Mon amant fauve
7 avril 2020Agnès, 28 ans.
Depuis quelques semaines, j’ai un amant très passionné et pour le moins hard. Je l’aime énormément et il me fait découvrir toute la violence en moi que je n’arrivais pas à exprimer, et toute la soumission amoureuse dont je suis capable. Mon mec, lui, n’est que douceur et attention, et je l’aime beaucoup pour cela. Mais cet amant me fait découvrir des continents dont je n’aurais pas suspecté qu’ils puissent faire partie de ma géographie intime. La première fois que nous avons couché ensemble, il m’a claquée les fesses. Sur le coup, j’étais un peu soufflée. Mais j’ai aimé. Il a continué à me donner des claques, alternant avec des caresses tendres sur mes seins et des feulements de fauve. Il s’est mis à pincer mes seins – là encore assez légèrement –, faisant alterner la pointe de douleur du coup et la douceur d’une caresse pour apaiser la peau chauffée et rassurer cette petite pique de crainte délicieuse qui naissait dans mon ventre. Tout cela était consenti – j’aimais la rudesse de nos rapports. À chaque fois, nous escaladions l’échelle d’une violence qui m’était de plus en plus douce. Pendant qu’il me pénétrait en levrette de son énorme bite de velours que j’adorais, il me donnait de grandes claques retentissantes sur les fesses avec ses grandes mains sensuelles. Il me fessait si fort que je me retrouvais parfois avec des veines éclatées sur les fesses et les cuisses après un rapport. Mes seins étaient zébrés de rouge et il me mordait le cou et les lèvres. Je devais rester plusieurs jours sans voir mon copain pour ne pas éveiller ses soupçons. Son animalité me plaisait de plus en plus et je déposais à ses pieds tout ce qu’il me restait de garde-fou dans ma vision de la sexualité. C’est aussi lui qui m’a initiée à la sodomie.
Un soir, nous étions chez moi et avons commencé à nous chauffer sur le canapé. Il m’a mordillée les seins comme j’aime, puis il s’est enfoncé dans ma gorge, en me guidant d’autorité et en me tenant par les cheveux. Je l’engloutissais sans avoir mon mot à dire et j’aimais sa domination sur moi. Il me permettait, dans ma servilité, de me sentir puissante et d’expérimenter mes désirs les plus profonds. Il m’a léchée en m’amenant au bord de l’orgasme. Il aime que je le supplie de continuer et s’arrête pour me tourmenter encore de ses assauts de grand lion qui aime sentir la détresse de sa proie entre ses pattes. Il m’a ordonnée de m’allonger sur le lit, sur le ventre. Il m’a demandée si j’étais d’accord pour qu’il me prenne par le cul.
J’ai dit oui, mais qu’il aille doucement. Il m’a caressée et grignotée les fesses avec passion, glissant parfois un doigt jusqu’à mon clito, en se servant de ma mouille pour lubrifier mon anus. Il y a mis un doigt et m’a pénétrée pendant qu’il continuait ses autres caresses. Je me sentais me détendre sous cette douce pression. Il a mis du lubrifiant sur sa bite – l’objet de ma dévotion la plus totale –
et a commencé à se frotter à l’entrée de mon cul. Il frottait, caressait, trempait le bout du gland, s’enfonçait… Puis il a pénétré plus brutalement mon cul qui lui faisait tellement confiance. J’ai senti la puissance de la douleur et en même temps le bonheur d’être autant remplie, de la façon la plus intime et la plus profonde, par l’homme qui m’excitait le plus au monde.
Il s’est mis à s’enfoncer encore plus et à aller et venir dans mon trou serré, en se lovant contre mon dos pour me dire des insanités à l’oreille. Il me disait aussi que c’était merveilleux de me prendre par là. Moi je gémissais, je geignais, je le suppliais de me baiser. Il m’a pénétrée plus franchement et je sentais que je lâchais toute ma garde, je l’accueillais en moi avec bonheur. Mon amant s’est mis à me pilonner le cul comme il l’aurait fait de ma chatte. Ses couilles claquaient contre mon derrière et il me fourrait de plus en plus fort. Mon abandon était total. Je me suis mise à quatre pattes pour qu’il continue à me sauter ainsi, et s’est mis à branler mon clito en même temps. La sensation était foudroyante. Mon cul s’évaporait de désir en même temps que mon clito grossissait sous sa main. Il me branlait encore jusqu’au bord de l’orgasme et s’arrêtait subitement pour me donner de grandes claques sur le cul. Mes repères étaient tellement brouillés et mon désir tellement puissant et douloureux que je criais de joie, de douleur, de plaisir, de folie. Enfin, je ne sais plus.
Nous avons joui en même temps dans un immense râle animal dont je me souviendrai toute ma vie. Mon amant m’a laissée sur le drap, trempée de sueur, de mouille, la peau cuisante et les fesses endolories, mes douleurs s’estompant peu à peu avec la décharge de plaisir provoquée par la jouissance. Depuis ce jour, je me refais la scène en boucle dans ma tête et je jubile d’en revivre chaque instant.
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« Mes lèvres faisaient au moins huit centimètres ! Je m’astiquais le clitoris. Il en a profité pour me pointer la rondelle. Cette fois, j’en avais envie. Avec le miroir, je l’ai vu s’enfoncer dans mon anus. Comme j’aime sa bite ! Il m’a grimpé dessus pour s’enfoncer plus profondément. Les boules se sont affolées, comme moi, qui me pinçais l’abricot et me doigtais. J’ai explosé dans un cri aigu. »Anne, 30 ans.
« Cette queue était vraiment superbe, très longue, épaisse, un gros nœud que j’ai décalotté. Là aussi, il était totalement épilé. J’ai d’abord léché ses belles couilles glabres et bien pleines. J’ai enchaîné avec une pipe royale en gorge profonde (pas facile avec un tel engin). Il a rapidement déchargé une semence épaisse alors qu’il me broutait la chatte. » Myriam, 39 ans.