En voiture, Simone !

La rédaction 14 mai 2019

Ben, 27 ans, Pau.

Salut, c’est Ben, chef de projet informatique à Pau. Pour me faire un peu d’argent, je suis adepte du covoiturage : quand je fais de la route, j’amène aussi des passagers avec moi, moyennant un petit billet. En août dernier, je suis parti en Espagne avec deux copains, Sam et Paulo. Mais aussi avec Émeline, une coquine covoitureuse qui n’avait pas froid aux yeux.

Notre destination était Barcelone. Cinq heures de route que je devais diviser avec Sam. Nous étions contents de ce trip entre potes, d’autant qu’on avait fait baisser le coût de l’aller en récupérant Émeline via un site bien connu de covoit.

Dès qu’elle est montée dans ma caisse, mes deux copains se sont mis à avoir les yeux qui brillent. Il faut dire qu’elle avait ce qu’il fallait où il fallait. Fine, blonde, avec des nichons bien ronds moulés dans une courte robe blanche. Un vrai bonbon qu’on avait envie de déguster sur l’aire d’autoroute ! Mais on s’est tenus quelques kilomètres, papotant avec la belle et échangeant des vannes.
Émeline n’était pas timide.

Elle parlait de sa vie sans souci : étudiante, elle rejoignait des amies à Barça et avait décidé de s’éclater. Pour passer le temps et vu qu’elle était bien détente, on a lancé un « je n’ai jamais ». Le principe du jeu : chacun des participants énonce un truc sexuel qu’il n’a jamais fait et ceux qui ont au contraire connu l’expérience en question ont un gage. Au bout de quelques tours, on a bien compris qu’Émeline avait testé pas mal de situations, notamment un plan à trois avec une de ses amies.

Très excité par son histoire, je me suis lancé au tour d’après. En rigolant, j’ai balancé : « Je n’ai jamais fait du sexe oral avec plusieurs personnes à la suite. » Mes potes étaient morts de rire que j’ai osé dire un truc pareil. Émeline s’est marrée aussi, puis a dit d’une voix enjouée : « Moi, je ne l’ai pas fait, mais ça m’exciterait bien… » Mon pote Paulo, à l’arrière, a enchaîné cash : « Et bien, on a qu’à essayer ça maintenant. » Il y a eu de nouveaux rires. Et puis, dans le rétro, j’ai vu Émeline se pencher vers Paulo et se mettre à lui masser le paquet…

Mon pote s’est tendu sur la banquette arrière quand elle a glissé sa main dans son falzar. Elle a sorti sa queue et a commencé à tirer dessus doucement, puis a laissé couler un filet de salive jusqu’à son gland. Sam et moi, à l’avant, on n’en perdait pas une miette dans le rétro. On a maté Paulo se faire sucer pendant cinq minutes. Il avait les yeux fermés et poussait des gémissements de plus en plus fort. J’avais la bite en feu et dès que j’ai pu, je me suis arrêté sur une aire d’autoroute.

On est descendus tous les quatre. J’avais l’impression d’être bourré sans avoir bu : la tête me tournait et je me rendais bien compte que la situation était hypertendue. Il y avait des vacanciers un peu partout sur le parking, mais mes potes étaient à fond sur la fille, et cette cochonne n’attendait que nos chibres… Jamais je n’aurais pensé vivre une situation pareille !

Je m’étais garé exprès face à une haie, pour que personne ne nous voie à l’avant. Pour plus de discrétion, on a ouvert les portières de la voiture du côté gauche et on a plaqué des serviettes de bain aux fenêtres. Entre les deux portes, ça faisait un espace caché des regards. On s’est alignés tous les trois contre la caisse, le froc aux genoux, et on a attendu qu’Émeline fasse son travail.

Elle nous a pompés l’un après l’autre, en s’appliquant à mort et avalant hyperprofond. J’étais le dernier des trois. Quand elle est passée à mon chibre, j’ai eu peur de débander devant mes potes. Mais ses lèvres de velours ont ravivé la flamme. Sa langue s’enroulait comme un serpent autour de ma tige et ses doigts venaient me titiller entre les burnes et l’anus. Un plaisir que je ne connaissais pas mais que j’ai apprécié à mort.

Sam et Paulo se sont branlés tout en nous matant. Quand on a été suffisamment chauds, Émeline, toujours à genoux, s’est reculée puis a ouvert la bouche. J’avais envie de replonger dans sa gorge et de la baiser jusqu’à jouir à l’intérieur, mais je n’étais pas tout seul. On s’est concentrés tous les trois et on s’est branlés encore plus fort. Paulo est parti le premier, balançant une sale giclée qui l’a atteinte en plein dans les yeux. Sam a mieux joué et la belle a reçu sa récompense sur les lèvres et le menton.

Je me suis approché d’Émeline et j’ai guidé mon chibre. Mon gland a touché sa bouche trempée du sperme de Paulo, et cette sensation m’a bizarrement excité. La garce a donné quelques coups de langue sur mon gland et j’ai déchargé à mon tour, en plein dans sa bouche.
La jolie suceuse s’est nettoyée avec une serviette et une bouteille d’eau. On a continué la route sans aucun malaise, en parlant de cul et en blaguant comme si tout était normal dans cette histoire. J’ai gardé le numéro d’Émeline et on s’est revus une fois à Barcelone.

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Les autoroutes du désir
« Un après-midi, sur l’autoroute en revenant d’un club, mon mari m’a proposé : « Et si tu montrais ta petite culotte aux camionneurs pour leur faire plaisir ? » Je portais une petite jupe noire en cuir avec des dessous très sexy. » Marianne.

La magie du camionneur
« Il y a six mois, en rentrant d’un week-end dans le Sud, j’en étais à ma 6e heure de conduite sans pause quand j’ai commencé à piquer du nez. Plutôt que de me planter dans le décor, j’ai choisi de m’arrêter sur une aire d’autoroute et de me dégourdir les jambes. » Ludivine.

À retrouver sur notre plateforme VOD 

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