Surprise ! Je t’offre mon anus !

Bonjour moi c’est Joaquim, 43 ans, voici mon histoire de sexe. Aurélie, ma femme, est belle, intelligente, déterminée et exhibitionniste. Nous n’avons aucun tabou et nous envoyons en l’air quotidiennement et, quand nous sommes trop pressés, un porche ou un parking fait très bien l’affaire.

Nous aimons cette peur d’être surpris en plein ébat. Cela nous est déjà arrivé du reste et Aurélie n’a jamais autant joui que lorsque nous avons été matés. Seule barrière ? Son orifice anal.

Je rêvais de la sodomiser, en vain. Aurélie suce divinement, elle avale mon sperme avec une gourmandise non feinte et j’ai même eu la chance qu’elle ramène plusieurs fois une copine à la maison pour des plans à trois ! Mais la prendre par le petit semblait impossible. Jusqu’au jour où elle m’a annoncé que j’aurai une surprise au week-end.

La surprise du cul

J’avoue que j’ai été étonné de voir arriver un gaillard avec un gros sac à dos, encore plus quand Aurélie l’a guidé jusqu’à notre chambre. Je suis resté interdit dans le salon où elle m’a rejoint quelques instants plus tard, juste vêtue de bas noirs, pour me dévoiler enfin les deux grandes nouvelles de la soirée : j’allais déflorer son anus et l’enculer pour la première fois et nous allions être immortalisés par un photographe professionnel !

Elle m’a pris par la main et m’a guidé jusqu’à notre lit, tout un matériel y était installé pour la lumière et Aurélie m’a déshabillée devant cet inconnu, son œil gauche rivé au viseur de son énorme boîtier, et s’est mise à me pomper, elle sait que ses succions me sont irrésistibles et, malgré l’intrus, en quelques minutes, ma queue affichait une belle érection. Ayant été plutôt gâté par la nature, j’ai eu peu de compagnes s’attelant à des pipes satisfaisantes. Aurélie m’a alors enfilé une capote, oui nous sommes mariés, mais autant éviter les petits tracas de santé pour madame.

La bite dans l’anus

Le photographe s’est rapproché de nous tandis que ma douce offrait son cul bien ouvert à ma langue vicieuse pour un anilingus délicieux, j’adore les parfums légèrement relevés de son anneau même si je n’avais dû, jusque-là, me limiter à n’y jouer qu’avec ma bouche et mes doigts. Aurélie a pris la pause pour montrer son puits bien préparé, ma salive ayant laissé sa trace d’écume.

Elle s’est amusée avec son périnée, épanouissant son accès arrière puis elle s’est donnée à moi en cuillère, une de nos positions préférées comme pour les pénétrations vaginales. Cela me fait drôle à chaque fois que je revois ces clichés, même si nous pratiquons désormais la sodomie régulièrement puisqu’Aurélie a goûté que je l’encule, je ressens toujours cette pression plus forte sur mon gland lorsque, pour la première fois, je l’ai enfoncé dans le petit cratère. Cette pression qui, ensuite, s’est appliquée sur chaque centimètre de ma hampe au fur et à mesure qu’elle se glissait dans les entrailles de ma femme.

Chatte humide

Aurélie inspirait et expirait lentement, j’y suis allé tout doucement jusqu’à ce que mes couilles viennent au contact de sa chatte trempée. M’aidant d’une main, elle écartait sa fesse pour que le passage soit plus facile, et une fois planté en elle jusqu’à la garde, je n’ai plus bougé, attendant qu’elle me donne le signal.

Quelques effleurements de mes bourses m’ont fait comprendre que son anus avait accepté cette présence étrangère et qu’aucune douleur ne nous empêchait de continuer. Nous entendions les déclics de l’obturateur, cette petite musique nous excitait, tout comme cet œil cyclopéen qui s’appliquait à capturer cet instant unique.

Finalement mon épouse s’est installée à califourchon sur moi, nous avons même réussi, pendant la manœuvre, à rester emboîtés l’un dans l’autre ! Pouvant désormais contrôler la profondeur de la pénétration, il lui a été plus facile de se libérer et s’empaler à son rythme sur mon pieu dur comme de la pierre.

Premier orgasme anal

Frottant son clitoris contre les poils soyeux de mon pubis, elle s’est elle-même amenée au plaisir, son premier orgasme anal. J’étais aux premières loges pour admirer les traits de son doux visage déformé par une volupté d’une intensité que je ne pensais jamais voir. Elle s’est raidie de tous ses muscles, s’est cambrée, elle a fermé les yeux et s’est laissée envahir par des ondes salvatrices.

J’avais envie de gicler en elle, mais, ce que femme veut, Dieu le veut, et elle désirait avoir des photos de mon foutre sur elle également. Elle s’est retournée, cul en l’air, son petit trou était encore partiellement ouvert, je n’ai eu que quelques caresses à appliquer à mon pénis pour voir mon méat expulser ma liqueur brûlante sur ses fesses.

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