Toucher rectal à l’hospice
25 août 2022« Mon petit vieux arborait un sourire béat et me regardait d’un air joyeux et interrogatif. j’ai continué mon travail masturbatoire ».
Aurélie, 30 ans
Moi c’est Aurélie, j’ai 30 ans et je suis infirmière, ça c’est mon histoire de sexe. C’est un métier difficile. On n’a pas la reconnaissance qu’on mérite. Pas étonnant qu’on ait de plus en plus besoin d’infirmières. Il y a de moins en moins de jeunes qui veulent exercer ce métier : se faire traiter comme une moins que rien par les médecins, gagner un salaire de misère par rapport au niveau d’études qu’on a, avoir des horaires compliqués, la nuit, le week-end, et de sérieuses responsabilités.
Mais moi, c’est ma passion. Toute petite déjà, je savais que je voulais faire ce métier. J’ai choisi la gériatrie comme spécialité parce que je pense que les personnes âgées ne bénéficient pas de l’attention qu’elles méritent. « De toute façon, elles vont mourir, hein » : c’est incroyable le nombre de fois où j’ai entendu cette atrocité. Moi je crois qu’à tout âge, on a le droit à sa dignité, et à être traité convenablement.
Érection au toucher rectal
Je travaille dans une maison médicalisée tout près de mon domicile, et je suis très heureuse. Sans me vanter, je suis une jolie petite brunette, en couple depuis deux ans avec un garçon adorable. Je voudrais vous raconter ce qui m’est arrivé dernièrement. Peut-être que je vais vous choquer, mais moi, je suis fière de ce que j’ai fait. Tous les matins, un des toubibs de l’établissement visite les patients. La plupart du temps, les mamies et papis se contentent de commenter la consistance de leurs selles, comme si c’était devenu le centre de leur vie : « C’était un peu mou », ou bien « Je ne suis pas allé à la selle depuis X jours », etc.
Ce matin-là, c’était la doctoresse, une quinqua blonde à la forte poitrine, assez sèche et parfois cassante, mais plutôt sympa. Pas du genre à créer des problèmes là où il n’y en a pas, ou à vous prendre de haut. Alain, un de mes patients chouchous, un petit papi adorable de 76 ans, s’est plaint à elle de maux de ventre. La toubib lui a posé quelques questions, et lui a annoncé qu’elle allait devoir procéder à un toucher rectal. Aussi sec, elle a enfilé un gant en latex, mis du lubrifiant et a enfoncé deux doigts dans le rectum d’Alain. J’observais la scène en habituée, sauf que mon chouchou s’est mis à bander.
J’ai tendance à considérer les personnes âgées dont je m’occupe comme asexuées, et j’ai été très surprise, du coup, de ce pénis en érection sur le corps de mon cher Alain. La toubib, blasée, a fait comme si de rien n’était. Peut-être même qu’elle ne l’a même pas remarqué. Mais moi, j’étais fascinée. Elle a retiré ses doigts, a décrété que tout allait bien, a inscrit des trucs sur la prescription du malade et l’a salué cordialement avant de sortir de la pièce. Je devais la suivre dans sa visite mais j’étais bien ennuyée de laisser mon pauvre Alain en plan, en érection sous ses draps blancs. Je n’ai eu de cesse que le tour soit fini, et j’ai filé illico presto dans la chambre de mon pensionnaire préféré.
La branlette du vieux Alain
Alain a eu l’air surpris de me voir, surtout que je me suis avancée directement vers son lit pour soulever son drap. Il était toujours en érection. Son pénis ne devait pas faire plus que la taille de mon index, mais il était d’une dureté remarquable pour un homme de son âge. Sans mot dire, j’ai saisi délicatement ce membre fragile et sensible entre mon pouce et mon index. Je sentais que je mouillais ma culotte.
La scène avait un côté pervers qui stimulait mon imaginaire érotique. Mon petit vieux arborait un sourire béat et me regardait d’un air joyeux et interrogatif. J’ai juste dit : « Vous ne croyiez tout de même pas que j’allais vous laisser dans cet état-là, mon grand ? » Après cela, il a fermé les yeux. toujours souriant, et j’ai continué mon travail masturbatoire.
La taille de son pénis et sa fermeté me rendaient la tâche facile. Je faisais glisser avec dextérité sa chair fripée de haut en bas, lui couvrant et découvrant le gland de plus en plus rapidement, pressant à la base, jouant de l’autre main avec ses testicules qui avaient la taille de deux grosses noix. Je prenais beaucoup de plaisir à faire cela, et pas seulement le plaisir que l’on tire d’une bonne action. Je frissonnais, des vagues de chaleur me submergeaient, j’étais tellement excitée que, lâchant ses couilles, j’ai pratiqué à nouveau un toucher rectal — mais sans gant ni lubrifiant —, et il a déchargé presque aussitôt trois petits jets de sperme.
J’en ai eu plein les doigts. Je l’ai nettoyé avec ma langue, puis j’ai déposé un doux baiser sur son front, j’ai remis son drap en place, et je lui ai souhaité une bonne journée.Voilà mon histoire. J’espère que je n’ai choqué personne. Je crois nous avoir fait du bien, à lui comme à moi, et c’est ça qui compte pour moi. Bisous à tous les lecteurs d’Union.
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