La première fois de Safia

La rédaction 2 juillet 2019

Safia, 20 ans, Lyon.

Chers lecteurs, j’espère que vous ne faites pas partie de mon entourage proche et que vous ne connaissez pas, de près ou de loin, mes parents. Je sais que je prends un risque en écrivant ces mots, mais j’ai besoin de trouver des personnes à qui me confier, et comme dirait ma mère : « Si quelque chose ne va pas, prends du papier et écrit dessus. » Alors, je vous écris.

Ça y est, c’est fait, je suis une femme maintenant, depuis quelques semaines à peine. Aucune de mes amies ne le sait, même les plus proches, je ne me suis confiée à personne. Mais à vous, je peux tout dire. Il s’appelle Ronan, un deuxième année plutôt rebelle sur lequel toutes les filles de ma promo ont craqué. Je ne sais pas si c’est sa moto ou sa dégaine de vieux chanteur de rock des années 1980 qui les séduit, mais il a vraiment quelque chose de plus que les autres. Un côté sombre, mystérieux, profond.

Notre histoire a commencé lorsque nous nous sommes retrouvés dans la même association sportive, celle de badminton. Nous manions tous les deux plutôt bien le volant. Nous partageons d’ailleurs des matchs très serrés, et il aime me surnommer Badminator. Je vous l’accorde ce n’est pas très sexy pour créer une vraie complicité.

Bref, un soir, il m’a fait le coup classique du « on va boire un verre ? » et la soirée s’est terminée dans son petit studio de 20 m2. Il avait l’air d’avoir usé de cette technique avec plein d’autres filles, il avait une boîte pleine de préservatifs près du lit (bien en évidence !) et une bouteille de blanc moelleux au frais. Je lui ai précisé que je ne buvais pas d’alcool en m’excusant. La religion. Il s’est senti bête de ne pas y avoir pensé plus tôt, ça a jeté un froid entre nous. J’ai senti que je l’attirais moins qu’avant, ou alors différemment. Comme si je m’étais tout d’un coup murée derrière un rempart de l’interdit, et que, quelque part, le franchir l’excitait. « Et donc, tu es… vierge ? » m’a-t-il demandé, comme si la religion et l’abstinence allaient de pair. J’ai hoché la tête.

Oui je l’étais, mais je voulais vite m’en débarrasser. Et pour le lui prouver j’ai soulevé mon tee-shirt, lui dévoilant mes deux petits seins bien fermes. Je crois que c’est l’acte le plus fou que je n’aie jamais fait ! Ronan avait la bouche entrouverte, et l’expression figée. Et moi, je ne savais plus où me mettre. Et s’il était déçu par ce qu’il voyait ? Je savais que j’avais toujours eu un certain pouvoir sur les hommes, mais maintenant, là devant lui, pendant que le temps semblait s’être arrêté, je n’en étais plus du tout sûre. Il s’est avancé lentement tout près de moi et m’a palpé les deux tétons.

C’était bon de sentir une main d’homme à cet endroit. Je me suis instantanément mise à mouiller. Il a retiré ma culotte, tout doucement, comme s’il découvrait un trésor caché. Puis, d’un coup m’a retourné sur son lit, le ventre sur ses draps. « J’irai doucement, ne t’inquiète pas », m’a-t-il murmuré à l’oreille. Savoir qu’il allait me pénétrer était terriblement excitant ! Si mes parents me voyaient dans cet état… En pensant à eux, j’ai failli m’enfuir en courant, mais je me suis ravisée. Ils n’en sauront jamais rien, et puis, mon corps m’appartenait !

Ronan a lubrifié son sexe, et j’ai entendu le bruit d’un préservatif. J’ai ensuite senti très lentement quelque chose entrer en moi. J’avais le sexe brûlant, je voulais le sentir tout au fond de moi, mais je n’ai osé accélérer la cadence, de peur d’avoir mal. Je sentais mon vagin s’ouvrir petit à petit pour sa queue. Il est vrai que c’était un peu douloureux, comme un bleu, une douleur très sourde mais pas insupportable.

Ronan a commencé à s’agiter très lentement au-dessus de moi. Il était allongé, et je sentais son souffle contre ma nuque. Après plusieurs allers-retours, il s’est arrêté et m’a demandé si ça allait. Je lui ai dit oui dans un petit gémissement, mais il s’est quand même retiré. « C’est tout pour ce soir, Mademoiselle, ne brusquons pas les choses. » Puis nous nous sommes revus quelques fois en quelques jours, et j’ai pu perfectionner mes techniques. Je vous ai joint nos dernières photos, pour que vous puissiez profiter du spectacle, et je ne compte pas m’arrêter là.

Mais attention, pas un mot à mes parents !

(Photo à la une : Getty Images)

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