Ma cougar de prof

La rédaction 21 juillet 2019

Carlos, 20 ans, Mexico

Mon père est Mexicain et ma mère, Française. J’ai décidé l’an dernier de passer une année en échange universitaire à Paris. Je ne me doutais pas de ce qui m’attendait dès mon premier jour à la fac.

Mon cours d’introduction avait lieu à 15 h, un lundi d’octobre. J’étais perdu dans les couloirs, à essayer de trouver ma salle. Tout le monde avait l’air de savoir où il allait, sauf moi. Les couloirs se sont vidés et je me suis retrouvé solo, comme un idiot. C’est là que j’ai entendu une paire de talons claquer sur le sol… Quand je l’ai aperçue, j’ai tout de suite eu envie d’elle. Une belle femme brune, grande, sûre d’elle et habillée sexy. Jamais je n’aurais pensé qu’elle était prof. Quand son regard a croisé le mien, elle a souri. Il faut dire que je bavais limite devant ses longues jambes enveloppées de bas résilles… Elle s’est avancée vers moi et m’a tendu la main.

« Bonjour, je m’appelle Marie X., j’enseigne au département de psychologie. Vous venez d’arriver ? ». J’ai répondu que j’étais en effet nouveau et que je m’étais égaré. Elle a eu un sourire et m’a tendu une carte : « Appelez-moi à la fin de votre journée, je vous ferai faire un tour de l’université ». Puis elle a disparu dans un claquement d’escarpins. Quel âge pouvait-elle avoir ? Son visage me disait la vingtaine, mais sa voix grave et son assurance trahissaient sa trentaine bien entamée. Une cougar, je le sentais : ce rendez-vous n’avait rien d’éducatif. Ou alors, dans un sens qu’il me tardait de découvrir.

Après ma dernière heure de cours, vers 18 h, j’ai sorti mon portable pour appeler Marie. Mon cœur battait fort, je sentais qu’il allait se passer quelque chose. J’avais raison. La voix grave s’est faite entendre dans le combiné : « Bonjour, j’attendais votre appel. Ça vous dit de venir boire un café dans la salle des profs de psycho ? À cette heure-ci, on sera… tranquilles. » J’avais vu juste, cette femme était bien une nympho avide de chair fraîche. Ça tombait bien, Je faisais une fixette depuis des heures sur ses bas résille ! 

J’ai mis des plombes à trouver la fameuse salle, perdue au fin fond de la fac. Tout était désert, et j’ai bien cru que Marie serait partie. Mais pas du tout. Elle m’attendait dans la petite pièce meublée avec quelques chaises, une table basse et une banquette, sur laquelle elle était assise. Ses jambes étaient écartées. « Mon cher Carlos, je commençais à trouver le temps long », a-t-elle souri. Le regard flou, elle a enlevé sa chemise un bouton après l’autre, puis baisser sa jupe. « Je peux compter sur votre discrétion, n’est-ce pas ? », a-t-elle poursuivi. Vu que je ne connaissais personne dans cette ville, je n’allais pas crier sur les toits ce que nous allions faire. Et surtout, j’étais prêt à jurer le secret pour pouvoir m’offrir un moment intime avec une prof… J’ai fait oui de la tête puis je me suis avancé vers elle, comme hypnotisé. 

Même dans mes fantasmes les plus chauds, je n’aurais pas pu imaginer la suite. Marie m’a déshabillé et, sans attendre, a commencé à me sucer. J’étais mou au début, mais sa langue agile m’a fait très vite durcir. Quand ma queue a été assez grosse à son goût, elle a farfouillé dans son sac, et a sorti un petit sextoy vibrant qu’elle a porté à sa bouche. Le regard gourmand, elle l’a humidifié avant de le glisser en elle. Ensuite, elle s’est mise en levrette devant moi et a tourné la tête pour me dire de sa voix intense : « Je vous laisse choisir votre trou de prédilection… ». J’étais tellement choqué que je n’ai pas su quoi répondre. Mais j’ai trouvé quoi faire : l’anus de ma prof était à quelques centimètres de moi, et je
n’ai eu qu’à tartiner ma bite de sa mouille abondante pour pouvoir la prendre. Elle était serrée, mais expérimentée comme une pro… Ses mouvements de bassin m’ont rendu dingue, et je pouvais sentir le sextoy vibrer à travers la paroi entre l’anus et le vagin. Au bout de trois minutes, j’ai eu envie de jouir. C’était trop dur de se retenir dans son petit trou, alors je me suis retiré et j’ai pris la prof par les hanches, pour lui coller dans la chatte. Elle s’est mise à gémir tandis que je faisais des cercles avec mon sexe. Mon gland était stimulé par les vibrations et, grâce à la présence du sextoy, j’étais presque aussi à l’étroit que dans son cul ! J’ai pu tenir comme ça 10 minutes, le temps pour la nympho de jouir très fort. J’ai attendu qu’elle se calme pour lui mettre quelques coups supplémentaires, et lâcher enfin la sauce mexicaine.

Cette année, je l’ai passé à m’envoyer en l’air avec ma prof, mais aussi avec des étudiantes françaises étonnées que je sois si « expérimenté ».

(Photo à la une : Getty Images)

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