De la péniche au pénis

La rédaction 11 juillet 2022

Mariska n’aime pas se prendre la tête mais lorsque se met en couple avec un homme très raffiné. Son rythme sexuel augmente et ils baisent tout le temps…

Bonjour moi c’est Mariska, 21 ans et ça c’est mon histoire de sexe. Je suis incorrigible . Je préfère les fast foods aux grandes tables, les jeux vidéo aux films d’auteur, la pop aux airs d’opéra. Petit hic, mon mec, Pascal, a vingt-deux ans de plus que moi et lui, c’est pas sa came, mais alors pas du tout. Il est romantique, bouquet de fleurs, couchers de soleil et déclarations enflammées.

Belle et longue bite !

Autre difficulté ? Je suis absolument dingue de lui ! Un loup alpha, les tempes grisonnantes, pété de thunes, beau comme un mannequin et dévoré par un amour et un désir de moi qui dépassent l’entendement. Il a aussi un “petit plus”, une bite fine, mais tellement longue qu’elle n’en finit pas.

Évidemment toutes mes copines sont folles de lui et lui, quel mot a-t-il employé l’autre jour ? … Ah oui, lui m’admoneste (il a avalé un dico !) parce que je passe trop de temps sur les réseaux sociaux et que je m’empiffre, je cite, de saloperies trop salées, trop sucrées gnagnagna, gnagnagna !

Du coup pour bien me foutre la honte de ma vie, qu’est-ce qu’il a fait ? Il a commencé à me chauffer pendant que j’étais au téléphone avec une de mes copines. J’étais bien au chaud, à poil dans le lit, on discutait fringues avec Noémie quand il a tiré lentement sur la couette mettant à nue ma peau frileuse. J’ai grinché, mais il bandait déjà bien dur et quand il est dans cet état, c’est peine perdue, rien ne l’arrête. « Vas-y, continue à parler à ton amie mon amour », son sourire était signé, il était parti pour une partie de jambes en l’air de fou !

Photo au poil…

Ce petit vicieux a commencé doucement, une caresse, une photo de ma chatte, une main qui écarte mes cuisses, un cliché de mes gros boobs qui retombent sur le côté quand je suis ainsi à plat dos tant ils sont volumineux. Voilà, j’étais faite ! Autant je suis sa déesse, autant il me rend dingue ce boomer !

Il a une façon de m’approcher et de foutre le feu au fond de mes tripes, je n’ai jamais connu ça avec aucun mec de mon âge. Il est le vice incarné dans une enveloppe de marquis du XVIIIe siècle. Une espèce de mixte entre vieille France et “caillera” de cité. Improbable et irrésistible.

Et c’est parti pour un de ces cunnis de folie. Il a dû en lécher des minous avant le mien pour être aussi satanément doué ! Et moi ? Moi j’étais bloquée au tel avec Noémie, obligée de donner le change.

Je m’efforçais d’écouter, relançant de temps en temps par une « oui, oui » ou un « hum », mais il fallait bien que je parle. Instant où, précisément, mon salaud de mec faisait de sa langue un vibro ultra rapide qu’il m’est impossible de décrire tant elle est orgasmique.

Mes doigts se sont crispés sur les draps, à m’en foutre des crampes, mais je ne pouvais pas me soustraire au plaisir qui montait en moi inexorablement. Toutes les filles connaissent ça, l’esprit se cloisonne et on entre dans un espace clos où seuls nos fantasmes jouent un rôle. L’abandon m’a happé, gouffre satiné et hypnotique.

J’ai hurlé tellement c’était bon, lâchant mon téléphone avec Noémie à l’autre bout qui gueulait « Mariska !? Oh !? Oh !? Mariska, tout va bien !? » Pour aller bien, j’allais bien ! Je venais d’inonder les draps, deux doigts de Pascal plantés juste sur la zone sensible qui déclenche ma fontaine.

Baise humide !

Il a subtilisé mon portable et a lancé un « on baise » et il a raccroché. J’étais dans le coaltar, j’ai à peine rouspété qu’il me mettait sa belle et longue queue sous le nez. Je n’ai jamais résisté à sucer un homme, alors lui, encore moins. Sa bite sent toujours bon, je n’ai de cesse de lui asséner des coups de langue et de l’engloutir en mode gorges profondes jusqu’à qu’elle crache tout son foutre que j’avale avec gourmandise.
Son kiff ? C’est que je lui fiche un doigt dans le cul quand je le pompe. Il adore ça. Au début je trouvais ça bizarre, genre, pour moi c’était un truc d’homo refoulé, mais il m’a appris le massage prostatique. C’est terrible ! Ça le fait éjaculer vachement plus et lui arrache des cris de petit cochon.

Nous habitons sur une péniche, les gros hublots à la tête du lit donnent une vue unique sur notre plumard. On baise toujours toutes lumières allumées et le flash, quand il me prend en photo à poil (c’est-à-dire à peu près tout le temps) attire le regard des badauds sur les quais. Il y en a même qui sont venus nous mater en montant carrément sur le pont. La dernière fois un type a juté sur la vitre ! Il m’a rendue folle ce type, avec son énorme machin qu’il secouait comme un automate au-dessus de ma tête pendant que Pascal me donnait ses couilles à bouffer.
Le prochain, Pascal m’a dit qu’il le faisait entrer pour me baiser avec lui. Rien que d’y penser j’ai la culotte toute trempée.

A lire aussi :

Léna entre lingerie, levrette et invités surprise

Bienvenue au gîte

Première fois à trois

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru