Grandes eaux à Marineland
3 février 2020Sandrine, 26 ans
Le parc Marineland d’Antibes fête ses quarante ans cette année, mais moi, je fête les six ans d’un très bon souvenir en compagnie d’un inconnu. Nous étions parties en vacances entre filles dans le sud, et nous avions choisi d’aller faire un tour au parc aquatique de la région pour admirer les orques. Ce jour-là, la chaleur était telle que je n’avais gardé que mon débardeur, ma courte jupe portefeuille… Et rien en dessous. Pour ceux qui connaissent le lieu des attractions, ce sont des gradins très hauts, c’est-à-dire qu’en vous retournant, vous avez les yeux à hauteur de l’entrejambe de celui qui se trouve juste au-dessus de vous. Nous étions donc installées pour regarder le spectacle quand j’ai repéré devant moi une tête qui se tournait régulièrement.
Au début, je n’ai pas compris ce que cet homme (accompagné !) pouvait bien regarder. Quand j’ai réalisé le spectacle dont il voulait jouir, j’ai décidé de lui en donner pour son argent, parce que les orques, c’était bien joli, mais bon… Ça ne valait pas ma petite chatte épilée que je lui laissais découvrir peu à peu. Je jouais de mes jambes qui s’entrouvraient dans un mouvement lent sur les profondeurs de mes cuisses et sur mon abricot. Je commençais à mouiller sévère, je n’avais même pas besoin de toucher ma chatte pour savoir qu’elle s’humidifiait significativement. J’adorais ce petit jeu.
Quand les orques ont eu fini leur show, nous sommes allées voir les requins dans une galerie vitrée. Il y avait beaucoup de monde dans la salle. Les portes se sont refermées juste derrière nous. En entrant, j’ai tout de suite remarqué mon voyeur des gradins. Il était avec sa femme. Elle ne regardait pas dans ma direction. Je me suis arrangée pour qu’il me voie, et il m’a décoché un grand sourire enjôleur que je lui ai rendu en fondant de la minette. Nous avons parcouru la galerie en ordre dispersé avec les copines, en commençant par les tortues. J’avais le nez collé à l’aquarium quand j’ai senti une main passer sous ma jupe et caresser mes fesses. Je savais bien qu’il n’était pas loin, mais j’ai été surprise quand même, à tel point qu’une coulée de mouille a envahi ma fente.
Malgré la pénombre, je n’avais pas besoin de me retourner pour vérifier l’identité de la main baladeuse. Je me suis cambrée pour pouvoir mieux observer les jolies petites bêtes. Les doigts se sont faufilés encore plus loin entre mes cuisses et se sont arrêtés contre ma chatoune trempée. Il a joué à me fouiller, il étalait ma mouille tout le long de ma raie. C’était super excitant. J’en voulais plus ! Alors j’ai bougé, je me suis trémoussée sur les phalanges de l’inconnu. J’étais comme une salope qui n’attendait que de se faire pénétrer, je voulais qu’il me mène à la jouissance. Mon clito était tout dur, prêt à vibrer jusqu’au bout du plaisir. L’inconnu m’a murmuré à l’oreille que je n’étais qu’une chienne et qu’il avait bien apprécié le spectacle, mais qu’il lui en fallait davantage.
Comme pour souligner son propos, il m’a pénétrée d’un coup du bout des doigts pendant que son autre main me titillait la rosette. Ma main est venue rejoindre les siennes sous la jupe. Je me suis caressé le clitoris très fort. Sous ses gestes experts, j’ai joui comme la chienne que j’étais. La puissance de mon orgasme a été décuplée par le fait d’être en public. Je ne pouvais pas crier, je serrais les dents. il fallait déjà avancer pour aller voir les requins. Nous avons suivi le mouvement. Quand je l’ai croisé dans la salle suivante, nous nous sommes jeté des regards polissons en diable et des sourires salaces qui prolongeaient notre petite séance. Ça avait été si court !
Depuis lors, je suis retournée à Marineland en famille avec mon mari à qui j’ai raconté cette histoire. Ça lui a beaucoup plu. D’ailleurs, c’est lui qui a insisté pour que je vous écrive tout ça. Il veut que j’excite le plus de lecteurs possible. Voire mon bel inconnu, qui sait ?
(Image à la une : Getty Images)
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