Le marin et l’écume

La rédaction 29 avril 2022

Aline, 28 ans.Aline attend le retour de son mari parti en mer. Lorsqu’il rentre de son long voyage, sa femme lui a préparé bien plus qu’un repas…

Bonjour chers lecteurs, je voulais commencer cette histoire de sexe par un constat tout simple. J’ai l’impression que la plupart des couples vivent leur relation à distance comme une tragédie. Mais cela n’est pas du tout mon cas ! Mon homme est un marin et il m’arrive, selon les missions, de ne pas le voir pendant une longue période.

La distance érotique

Pendant ce temps, je m’occupe comme je peux. Je vous lis (beaucoup), je me masturbe (encore plus) et je m’accorde même, parfois, la visite d’un inconnu à la maison pour étancher ma libido. À vrai dire, le temps passe très vite, j’ai un boulot tout à fait prenant dans le marketing de luxe qui peut m’occuper jusqu’à 22 voire 23 h. Et quand ce n’est pas le boulot, ce sont les relations sociales, j’ai de nombreux amis qui me proposent constamment des sorties. Difficile de me plaindre. Je suis loin de l’image de la jeune fille esseulée qui se languit de son mari sans savoir comment occuper ses journées.

Mais je ne vous mentirai pas. J’attends son retour avec une impatience incroyable. Je sais que quand il jettera l’ancre, cela sera les bourses pleines. Les deux couilles bien lourdes de tout ce qu’il a accumulé durant ses longues journées en mer.

Le vieil homme et la mer

Alors, dès qu’il passe le pas de la porte, il pose son gros sac à dos à terre et me regarde de ses yeux lubriques. Je ne manque pas de faire durer un peu plus longtemps son calvaire. Je prépare souvent un repas gargantuesque, avec entrée, plat et dessert. Je lui somme de manger en entier pour éviter que cela ne refroidisse.

Évidemment, je porte une tenue la plus outrageuse possible. La dernière fois, j’avais réussi à trouver une robe en grande partie transparente avec des sous-vêtements rouges. Je ne vous dis pas la tête qu’il tirait, et cela a duré le temps des concombres à la crème que j’avais préparé en entrée jusqu’au tiramisu. Le pauvre !

Vient enfin sa délivrance, au moment du café. Il m’allonge sur le lit et me pénètre d’un coup qu’il veut tendre et délicat, mais que je ressens comme un bon gros coup de pilon entre mes jambes. Il me lime sans discontinuer, avec une rythmique parfaite, certainement inspirée des vagues qui le bercent en mer. Il ne s’arrête que lorsqu’il sent qu’il va éjaculer et me demande alors où je souhaite qu’il dépose sa semence.

L’écume marine

Il sait que je veux tout voir, voir jaillir des litres et des litres de liquide entassés dans ses couilles. La dernière fois, c’est sur mon ventre qu’il a déchargé. J’en ai eu de la motte jusque sur les seins. Son arrosage était digne d’un record national.

Que faire du sperme ainsi éclaboussé ? Je le contemple d’abord, puis j’en goutte la texture en y plongeant un doigt, comme certains font avec le miel. Je l’étale un peu sur mes seins, puis j’en reprends un peu en bouche. Ces jeux gustatifs excitent beaucoup mon homme qui me regarde faire avec envie et qui n’attend qu’une chose : me remettre un deuxième coup !

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