Les charmes de l’auto-stop

La rédaction 20 juin 2024

Luke, 40 ans, marié, trompe sa femme depuis 5 ans avec une auto-stoppeuse rencontrée par hasard.

Un après-midi pluvieux, alors que je rentrais de mon travail, j’ai pris en stop une charmante jeune femme. C’était une belle brune aux cheveux longs. Ses yeux étaient sombres et superbes et ses lèvres tout à fait pulpeuses. Elle portait un jean assez serré et son tee-shirt trempé moulait sa généreuse poitrine. Comme elle me l’expliqua en chemin, elle avait 24 ans et était étudiante en psychologie à la faculté de Nantes. Voici mon histoire de sexe.

Nous avons échangé des banalités, mais une fois sur l’autoroute, nous avons parlé de la vie de couple. Elle s’est mise à me poser des questions de plus en plus directes et très personnelles du genre : « As-tu une maîtresse ? Est-ce que ta femme te suce avant de faire l’amour ? Est-ce que tu aimes les filles dans mon genre ?… » Elle m’allumait avec une facilité déconcertante. J’avais de plus en plus de mal à contrôler la situation, d’autant qu’elle alliait le geste à la parole.

Une offre à ne pas refuser

Au début, ce ne furent que des petits jeux de mains, mais par la suite, j’eus droit à des baisers sur le cou et la bouche. Comme la pluie redoublait et que j’avais aussi de plus en plus de mal à me concentrer, j’ai décidé de m’arrêter sur une aire de repos. C’est là que mon étudiante en psychologie me proposa un « deal » plutôt intéressant : une partie de jambes en l’air contre l’intégralité du voyage, c’est-à -dire 30 kilomètres. L’offre était certes alléchante, mais le fait de tromper ma femme pour la première fois me faisait hésiter. Ange ou démon, « that is the question » ?

Mais la mignonne régla le dilemme en quelques secondes. Exhibant fièrement une boîte de préservatifs, elle ouvrit ma braguette pour en faire sortir ma grosse queue déjà  bien bandante. Elle avait beau avoir une vraie bouche de tailleuse de pipes, elle eut beaucoup de mal à  l’enfourner entièrement dans sa bouche. Mais elle était plutôt du genre gourmand et je ne pus résister bien longtemps à ses arguments. Pendant qu’elle me léchait la hampe, je prenais plaisir à caresser ses gros globes laiteux.

Explosion buccale

Au bout de quelques minutes, elle parvint à me faire jouir dans sa bouche. Je giclai tellement fort que je lui mis du sperme partout sur le visage, les lèvres, la bouche et les joues. Je pensais qu’elle allait s’arrêter là et me demander de repartir, mais il y avait une suite au programme. Elle fit reculer son siège pour pouvoir ôter plus facilement son jean. C’est là  que je m’aperçus qu’elle ne portait rien en dessous. Son adorable sexe, complètement épilé, était moite de désir.

Très excité, je pointai mon gland encore gluant vers sa chatte baveuse, mais elle voulut d’abord que je la lèche avant de la pénétrer. Je glissai donc deux doigts dans sa fente et ma langue commença à s’agiter fiévreusement sur son clitoris et dans son vagin. Dodelinant de la tête, elle se trémoussait de plaisir. Quelques minutes après, elle poussa un très long gémissement et elle m’invita à  la pénétrer tout de go. J’enfilai vite le préservatif qu’elle me tendit et je la pris avec force. Ma belle auto-stoppeuse hurla son plaisir pendant que je manoeuvrais avec délice dans son sexe agité de petites secousses. Après un nouvel orgasme, elle me fit jouir à nouveau dans sa bouche.

La pluie avait maintenant cessé et les vitres de la voiture étaient couvertes de buée. Après quelques baisers, nous nous sommes rhabillés et j’ai repris la route. Par la suite, nous nous sommes souvent revus après mon travail ou pendant nos moments libres. Nous avons fait l’amour dans des endroits aussi bizarres que des cabines d’essayage de grandes surfaces, des toilettes publiques ou encore le parking de la faculté. Notre aventure dure maintenant depuis cinq ans et notre imagination est toujours aussi fertile.

(Image à la une : Getty Images)

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« Elle nous a pompés l’un après l’autre, en s’appliquant à mort et avalant hyperprofond. J’étais le dernier des trois. Quand elle est passée à mon chibre, j’ai eu peur de débander devant mes potes. Mais ses lèvres de velours ont ravivé la flamme. » Ben

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» Je l’ai attrapée par les fesses et je l’ai installée sur mon sexe tendu de désir. Ma femme n’était pas passive, c’est le moins que l’on puisse dire d’ailleurs, puisqu’elle me chevauchait sauvagement, en faisant bien claquer ses fesses rondes contre mes cuisses. » Loïc

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