Le coup du siècle

La rédaction 7 mai 2020

Solène, 28 ans.

Cela fait près d’un an que je le travaille au corps, et enfin, j’ai réussi à l’embarquer dans mon lit. Chers lecteurs du magazine interstron.ru, voilà la formidable histoire d’une femme passionnée par un homme inaccessible qui a quand même réussi son coup !

Nous nous sommes connus au restaurant, c’était un ami d’un ami, nous étions dix à table et nous nous étions assis – totalement par hasard à l’époque, je vous le jure – l’un à côté de l’autre. Nous avons discuté de nous, chastement d’abord, nos voisins parlaient fort entre eux de bagnoles et cela ne nous intéressait pas vraiment. Puis plus intimement, ensuite, voyant que nous avions tous deux beaucoup d’intérêts communs. Il était joueur de golf
professionnel, professeur à ses heures perdues. Il était beau comme un Dieu et d’un charisme éblouissant. J’étais alors en couple au moment de notre rencontre, mais j’ai vécu cette discussion comme un électrochoc qui allait bouleverser la vie sentimentale dans laquelle je pataugeais.

J’ai frotté ma cuisse à la sienne (j’étais alors en jupe), il a répondu en posant une main sur ma hanche. Tout se faisait sous la table, et aucun de nos amis n’a compris notre petit manège. Ma chatte était totalement en feu ! Je brûlais d’envie qu’il prenne plus de risques, qu’il plonge un doigt dans ma culotte afin de m’explorer un peu, qu’il touche mon pied avec le sien. Mais rien ne se passait et le désir enivrant qui me prenait aux tripes me retournait. Cela faisait longtemps que je n’avais pas ressenti de désir, je pensais d’ailleurs que je n’en étais plus capable. Mais non. J’ai quitté mon mec le soir en rentrant et je me suis mise en tête de vivre avec Denis, le joueur de golf. Il m’avait laissée son numéro et je lui envoyais tous les jours des messages extrêmement salaces. « J’aurais dû te prendre sur la table devant tout le monde, cuisses écartées. » « Je me touche en pensant à ta cuisse contre la mienne. » « J’imagine tes lèvres caresser mon entrejambe. » Ce petit jeu, auquel il répondait toujours par un message court et poli, a duré quelques mois, puis au bout d’un moment – n’y tenant plus – il m’a invitée à boire un verre. Je m’étais mise sur mon 31, avait sorti le décolleté le plus outrageux que j’avais dans ma garde robe, j’étais même passée chez le coiffeur pour avoir un brushing impeccable. Je crois qu’il a eu le souffle coupé en me voyant. Je dis « je crois », car en fait je n’en sais rien, mais j’aime m’imaginer l’histoire de la sorte. À ce premier café, il ne s’est rien passé. Il m’a avouée être en couple, ne pas vouloir tromper sa copine et qu’il était quelqu’un de fidèle et droit. Il m’a révélée sa culpabilité par rapport à mes messages insistants, qui lui procurait une énorme excitation. Je lui ai laissé entendre la mienne, d’excitation. J’ai déversé un flot de mots crus et sexuels durant le reste du café et il est resté silencieux. Son regard de braise me dévorait. Je savais qu’il n’en pouvait plus lui aussi, mais je savais qu’il ne pouvait rien dire. Il s’est levé, il a payé et il est parti. Il m’a envoyée un autre message : « Le jour où je deviens célibataire, c’est ton cul qui va trinquer en premier ! ».

Il ne fallait pas m’en dire plus pour relancer la machine à fantasmes ! Il avait maintenant le droit à deux messages quotidiens, plus quelques photos coquines, quand l’envie m’en prenait, lors d’un bain chaud ou d’une nuit de solitude.

Ses messages devenaient de plus en plus longs même s’il restait toujours aussi chaste et distant. Je n’en pouvais plus. Savait-il seulement que je jouissais à chacun de ses mots, si banals soient-ils ? J’ai dû attendre encore 5 mois avant qu’il ne quitte sa copine. Il ne m’a pas dit exactement qu’il l’avait quittée, il m’a juste envoyée « Prépare ton cul, dès demain, j’arrive. » J’ai tout de suite compris.

Le lendemain, il était bien chez moi et on a baisé comme des bêtes ! J’ai adoré découvrir ce corps que j’avais tant désiré, tant voulu. Cette bite que je m’étais représentée de mille façons différentes pour ne pas être déçue en la voyant pour la première fois. Je n’ai pas été déçue. Elle était douce en moi, ferme, vaillante. Il m’a labourée comme un pro, comme un sportif, avec rythme et énergie.

Au petit matin, je n’ai pu m’empêcher de prendre quelques photos. Je voulais le conserver avec moi toute ma vie. Je l’avais tellement attendu. Un tel désir ne vous quitte jamais vraiment. Il vous tatoue à jamais.

Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…

Itinéraire d’un soumis gâté

« Elle a découvert la joie de la domination et moi, je suis très heureux car mon esprit est libre. Je n’ai aucune décision à prendre, je ne m’occupe que de son plaisir pour mon plaisir, je suis serein, j’ai une position de soumis. J’ai de très fortes émotions et relations sexuelles. » Marc, 35 ans.

Mon amant fauve

« Il frottait, caressait, trempait le bout du gland, s’enfonçait… Puis il a pénétré plus brutalement mon cul qui lui faisait tellement confiance. J’ai senti la puissance de la douleur et en même temps le bonheur d’être autant remplie, de la façon la plus intime et la plus profonde, par l’homme qui m’excitait le plus au monde. » Agnès, 28 ans.

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru