Itinéraire d’un soumis gâté
13 mai 2020Marc, 35 ans.
Depuis toujours, je suis d’un caractère soumis mais cette expérience BDSM m’a particulièrement marqué. Je vous raconte mon histoire. Je suis bi. J’adore être nu et à genoux devant un homme, sucer son pénis ou me faire prendre en levrette. Mais j’aime encore plus les femmes et un jour, j’ai décrété que j’allais me soumettre à ma compagne. Cela n’a pas été facile car, même si elle rêvait parfois d’avoir un pénis pour voir l’effet que cela faisait, il y avait quand même un pas de géant à franchir pour lui annoncer que je voulais me soumettre à elle, que je désirais la servir, être à ses ordres et surtout, qu’elle l’accepte sans me considérer comme un dérangé. Alors, j’ai procédé par étapes. J’ai profité d’une fois où elle m’a dit : “T’as un joli petit cul” pour lui suggérer : “Oui je sais. Et tu voudrais bien le prendre hein, ce petit cul. Alors je vais t’offrir un gode-ceinture !” Elle savait que j’aimais qu’elle me touche l’anus, mais ne le faisait guère, trouvant cela sale. À ma grande surprise, elle m’a répondu : “Si tu veux… Si ça t’amuse.” Ni une ni deux, dès le lendemain, j’étais sur Internet à chercher un gode-ceinture pour ma chérie.
Huit jours plus tard, l’objet est arrivé. Un bel engin, bien plus gros et nervuré que ma queue. Le soir venu, elle l’a étudié, sanglé et lubrifié généreusement. Ensuite, elle me l’a enfoncé bien profondément. J’ai pris un tel pied ! Elle aussi d’ailleurs a bien joui de pouvoir me dominer de la sorte. Depuis, nous recommençons régulièrement et, à chaque fois, le plaisir est là, intense, puissant. Un jour, j’ai décidé de passer à un stade supérieur en lui offrant (le jour de la Saint Valentin) une cage de chasteté pour moi. Dans un joli coffret, je lui ai donné la clé de ma sexualité. Belle preuve d’amour ! Dès le lendemain, elle m’a demandé de me raser entièrement le pubis et m’a installé la cage autour du pénis, superbe et confortable. Elle a fermé le cadenas et a mis la clé à une chaîne autour de son cou. Elle l’arbore fièrement, à la vue de tous. Voilà, je suis son soumis. L’autre clé a été rangée dans une enveloppe collée, avec sa signature apposée dessus afin que je ne l’ouvre pas. Depuis, je fais pipi assis, ce qui contribue à ma bonne éducation puisque je ne laisse aucune goutte autour des toilettes. Lors de nos rapports, elle me bande les yeux, me pose des menottes dans le dos et me demande de la faire jouir sans la voir ni la toucher, uniquement avec ma langue. Cette procédure est terriblement excitante, sa jouissance est bien plus forte. Deux fois par mois, elle me sodomise puis me fait mettre à quatre pattes pour me traire comme une vache. Ensuite, je me lave devant elle, et elle me repose illico ma cage pour quinze jours.
Un jour, on a décidé que je devais toujours être nu à la maison si nous n’étions que tous les deux, pour mettre la table, faire la vaisselle, le ménage, sortir les poubelles… Il fallait que je demande l’autorisation de jouer à l’ordinateur, de regarder la télé, de sortir de table et même d’aller aux toilettes. Parfois, lorsque je fais mal mon travail, je dois le refaire et je reçois une fessée ou encore, je me retrouve au coin comme un enfant. Mon envie profonde est de lui appartenir. Alors, pour mon anniversaire, elle m’a offert un collier de chien que je dois porter systématiquement à la maison, mais aussi dehors si je suis avec elle. Nous sommes tous les deux très flattés lorsque l’on dit que je suis un homme “idéal”, un bon mari, formidable, attentif et bien élevé. C’est elle qui prend rendez-vous chez le coiffeur en disant ce qu’elle souhaite, mais aussi chez le médecin. Elle m’accompagne même dans le cabinet en faisant la conversation à notre doctoresse pendant qu’elle m’examine de la tête aux pieds. C’est terriblement jouissif. Un jour, sans me prévenir, elle m’a emmené chez l’esthéticienne pour me faire épiler intégralement le corps. Psychologiquement, cette épreuve a été entièrement bénéfique pour moi, car sans poil, un homme se sent plus vulnérable, moins agressif, donc plus doux et plus attentionné. J’arbore toujours ce corps glabre, pour notre plus grande satisfaction.
Ensuite, on a dévié un peu, pour tester l’autorité. On a décidé que je ne mangerais que ses restes ou des plats autorisés par elle, mais au sol, à ses pieds. Ne croyez pas que c’est un supplice, c’est vraiment un bonheur intense. Lorsque je l’écris, mon sexe mouille d’excitation. On a décidé aussi que je ne devais pas la suivre partout et qu’elle avait droit à un peu de liberté. Je lui demande de m’enfermer à la maison, à faire du ménage pendant qu’elle sort avec des copines pour faire les boutiques, aller au cinéma, au restaurant. Une de ses amies sait que nous vivons comme cela, alors parfois, elles reviennent à la maison ensemble pour papoter ou prendre le thé. Je les sers, toujours nu comme un ver. Parfois, elles parlent de moi, de mes progrès, et elles se moquent de moi avec mon petit sexe enfermé dans sa cage. Mais c’est un réel bonheur pour moi. Plus récemment, on avait décidé qu’elle avait droit au plaisir physique car je ne suis pas un “bon baiseur”, et ma langue est limitée pour certaines pratiques. Nous avons donc cherché un homme sur Internet pour qu’il lui fasse l’amour. Moi, pendant ce temps, je devais rester à genoux dans un coin de la chambre, menotté dans le dos, les yeux bandés, toujours entièrement nu, portant seulement ma cage de chasteté… à les écouter faire l’amour. “Tu vois : lui, il me fait l’amour, ce n’est pas comme toi avec ta petite bite !” Parfois, je devais nettoyer leurs deux sexes avec la langue. Vous ne pouvez pas savoir le plaisir immense que j’ai éprouvé si vous n’avez pas essayé. Ce n’est nullement une contrainte, pour moi qui adore sucer un homme et lécher ma femme.
Cela fait trois ans que nous vivons ainsi, et c’est un bonheur absolu. Elle a découvert la joie de la domination et moi, je suis très heureux car mon esprit est libre. Je n’ai aucune décision à prendre, je ne m’occupe que de son plaisir pour mon plaisir, je suis serein, j’ai une position de soumis. J’ai de très fortes émotions et relations sexuelles. Quoi de mieux ? Nous voulons maintenant aller plus loin sexuellement, alors nous avons décidé qu’à partir de demain, lorsqu’elle irait faire pipi, je la nettoierai et la sécherai. Cela m’excite au plus haut point. Je vais devenir “le chien”, l’être le plus fidèle à ma femme. J’ai aussi entendu dire que parfois, les femmes se réunissent à la campagne avec leurs “mâles” en laisse, nus et à quatre pattes. Elles les présentent aux autres comme dans un concours et parfois, les “mâles” font comme de vrais chiens : ils se reniflent la queue ou le cul, et les dominants montent les soumis. J’espère le vivre très bientôt.
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« Dès qu’il a posé son gland sur mes lèvres, j’ai ouvert la bouche et je l’ai gobé. Il a libéré mes mains et je me suis masturbée tout en lui taillant une pipe. Guillaume m’a retournée pour enfoncer sa grosse pine entre mes fesses. J’adore la sodomie et j’ai été comblée par sa queue qui pénétrait mon petit trou. » Katheline.
» La dame m’a fait sucer sa jolie chatte toute rasée. Pendant ce temps-là, le mari a présenté sa grosse queue contre mon petit cul de salope. Son membre était épais et chaud. Je sentais ses couilles caresser mes fesses. » Didier.
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Alors que le mari de Cindy marche dans la rue, il la surprend avec un homme qu’elle embrasse a pleine bouche et qui l’entraine dans un coin tranquille. Il les suit et découvre Cindy suçant la bite de l’inconnu. Furieux le cocu veux se venger. Il en parle a une pute qu’il connait. Celle ci après s’être bien fait baiser par son amant le charge de venger le cocu. Cindy va se faire enlever en pleine rue devras être défoncée, fouettée par 2 mecs. Cette salope de Cindy loin d’être vexée par cette punition va se faire baiser et enculer avec délice et avaler le foutre de ces punisseurs.