Histoire de sexe : Fantasme en latex

La rédaction 26 juin 2020

Dans notre histoire de sexe du jour, Mina, Lyonnaise de 35 ans, nous raconte son entrée érotique et sexy dans le monde du BDSM

Histoire de sexe fantasme latex

Je suis lectrice d’interstron.ru et d’histoire de sexe depuis que j’ai 20 ans. C’est grâce au magazine que je me suis mise à certaines pratiques. Depuis un moment, je suis tentée par le BDSM, surtout pour les accessoires. Je fantasme sur le latex, les fouets, les cordes… Mais je voulais commencer « en douceur ».

Je me suis inscrite sur un site de rencontres et j’ai cherché le bon candidat. Comme j’aime quand même maîtriser la situation, je voulais un homme qui ne soit pas spécialiste, juste excité par le principe. Je savais qu’il faudrait que j’apprenne à lâcher prise, mais disons que c’était comme une entrée en la matière. S. était l’homme de la situation. Un quinqua au physique agréable (1,80m, des cheveux gris et des yeux noisettes, habillé classe sur ses photos), qui disait être « ouvert aux expériences ».

Pour le tester, je lui ai proposé mes règles : pas d’histoire d’amour, juste un coup d’un soir. Il fallait venir chez moi. Et me faire un cadeau avant. Je lui ai envoyé un lien vers une super combinaison repérée en ligne. En échange, il aurait droit de m’utiliser avec.

S. n’a pas répondu pendant trois jours. J’ai cru que mon plan avait échoué, mais il m’a écrit au moment où j’allais supprimer son contact. « Pardonne-moi, j’étais en voyage pour le travail. Ton cadeau est en route, j’espère qu’il te plaira ». J’étais toute excitée. Ce soir-là, je me suis masturbée en imaginant la porter.

Mon paquet est arrivé quelques jours après. J’ai pris tout mon temps pour l’ouvrir. La tenue était parfaite. Je l’ai suspendue à un cintre en face de mon lit et je l’ai laissée là rien que pour me toucher en l’admirant. Ensuite, il a fallu l’enfiler. Plus compliqué car ça moulait excessivement. Mais une fois dedans, quel bonheur… J’ai écrit à S. pour lui dire que je voulais le remercier en personne. On a trouvé un créneau la semaine d’après.

Je n’ai pas arrêté de faire des rêves sexuels avant le jour J. Je me faisais dominer par S. mais aussi, des amis à lui. Dans mes visions, ils n’avaient pas de visage mais de très grosses queues qui me prenaient à tour de rôle. Autant dire qu’en enfilant ma combi en attendant S., j’étais excitée comme une puce. On avait convenu d’un scénario. Il devait entrer à 21h pile dans mon appartement, sans toquer. Puis il profiterait de ma « surprise » pour se servir de moi. J’allais être son jouet. J’étais humide à 20h45, trempée à 20h55. Allongée sur mon lit, je comptais les secondes.

S. est entré chez moi à pas de loup. Il a poussé la porte de ma chambre et j’ai été agréablement surprise. Il était mieux que sur les photos et très charismatique. Mon cœur battait très fort. Pas de peur, mais d’excitation, même si je me demandais si S. allait être à la hauteur du fantasme et y aller à fond. Je n’ai pas été déçue.

Le quinqua a enlevé sa veste de costume et l’a posée bien à plat sur le fauteuil. J’ai fait semblant d’être effrayée : « Mais qui êtes-vous ? Qui vous a permis d’entrer dans ma chambre ? » Pour seule réponse, il a retroussé ses manches en me regardant. Ses yeux brillaient. J’étais fascinée. Il n’a pas prononcé un seul mot en s’avançant vers moi. Je me suis redressée comme pour lui échapper… S. m’a alors attrapée par les cheveux. J’ai pensé au safeword qu’on avait choisi ensemble, mais je n’avais aucune envie de l’utiliser. Je l’ai laissé plaquer mon visage sur son entrejambe. « C’est ça que tu veux, hein ? », a dit S. Sa voix était grave et sa queue très dure à travers le tissu. Il a décalé ma tête, toujours en me tenant par les cheveux, et a sorti sa bite. Elle a fait comme un ressors et je me suis pris une “bifle”. « Allez, ouvre », a ordonné S. Sa voix était calme mais ferme. Sa queue aussi.

Je vous laisse admirer ma fellation de dominée, qui a duré si longtemps que j’en ai eu mal aux commissures des lèvres. Je n’avais aucun moyen d’échapper à la poigne de S., et j’en demandais encore. Chaque insulte me faisait mouiller davantage, chaque pression sur ma tête me donnait envie qu’il me possède. Il a exigé que je pose pour lui après que j’ai tout donné avec ma bouche. J’étais sa chose, une chose très sexy dans sa combi.

Quand S. m’a ordonné de lui montrer enfin ma vulve, nous sommes un peu sortis de nos rôles. Il faut dire que j’étais tellement trempée… Mes lèvres étaient toutes molles. Mon dominant m’a regardée, cette fois, sans aucune dureté. J’ai eu envie de lui faire l’amour tellement fort que je me suis jetée sur lui. Il s’est allongé et je me suis emmanchée sur sa queue. Une inversion des rôles inattendue mais tellement, tellement délicieuse ! La bite de S. était droite comme un “i” et dure comme de la pierre. Sa base m’ouvrait en deux, sa pointe entrait tellement loin que je la sentais sous mon nombril. Je l’ai chevauché jusqu’à la jouissance, en partant tellement loin que je n’ai même pas senti qu’il éjaculait en moi.

Nous avons eu du mal à reprendre nos esprits. Mais ensuite, nous avons ri de notre petite folie. S. m’a aidée à me déshabiller et a proposé de passer la nuit à mes côtés. Contrairement à mon plan, j’ai accepté et me suis laissée câliner jusqu’au lendemain.

Nous nous sommes revus depuis (avec et sans combi). Là encore, rien n’était prévu. J’apprends le lâcher prise d’une façon inattendue… même si je compte bien poursuivre ma découverte du BDSM !

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