Une visite en profondeur chez mon amie
19 avril 2024Estelle – 32 ans – Sens, fait des retrouvailles sauvages avec son amie et son mari.
Quand nous sommes partis en visite chez mon amie Ness en Écosse avec mon chéri, j’étais loin de m’imaginer ce qui allait se passer ! Je suis hétéro, Roger et moi ne sommes ni libertins ni exhibitionnistes. Nous baisons quasiment tous les jours, pratiquons des tas de jeux coquins, en particulier, j’adore la sodomie, la queue de mon homme étant parfaite pour cette pratique qui me porte aux nues ! Voici mon histoire de sexe.
Des retrouvailles sauvages !
Nous avons donc débarqué tranquillement, retrouvailles, effusions, Ness nous a installés dans notre chambre et nous sommes descendus la rejoindre après une bonne douche très mutine. Évidemment Roger avait flashé sur ma copine et ses gros nénés, encore plus volumineux que les miens, et côté pare-chocs, je suis déjà bien équipée !Il m’a possédée comme un sauvage, debout contre le carrelage et a joui en quelques minutes, le foutre me coulait de la chatte tellement il y en avait. Autant vous dire que lorsque nous sommes descendus, j’étais dans un état ! Les pommettes rouges, le clito en feu, le vagin qui dansait la gigue parce que moi, je n’avais pas pris mon pied.
Évidemment Ness l’a repéré au premier coup d’œil et, sans piper mot, s’est dirigée vers moi pour me rouler une galoche dont je me souviendrai toute ma vie ! Sa petite robe noire et lamée ne cachait pas grand-chose de son anatomie, elle a juste fait un signe à Roger en lui désignant le fauteuil, l’ordre muet était clair, tu peux regarder, mais pas participer. Mon mec a ouvert des yeux tout ronds, jamais il n’aurait pensé me voir ainsi dans les bras d’une femme, moi non plus du reste !
J’ai été déshabillée dans l’instant puis copieusement léchée, ma fente sentait fort, j’étais encore pleine de cyprine et de traces de foutre, cela n’a en rien gêné mon amie qui m’a offert le cunni de ma vie. J’ai joui à en hurler tout en griffant l’assise du canapé sur lequel nous étions installées.
Un corps de déesse
Je savais bien que cela n’allait pas s’arrêter là, le renvoi d’ascenseur était ce que je pouvais faire a minima. J’étais toujours dans les brumes de l’orgasme, je n’ai eu aucune appréhension, aucun dégoût lorsque Ness m’a attirée entre ses cuisses pour me montrer son anatomie intime de plus près. Intégralement épilée jusqu’à la raie du cul, elle avait des nymphes comme des crêtes de coq, très développées et protubérantes. Dans cette position ses seins semblaient encore plus massifs, les chairs coulaient sur les côtés, les mamelons étaient gonflés et les tétons érigés. Elle a attrapé ses deux ballons et a porté ses aréoles à sa bouche sans difficulté. Elle a commencé à se sucer les nichons tout en réclamant que je la fouille avec ma langue. Malgré son éjaculation quelques instants plus tôt, Roger affichait une érection de dingue, il était en train de se branler en nous regardant avidement tout en prenant des photos avec son cellulaire.
Fantasmé sur une femme
J’ai pris ma respiration, je ne pouvais pas dire que je n’avais jamais fantasmé sur une femme, Ness n’attendait que cela, mon homme était dans un état d’excitation que je lui avais rarement connu. J’ai avancé mon visage et j’ai embrassé délicatement cette vulve douce comme de la soie. Les fragrances qui se dégageaient de la fente étaient très subtiles, légèrement marines avec un soupçon de monoï, Ness a mis ses doigts en ciseau sur ses petites lèvres pour les étirer vers le haut, libérant le bouton sensible et donnant à voir toute l’entrée de sa chatte rose et trempée. J’ai tiré la langue et le contact s’est établi, c’était un peu semblable à une queue en termes de suavité et de finesse, mais la sensation de cette fente qui coulait telle une source m’a plu immédiatement.
Le goût, les nymphes qui s’ouvraient, là-haut le clitoris bandé qui frétillait à chaque fois que je le lapais et surtout l’orifice, puits chaud et onctueux dans lequel je me suis perdue, j’ai adoré ! Ness continuait de peloter ses énormes boobs, elle en étirait les bouts pour les relâcher, donnant un rebond très sensuel aux deux fruits quand ils reprenaient leur place. J’ai enfilé deux doigts dans la chatte que j’étais en train de lécher et, comme si je me masturbais, j’ai imprimé les mêmes gestes dans ce vagin qui enflait au fur et à mesure de mes caresses. J’ai entendu un grognement que je connais bien derrière moi, notre mâle spectateur venait d’éjaculer, cela m’a excité davantage et j’ai accéléré mon rythme. Ness a joui en arquant son corps et en plaquant son bourgeon sur ma langue, signal muet que je ne devais plus bouger. L’orgasme devait passer sans autre contact avec cette boule incandescente et hyper sensible.
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