La mère de mon coloc
17 janvier 2021Dans cette histoire érotique, Paul, 18 ans nous raconte son dépucelage avec Odette, la maman sexy de son coloc.
Je voudrais vous raconter la première fois que j’ai fait l’amour à une femme dans cette J’avais 18 ans, je faisais des études d’ingénieur à Paris, et je vivais en colocation avec un ami. Un matin, on a sonné chez nous. En slip, j’ai ouvert la porte. Une belle femme rousse qui sentait fort le parfum m’a souri : « Vous devez être Paul, le colocataire de mon fils. » Elle était venue exprès de Lyon pour le voir. J’étais ennuyé, Alain était en vadrouille, il ne rentrerait pas avant le soir.
Et, à l’époque, il n’y avait pas de portable pour le prévenir. Odette voulait revenir plus tard, mais j’ai insisté pour lui faire un café. Quand je suis revenu de la cuisine, elle était assise, bien droite, dans notre canapé défoncé. J’avais enfilé un pantalon. Elle m’a dit qu’elle avait un grand fils comme moi, que je n’avais pas besoin de faire de manières avec elle. Je lui ai servi une tasse de café. Odette avait fait un long trajet, elle a souhaité se doucher. Je lui ai montré la salle de bain. J’ai entendu l’eau couler, et imaginé cette femme nue, l’eau ruisselant sur elle… Ça m’a fait bander.
Quelques minutes plus tard, elle m’appelait. J’avais oublié de lui donner une serviette ! Gêné, je lui en ai tendu une au travers de la porte : « Vous êtes trop loin, mon petit. » Rouge écarlate, je me suis avancé vers elle. Je n’ai pas pu m’empêcher de la regarder. Cette dame avait un corps sublime ! Une peau blanche et souple couverte de taches de son, une poitrine lourde encore ferme, une taille fine, un pubis recouvert d’une toison soyeuse. Pour le puceau que j’étais, vous imaginez… Elle a pris la serviette, mais une de ses mains est restée sur la mienne. « Vous avez chaud vous aussi, mon petit. Une douche vous ferait du bien. Allez, pas de chichis. »
J’ai maladroitement ôté mes vêtements. Ça a fait rire Odette. Je l’ai retrouvée dans la douche. « Je vais vous savonner. » Elle a joint le geste à la parole. Elle a pris soin de passer dans la raie de mes fesses, sous mes bourses, puis s’est attaquée à mon sexe. J’avais une trique de tous les diables. « Excusez-moi », ai-je bafouillé. « Pas de ça entre nous, » a-t-elle répondu, s’agenouillant devant moi. Sa bouche a recouvert mon gland. Ses lèvres se sont resserrées autour de mon pénis et elle m’a sucé. Je n’ai pas su me retenir, j’ai dégorgé du foutre de tous les côtés. J’avais honte. Odette m’a embrassé. Elle m’a demandé où était ma chambre. Elle s’est allongée sur mon lit. Nous étions encore mouillés. Elle m’a dit de lui sucer le clitoris.
Timidement, j’ai passé un doigt sur sa fente, je n’avais aucune idée de quoi faire. Elle m’a guidée entre les lèvres, sur son petit bouton tout dur, et m’a montré comment faire pour lui donner du plaisir. Fort de ses 18 ans, mon sexe avait retrouvé toute sa vaillance — c’était le bon vieux temps ! Je me suis allongé sur elle, et mon organe a trouvé sans peine l’entrée de sa matrice. Je me suis mis à la tamponner de toutes mes forces, j’avais l’impression que ma tête allait exploser, Odette a commencé par gémir, puis elle a crié. Je me concentrais pour ne pas décharger. Dans un grand éclair de plaisir, j’ai été comme aveuglé, et j’ai éjaculé avant de m’aplatir sur elle, incapable du moindre mouvement.
Elle m’a tapoté les fesses en riant : « Mon petit, vous avez un bel avenir devant vous. » Puis elle est allée se rincer. Moi, j’ai enfilé des vêtements et j’ai pris mes jambes à mon cou. Je ne suis rentré que le lendemain. Je n’ai plus jamais reparlé de cette aventure, mais je remercie Odette de m’avoir déniaisé.
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