La veuve aguicheuse

La rédaction 24 janvier 2023

J’arrivais au-delà de la soixantaine et je voulais savoir si les hommes me désiraient encore. Étant veuve depuis bien longtemps, j’avais oublié la gaudriole, mais après avoir eu votre revue en main, j’ai décidé de me lancer… Tout d’abord je me suis caressée en pensant à vos histoires, puis en pensant aux personnes qui m’entouraient. Puis je suis allée sur des sites de rencontres. Certains me taquinaient, me demandaient de mettre des robes ou jupes mais je me trouvais trop vieille… Comme ils ont beaucoup insisté, j’ai décidé d’aller dans un magasin de vêtements, et là, un gentil vendeur m’a proposé, tout en me flattant, d’essayer plusieurs tenues. Je voyais bien que ce gamin jouait avec moi, mais je continuais à le laisser faire, à un certain moment il a ouvert le rideau de la cabine alors que j’étais en string et soutif. Je lui ai dit : « Ne vous gênez pas surtout !Désolé… » a-t-il répondu, coquin. Je m’appelle Marie-Jo, j’ai 63 ans et voici mon histoire porno.

Essayage à domicile

Puis j’ai essayé une robe avec fermeture et là j’ai dû lui demander un coup de main. Il est entré dans la cabine… Je sentais son souffle dans mon dos, la fermeture est remontée lentement… Fébrile le jeune homme ! Je suis sortie pour me regarder dans la glace et je lui ai dit : « Il faudrait la reprendre.Je m’en occupe ! » s’est-il proposé. « Oui, mais il faut m’aider à l’enlever » ai-je objecté… « OK.»

Il est rentré, et là, je ne sais pourquoi, la robe est tombée. J’ai mis la main sur sa braguette, « bel engin », lui dis-je et je me suis mise à le caresser à travers son pantalon. Je voulais qu’il explose, je le regardais faire des grimaces, je le voyais se tendre et d’un seul coup, j’ai vu que le petit jeune se lâchait… Je lui ai fait la bise et lui ai demandé de m’apporter ma robe chez moi, directement.

Une semaine est passée. Inquiète, je suis passée à la boutique et je l’ai vu : « Quand puis-je compter sur ma robe, jeune homme ? » Il m’a dit ne pas posséder de voiture, mais qu’il passerait dans la journée, qu’un ami le déposerait. Effectivement vers 17 heures ma sonnette a retenti. J’ai ouvert. Mon jeune était là avec son chauffeur, après qu’ils soient entrés, je leur ai offert un verre et je leur ai dit que j’allais essayer ma robe, « attendez-moi là ».

Mais comme une idiote, j’avais oublié la fermeture… Donc je suis revenue dans le salon et je leur ai demandé de m’aider. « Bien sûr ! » a répondu mon petit jeune. Mais là, il était beaucoup moins timide. Il a dit à son pote : « Regarde, elle met des strings. » Et il a soulevé la robe ! Je n’ai rien dit, mais j’étais hésitante, je ne bougeais pas… Moi, la femme sérieuse qui devenait cougar ! Et puis zut pourquoi pas, me suis-je dit.

Je sentais sa main qui remontait le long de mes cuisses. J’ai écarté un peu une jambe, il s’en est aperçu et a dit : « La coquine, elle a envie ! ». Tout en le regardant je lui ai fait signe que oui avec la tête. L’autre a proposé « on va la mettre à poil » et il a levé ma robe. Je l’ai aidé et là ça a été comme un déclic, je suis devenue comme folle. Je leur ai demandé de me montrer leurs bites pour que je les suce ! L’un d’eux m’a dit : « Tu as le droit de nous branler en même temps aussi… ». Alors, je me suis mise à quatre pattes sur la table du salon. Leurs queues étaient brillantes de désir. Une était longue comme un ver et n’arrêtait pas de bouger.

Trois pour le prix de deux

Je lui ai ordonné : « Prends-moi, baise-moi ! » Ah, zut, pas de capote, je leur ai dit de se débrouiller. Le plus vieux a pris son portable et m’a rassurée : « Ça arrive, tu vas en prendre, continue à sucer ! » C’était le pied, moi la vieille, je revivais. Ils me disaient que j’étais belle et que j’en prendrais encore si je voulais. « Bien sûr », leur ai-je assuré. La sonnette a retenti de nouveau, et le plus vieux m’a confirmé que les capotes étaient arrivées. Il est allé ouvrir pendant que je continuais à sucer le jeune.

Puis, j’ai entendu une nouvelle voix : « Ah mais elle est super votre nana… Pour la peine que j’ai eu à apporter les capotes, elle va me sucer ! ». Et là, j’ai vu une énorme bite noire, très longue, se dresser vers moi. Mes deux mains avaient du mal à la tenir. J’en branlais un, je suçais l’autre et je sentais que l’on me caressait la raie.

Je tortillais du cul pour qu’il me la mette. « Vas-y, enfonce », lui dis-je. Et il s’est présenté à mon trou… Je sentais le gland entrer progressivement. C’était bon de sentir cette chose me pénétrer. Je lui ai demandé de bouger plus fort : « Défonce-moi ! ». Il s’est mis à bouger avec force. Je connaissais seulement la pénétration de mon mari qui lui était doux et très réservé, mais là c’était mieux ! J’étais sûrement prise comme une salope, mais quel pied.

Le noir a dit à son copain : « Mets-toi sur le dos et toi, emmanche-toi dessus. Je vais t’enculer. » Je me suis exécutée et j’ai senti mon orifice se dilater… Quelque chose qui n’en finissait pas est entrée ! Une fois l’engin calé au fond, je me suis mise à bouger. C’était pas mal, je sentais les deux queues, j’étais bien. Quant au troisième, je continuais à lui caresser les testicules. Il m’a prévenue : « Ça vient ! » Je lui ai dit de tout me lâcher. Il a pris sa queue en main et m’a aidée. J’ai reçu des flots de sperme ! Chose que je n’avais jamais connue. Mais j’ai bien aimé. Je pense avoir loupé pas mal de choses en fait !

J’ai vu celui du dessus qui faisait une grimace en annonçant : « Je me vide ! » Et l’autre lui a répondu : « Moi aussi. » Ils ont pris leur capote bien pleines et m’ont annoncé : « Tu vas boire cette liqueur !» Ce que j’ai fait. C’était écœurant, mais cela leur faisait plaisir. Et puis il faut bien faire des sacrifices !

Après un petit café, ils m’ont félicitée de mon corps et m’ont demandé de ne mettre que des jupes ou des robes dorénavant. J’ai promis… C’est vrai quoi, pourquoi passer à côté de tous ces plaisirs, et plaire ne me déplaît pas ! Maintenant, le midi je fais les courses en jupe fendue pour chauffer tous les mecs.

J’aime à penser qu’ils ont sûrement la gaule dans leur froc !

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