Le bonheur des clubs libertins

La rédaction 12 décembre 2020

Franck, 68 ans, profite de l’absence de son épouse pour se rendre dans un club libertin où les échanges sont torrides et musclés !

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Je suis un lecteur d’interstron.ru depuis de nombreuses années. J’ai même travaillé dans une imprimerie de l’Est de la France qui imprimait votre revue : nous attendions avec impatience les dessins sur les postures amoureuses qui nous parvenaient ; c’était vers 1978-1979.

Je suis désormais à la retraite depuis 4 ans, mais ma femme a 20 ans de moins que moi et a souhaité travailler en Province : Elle a eu un poste à Nice et une intense activité professionnelle du fait de ses responsabilités.

Moi, j’occupe mon temps à beaucoup de choses, et notamment à fréquenter un hammam-sauna, pas très loin de notre appartement, qui devient un club échangiste les vendredis et samedis soir. J’y vais deux-trois fois par mois l’après-midi : la fréquentation est alors uniquement masculine.

J’ai la chance d’avoir un sexe un peu plus long que la moyenne (17 cm), mais surtout assez épais. En général, je viens dès l’ouverture de l’établissement. Après m’être un peu masturbé pour me mettre en érection, mon sexe attire et je suis en général sucé très rapidement.

Dans le quart d’heure qui suit, je sodomise un des participants, soit dans le hammam, soit dans une des cabines. Je n’ai aucune gêne de le faire en public, ou en cabine, à deux, trois ou plus. À chaque séance, j’ai de deux à six partenaires. Mais il est très rare que j’éjacule quand je sodomise. Je termine en général la séance en me faisant branler par mon dernier partenaire après l’avoir enculé.

Je m’allonge sur le dos sur la banquette et je l’invite à s’empaler doucement, à son rythme, sans forcer, à genou sur moi. Il a quelques difficultés au début : crainte, nervosité… Mais le désir est là et monte en puissance, au fur et à mesure que la pénétration, qu’il maîtrise, se fait lentement mais inexorablement. Quand je sens que mon gland et la moitié de ma queue sont en lui, je force à peine en soulevant mon bassin et je me retrouve à fond en lui.

J’attends qu’il reprenne son souffle, qu’il trouve le plaisir d’être dilaté par une queue qui le remplit pleinement, ayant oublié toute crainte de souffrance. La plupart du temps, il commence par de petits mouvements à se frotter, mon préservatif étant largement couvert de gel, puis s’enhardit et, à la fin, il me chevauche, laissant échapper des cris de plaisir, comme une femme en position d’Andromaque. S’il a une érection, ce qui est finalement rare, je le branle de plus en plus vigoureusement, en tenant d’une main, sans brutalité, ses couilles, pour qu’il puisse jouir.

J’apprécie de ne pas avoir à séduire : nous savons tous pourquoi nous sommes là et je ne regarde ni l’âge, ni la beauté physique. En général, mon partenaire me tourne le dos ; je m’agrippe à ses hanches, parfois en grimpant sur lui, je l’attrape à pleines mains pour le tenir par les couilles ou par le sexe. Parfois, étant en lui, je lui demande de s’allonger sur le ventre et je le ramone tel une femme, mon ventre étant massé par ses fesses. Il arrive que des spectateurs me caressent les couilles, m’enfilent d’un doigt ou se fassent sucer par mon partenaire.

La semaine dernière, ma femme a dû participer à un séminaire de trois jours. Le séminaire s’achevait le vendredi. Ce jour-là, elle m’a téléphoné vers 18 h pour me dire que le séminaire avait un peu traîné en longueur et qu’elle repartait en covoiturage avec des collègues jusqu’à Marseille où l’attendait sa voiture. Ils avaient prévu de s’arrêter pour un rapide dîner à Lyon. Elle ne serait pas à Nice avant 3 ou 4 h du matin. J’en conclus que j’avais la soirée pour moi.

Le hammam-sauna ouvre à 22 h quand il devient club échangiste. J’y pénétrais dès son ouverture. J’ai donc eu le plaisir de retrouver Valérie. Habituellement elle vient avec son mari Willy. Ils sont tous deux Martiniquais et âgés de 35 ans environ. Ce soir-là, la coquine était venue pour passer du bon temps et retrouver Sylvain, un moniteur du club de sport que le couple fréquente.

Valérie et Sylvain se sont dirigés vers une vaste cabine occupée par un grand lit rond et dont les parois et le plafond sont recouverts de miroirs. Cela permet de voir son ou sa partenaire tout en se regardant en action, ou en restant passif. Alors que Valérie se mettait en position pour une levrette et se faisait lécher par Sylvain, j’ai proposé à ce dernier de l’enculer pendant qu’il pénétrerait Valérie. Celle-ci a trouvé l’idée amusante et excitante, mais pas simple à réaliser.

Quand Val fut très échauffée, Sylvain a enfilé un préservatif et l’a pénétrée. Il a commencé à la besogner. Après quelques va-et-vient, j’ai saisi Sylvain par les hanches. J’avais enfilé un préservatif que j’avais très largement enduit de gel. Il n’a fallu que quelques secondes pour que je sois à fond en lui. Il a repris son mouvement. Je devais prendre son rythme pour rester collé au fond de lui.

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Les spectateurs se sont approchés, nombreux à nous regarder faire. Une femme s’est assise sur le lit à coté de Valérie et, humidifiant soigneusement ses doigts avec sa salive, a commencé à lui caresser le clitoris. Elle le faisait avec beaucoup de maîtrise et de douceur, renouvelant fréquemment la salive sur ses doigts.

Valérie a commencé à gémir. C’est allé crescendo. Cela excitait Sylvain. Plusieurs spectateurs et spectatrices se branlaient avec enthousiasme. Moi, je me tenais fermement accroché aux hanches de mon partenaire. Nous étions comme un corps double à la pilonner. Valérie est parvenue à l’orgasme. J’ai senti l’anus de Sylvain me serrer vigoureusement la bite et il a éjaculé dans sa partenaire. Il s’est immobilisé et je suis entré en action.

Excité par ce que je voyais dans les miroirs qui nous entouraient, j’ai senti la main de la femme qui avait branlé Valérie me caresser les couilles, son pouce me pénétrer l’anus et, doucement, y coulisser. Je n’ai pas tenu longtemps et, ce qui est rare pour moi, j’ai joui en sodomisant Sylvain. Tous les trois, nous sommes restés en position, Sylvain en Valérie et moi en Sylvain, quelques instants, appréciant notre jouissance.

J’ai senti sur le dos une petite pluie chaude : des spectateurs éjaculaient sur nous. Étant au-dessus, j’en ai reçu la plus grande partie. Nous nous sommes relevés et nous sommes allés prendre une douche. Valérie m’a frotté le dos pour faire partir le sperme que j’avais reçu. Puis nous sommes allés dans le grand bain à remous. Valérie s’est placée entre Sylvain et moi.

Dès que nous avons été assis, elle a saisi nos verges, une dans chaque main, et a commencé à ranimer nos virilités un peu ramollies. Quand je me suis levé de la piscine, je bandais au maximum. Immédiatement, Sonia, l’autre participante à notre quatuor, m’a pris fermement le sexe et est sortie avec moi. Après un long baiser, je lui proposais de m’allonger sur la banquette et qu’elle vienne sur moi pour un 69.

Ainsi installés, elle a commencé à me sucer la queue et les couilles. Moi, je la léchais de l’anus au clitoris, entrant peu à peu le plus possible dans son vagin avec ma langue. Elle écartait bien les cuisses et je me rinçais abondamment l’œil, en écartant ses lèvres avec les mains. La langue de Sonia s’est attardée sur mon gland et elle savait délicatement ouvrir mon méat, une zone pour moi très sensible et très délicate. En même temps, elle me branlait fermement avec la main.

À un moment, je lui ai dit que, si elle continuait, je risquais de lui éjaculer dans la bouche, d’autant que je voyais sa rondelle s’ouvrir et se contracter de plus en plus fréquemment, signe pour moi d’une montée en jouissance de ma partenaire sous l’effet de mes léchouilles.

Sonia s’est redressée, s’est assise sur ma poitrine, m’a coiffé le membre d’un préservatif tiré du bracelet avec la clef de son casier et, me tournant toujours le dos, à genou, m’a fait pénétrer en elle. Elle montait et descendait sur ma colonne luisante de mouille. Ses râles, d’abord discrets, se sont faits de plus en plus explicites. Avec sa main gauche, elle caressait ses grandes lèvres, avec un doigt de chaque côté de mon sexe. Elle est arrivée au plaisir, se soulevant au moment de l’orgasme.

J’ai pris le relais et, montant et descendant le bassin, je l’ai baisée de plus en plus fort. Je voyais ses fesses trembler de plaisir à chacune de mes poussées et, très vite, mon foutre a rempli le préservatif, bien au fond de son vagin. Bref, je n’ai pas regretté que ma chère épouse décale son retour à la maison de quelques heures qui, pour moi, furent un pur bonheur.

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