elle dégoulinait littéralement), et suis venu l’embrocher tout de go. Bien que je fusse doté d’un bel engin, Ana avait l’air d’encaisser le diamètre sans grande difficulté. Ses petits cris de plaisir m’indiquaient que je m’y prenais bien ! Super, tout fonctionnait comme sur des roulettes. Je ne suis pas sûr qu’une Française aurait accepté autant de choses dès le premier soir !

Je n’ai pas réussi à jouir, j’étais trop enivré par l’alcool. Au bout d’une quinzaine de minutes de pénétration, nous nous sommes tous les deux endormis dans les bras l’un de l’autre. Elle est restée dans le loft jusqu’à la fin de notre séjour, et à notre départ, elle m’a dit qu’elle avait bien aimé la France. Elle reviendrait certainement pour un séjour plus long afin d’apprendre la langue de Molière. Quelle aubaine pour elle : je suis aussi un excellent pédagogue !

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