Comment vérifier si on plaît…
6 septembre 2024Sandrine 31 ans se rend en boîte de nuit. Elle y fait la rencontre d’un jeune homme avec lequel elle profite d’un after des plus excitant.
Les vacances sont maintenant terminées et je vous envoie cette missive pour vous conter une de mes histoire de sexe les plus surprenante. Depuis pas mal de temps, mon amie se trouve complexée par une prise de poids, elle ne se sent plus à l’aise en robe et me dit qu’elle n’intéresse plus personne. Plutôt qu’un énième régime, je lui ai suggéré de vérifier si vraiment elle ne plaisait pas, en boîte de nuit, cela sur le lieu de nos vacances où nous ne connaissions personne. Nous avions loué une chambre d’hôtel a proximité et j’ai préparé avec elle la soirée, m’assurant que son téléphone resterait constamment en liaison avec le mien pour que je puisse suivre la soirée à distance et j’ai ajouté quelques accessoires : sextoys, pinces a tétons, lubrifiant et surtout préservatifs. J’ai tout installé sur le chevet dans une boîte avec un appareil photo. Elle a rigolé, disant que tout ça ne servirait à rien, à part si je revenais avec elle.
C’était la première fois depuis 10 ans de vie en couple que nous avions décidé de nous lâcher, les vacances c’est fait pour ça ! C’est elle qui vous raconte la suite : La soirée en boîte de nuit commença par des préparatifs savants pour mettre au point ma sécurité (phrase pour prévenir qu’il y avait un problème, comme dans un film d’espionnage, voiture de location, etc.) et me rendre désirable, car comme dit mon ami commercial : « le packaging c’est ce qui attire en premier.» J’en lai donc, exceptionnellement, une robe d’été assez courte avec un body en dentelle. Je ne lésinai pas sur le rouge à lèvres, tant pis personne me connaissait et j’étais émoustillée par une rencontre que je fantasmais sans y croire. Dès le début de la soirée quelques vacanciers et vacancières arrivèrent, mais la musique (techno) ne favorisait pas les rencontres… Vers minuit, le DJ se décida à passer une musique pour les cougars comme moi, style années 1980 et quelques slows ; ma tenue un peu légère et mon rouge à lèvres attiraient des regards, mais sans plus.
un after féllation
Pourtant un joli brun se décida à m’inviter d’abord à boire un verre, il était seul et prêt à toutes les rencontres, comme il me le dit très directement. Au slow, il s’approcha de mon corps, je pouvais sentir ses mains qui devenaient un peu baladeuses vers mes fesses. J’étais un peu gênée, mais excitée aussi, mon minou commençait à s’humidifier. Bientôt, il me proposa une virée chez lui, je lui indiquai que je préférais mon hôtel et qu’il devrait être correct avec moi, il me dit « je t’obéirai si tu es sage », avec un grand éclat de rire. On arriva à l’hôtel en quelques minutes. On monta rejoindre ma chambre et ensuite, j’ai rappellé mon ami et laissé le portable près du lit.
Nous échangeâmes quelques baisers timides, et pour réchauffer nos sens, je nous servis un petit cocktail vodka mangue. Je lui montrai la boîte sur le chevet et lui demandai de l’ouvrir. Mon ami avait préparé une feuille «j’aime, j’aime pas» que j’avais dû compléter : « J’aime : les cunnis, les massages, les doigts dans la chatte, sucer les couilles rasées, le fouet pour jouer, les mots cochons… J’aime pas : la violence, avaler le sperme, les insultes… » Il prit alors le masque et me banda les yeux, il se plaça derrière moi et se mit à me couvrir la nuque de baisers, puis dans mes cheveux et dans tout le cou, avec une grande douceur. Bientôt ses mains glissèrent sous ma robe et il fit tomber le body qui ne cachait plus grand-chose. Ses mains se mirent alors à peloter mes seins durcis, ma prise de poids les avait rendus plus proéminents. Je sentais son excitation. J’ai fermé les yeux pour bien me concentrer sur ses mains qui pétrissaient mes seins, il jouait avec mes cheveux qu’il enroulait autour de mes tétons, puis les pinçait avec le pouce et l’index. Je me sentais fiévreuse, sa langue s’insinua bientôt dans la robe et il me lapa les seins et aspira mes tétons l’un après l’autre. Il alternait et c’était délicieux. Je ne me souviens plus de ses paroles, mais sur l’enregistrement on l’entend m’ordonner « prends-moi la queue, maintenant. » J’ai senti son membre sur mes joues. Il m’a ôtée le masque que je portais et je me suis trouvée face à son sexe encore mou, à ma grande surprise.
Je lui ai léché les couilles, puis j’ai passé quelques coups de langue sur son gland. « Suce-moi, coquine ! » Je me suis exécutée et sa tige a durci dans mes mains. Je lui caressais ses couilles et ses fesses musclées, il me tirait par les cheveux pour que je suce plus profond, mais je résistais et préférais lui faire des succions sur les couilles; il se saisit alors des pinces à tétons et me les accrocha sur le téton et les lèvres, « tu vas obéir ! » Il tirait sur la chaîne lorsque mon mouvement ne lui convenait pas. Il fit quelques photos en me disant : « Tu t’en souviendras, comme ça, quand tu suceras ton mec.» Il s’assit presque sur mon visage et m’apostropha « lèche chienne, je sais que tu aimes ça. » Je lui léchais maintenant les couilles et la raie, puis son anus en faisant des mouvements circulaires, il se releva légèrement. Après m’avoir dépoitraillée complètement cette fois, il m’aspergea les seins de sperme dans un grand cri: «Prends mon foutre sur tes nibards ! » Je me demandais si cela serait tout, mais j’espérais que non, car ma chatte était en feu, complètement trempée.
Double pénétration
Il s’agenouilla devant moi et me dit «maintenant on va faire ce que tu aimes, les cunnis, le fouet et je te prendrai sur la moquette, ma cochonne.» Il écarta mes cuisses au maximum: «Tu as une belle chatte bien taillée, ce doit être bon à sucer. » Il s’approcha et posa sa langue bien à plat sur mes grandes lèvres sans bouger, j’étais surprise. Ensuite, il bougea sa tête et là, je sentis sa langue frotter ma chatte qui coulait. Il se servit de ses mains pour me donner quelques claques sur les seins. Sa langue rentra dans ma chatte. « Suce- moi fort, j’ai envie!» Sa langue entrait dans ma chatte par à-coups. Il me fit de grandes léchouilles de l’anus au clito. Ses doigts entrèrent… Trois à la fois! Et je ne pus me retenir de jouir « encore ! Oui je jouis ! » criais-je… « Tu aurais dû m’attendre ! » Il se saisit du fouet et en profita pour faire glisser les lanières sur mes seins jusqu’à mon minou, il me fouetta alors les cuisses, puis, plus délicatement, le clito et mes lèvres. Ses coups de fouet sur mes seins étaient un peu forts, « vas-y doucement » ; « Tu as les seins fragiles alors voyons l’autre côté ! » Il me retourna après m’avoir poussée sur la moquette et il me fouetta chaque fesse et glissa le manche dans ma raie, j’étais un peu inquiète, mais il joua juste avec les lanières autour de mon anus, « écarte bien tes fesses, je vais t’élargir un peu le cul; tu as l’air à l’étroit…»
Je l’entendis alors ouvrir le lubrifiant, il m’enduisit le cul et après avoir mis un doigt dedans, il m’enfonça le gode dans la chatte. Il me pilonna ainsi un moment, puis me dit : « Je vais t’enculer, écarte bien.» Il sortit une capote, puis je sentis qu’il se branlait avec une main, de l’autre il introduisit le pouce dans mon cul. Il m’aspergea de nouveau de lubrifiant, puis ce fut le coup de bite dans mon anus, il entra d’abord pas très profond et après quelques allers-retours, il accéléra. Je criai : « Vas-y, continue ! » Le gode restait dans ma chatte, j’étais remplie des deux côtés, ses couilles appuyaient sur le gode à chaque coup de bite ; bientôt je lui dis : « Je jouis, défonce-moi, défonce-moi ! » Et il jouit dans mon cul, «tu es trop bonne, tu devrais te faire défoncer plus souvent le cul…» Il commençait à oublier les instructions de bienséance, mais ça valait le coup. Ensuite, je lui ai gobé la bite pendant 5 minutes, mais la machine était fatiguée, il se branla la queue entre mes fesses et cela le fit rebander suffisamment pour que je la lui prenne. Encore excitée je lui ordonnait « maintenant en 69 ! »
Je lui suçai son braquemard, mais il m’ordonna «je veux te traire», je ne comprenais pas… Alors, il passa sous moi et il me téta tout en me mettant des coups de fouet sur mon derrière. Il aspirait mes tétons, puis soufflait dessus. «Tu n’as pas de lait, ça mérite le fouet» et il se remit à me fouetter les seins avec la cravache, je lui dis « prends-moi » et il me fourra la bite dans la chatte où il jouit en éructant: « Jouis, dis que tu aimes ça ! » Et moi, prise dans le jeu : « J’aime quand tu me défonces, continue ! » On a vite joui et là, cette nuit se termina. Oui je pouvais encore plaire et mon ami m’avoua qu’il s’était branlé plusieurs fois en m’écoutant…
(Image à la une : Getty Images)
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