Entre amour et amitié…
21 août 2024Julien, 25 ans, baise avec son pote qui suce extrêmement bien !
Mon ami Mathias a quitté la ville de Dijon. Il a réussi ses examens, et il habite maintenant à Lyon avec sa copine Virginie. Pour ma dernière année d’études, je suis resté seul dans l’appartement que nous partagions tous les deux avant. Voici mon histoire de sexe.
La semaine dernière, Mathias est venu à Dijon pour récupérer son diplôme, et il est passé chez moi pour prendre des livres et quelques fringues. Nous avons évoqué de vieux souvenirs, et il m’a confié que, bien qu’il soit très heureux avec sa copine, nos petites galipettes lui manquaient parfois. Je lui ai rétorqué que, malgré des visites fréquentes de Léa, il m’était arrivé de me branler en pensant à nos joyeux 69 poilus.
Une pipe d’enfer !
Je n’avais pas terminé ma phrase qu’il s’est approché de moi, a ouvert ma braguette, a dégagé et englouti mon sexe mou. Ce n’est pas tant son physique de doux grizzli qui me fait bander, mais je dois dire qu’il suce divinement bien. Sa langue s’est glissée sous mon prépuce, l’a décollé du gland, puis il m’a décalotté avec sa bouche. Ma bite s’est allongée et s’est redressée. Il était à genoux devant moi, creusait les reins. Je lui ai caressé le dos, j’ai déboutonné son pantalon, et j’ai glissé ma main dans son sillon poilu et chaud. Je sais bien ce qu’il aime, et je me laisse guider par ses réactions. Je posais mes doigts là où il fallait…
Très vite, nous nous sommes retrouvés nus et dans notre position préférée : moi dessous, et lui dessus qui me pompait. J’écartais ses fesses charnues, je le léchais, son anneau brun se détendait et s’entrouvrait sous mes baisers. Je le pénétrais profondément avec ma langue. Il s’est arrêté de me sucer pour gémir et m’a soufflé : « Je veux que tu me prennes, je ne l’ai jamais fait, je veux que tu sois le premier. »
Dans le cul de mon ami !
J’ai glissé par en dessous, je me suis retrouvé derrière lui. J’ai enfilé un préservatif, tout en contemplant son anus bien dilaté. Ses poils étaient collés par la salive, je me suis introduit doucement, je le sentais qui poussait, et moi je rentrais, je glissais lentement mais sûrement dans ses profondeurs. J’ai fini par m’enfoncer jusqu’à la garde.
Mais, sans prévenir, Mathias s’est dégagé d’un coup de reins. Il s’est retourné et m’a dit très tendrement : « Par-devant. Prends-moi par-devant s’il te plaît. J’ai envie de te regarder, j’ai envie de te voir… » Il s’est mis au bord du canapé, a remonté ses cuisses. Je me suis positionné devant lui, j’ai remonté ses couilles pour bien voir son trou du cul encore dilaté, et je me suis enfoncé très lentement.
Nous avons tangué ensemble, ses jambes musclées enserraient ma taille. Au moment où je me suis déversé au fond de lui, il a joui en râlant, s’aspergeant le ventre et la poitrine de plaisir blanc. Je me suis effondré sur son torse, épuisé. Nos peaux étaient collées par son sperme. Il a pris mon visage entre ses mains puissantes et m’a embrassé avec passion. J’ai adoré sentir sa langue forcer mes lèvres. Pour la première fois, mon pote me roulait un patin. J’ai fermé les yeux pour lui rendre son baiser. C’est un moment merveilleux, je ne l’oublierai jamais… « Entre l’amour et l’amitié, il n’y a qu’un lit de différence« , disait un poète du XXe siècle.
(Image à la une : Getty Images)
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