Un poing, c’est tout !

La rédaction 14 août 2020

Sam, 41 ans, se rend souvent dans les bureaux d’une femme pour réparer sa photocopieuse bourrée. Il s’avère que la patronne aime se faire fister !

Salut, je voulais absolument partager cette histoire de sexe avec vous…

Je m’appelle Sam et je suis technicien pour une entreprise de photocopieuse. Depuis quelques mois, je suis régulièrement appelé chez Hélène, patronne d’une PME qui fabrique du carton. Ses copieurs ont des problèmes de bourrage papier. J’ai vite compris qu’un bon bourrage, c’est justement ce qu’elle voulait. Ça tombait bien : de longues jambes, la quarantaine fraîche et des yeux de biche, Hélène était mon type.

Ce qui m’a mis la puce à l’oreille, c’est qu’un jour que je réparais une machine chez elle, j’ai entendu qu’on farfouillait dans la salle d’à côté. Je m’approche, et là, je vois mon Hélène en train de triturer des bacs et de les remplir avec un papier d’un grammage beaucoup trop épais pour les machines. Je tousse pour manifester ma présence, et voilà la patronne qui rougit, qui bafouille…

« Oh, Sam ! Je ne savais pas que vous étiez déjà là… Heu… Ce copieur aussi fait des siennes ! ». Je m’approche d’elle et je constate qu’elle est très rouge. Au niveau de son décolleté pulpeux, je vois le pouls qui s’accélère. Je pose la main sur son bras et je lui dis « Ça va, Hélène ? » Et là, elle balance tout en parlant très vite. Qu’elle me trouve séduisant, qu’elle ne savait pas comment m’aborder, que comme je porte une alliance, elle ne voulait pas jouer les briseuses de couple…  Je rigole : l’alliance était à mon père et je la porte en souvenir. Elle me regarde comme si elle tombait de l’armoire et se met à rire aussi.

Elle est encore toute tremblante, alors je m’approche d’elle. Son front est couvert d’un voile de sueur, ça lui colle les petits cheveux. Je trouve ça charmant et je lui passe la main dessus. Hélène tremble. Sa bouche fait un petit mouvement nerveux. Je me serre contre elle et je l’embrasse tout doucement. Autour de nous, on n’entend rien. Les copieurs sont tout au bout des bureaux, peu de risque que quelqu’un déboule. Mon baiser se fait plus insistant, je cherche la langue d’Hélène.

Elle tremble encore, mais cette fois, de désir. Je la plaque contre la machine. Ses cuisses s’écartent et je glisse la main sous sa jupe. Ça palpite. Quand j’effleure son sexe, elle pousse un petit gémissement. Ma langue est maintenant dans son cou, remonte jusqu’à son oreille. Elle penche la tête en arrière, alors je glisse un doigt pour lui donner plus de plaisir. Hélène adore ça. Je la masturbe longuement, avec deux doigts. Elle a tellement envie que je les écarte en elle. Ça fait un bruit mou puis il y a un petit « ploc » sur la moquette. Elle mouille à fond. Je la soulève, la pose sur la machine ouverte. Elle couine. Mon mandrin est en fusion quand je découvre face à moi sa chatte velue, châtain comme elle. On dirait un petit nuage de mousse. Je mets la tête dedans. Et que je lèche, que je lèche…

Hélène crie à chaque fois que je passe ma grosse langue sur son clito. J’ai toujours les doigts écartés dans sa chatte et je peux même en ajouter un troisième. Elle s’ouvre encore. C’est dingue comme elle est large. Je place ma main comme j’ai vu faire dans des pornos, l’index replié sur le pouce, le reste des doigts alignés décrescendo. Et j’enfonce. Plus je pousse, plus ma main va loin dans Hélène. Au bout de 2 minutes à lui travailler le con, elle disparaît entièrement. Jamais je n’avais fait ça avant, c’est de la magie ! La jolie quadra a dégagé ses seins, qui ballottent hors de son chemisier. Je me colle à elle pour la téter goulument, tout en continuant à la fister. Quand je baisse les yeux et que je vois mon poignet qui sort lentement de son con, j’ai les couilles qui se serrent un peu plus.

Hélène couine tellement aigu qu’on dirait des ultrasons…

Elle s’agrippe au copieur et ça déclenche la machine. Je vois les feuilles qui sortent en rafale et tombent au sol : l’image de son cul bien écrasé sur la vitre, un bout de ses grandes lèvres et mon bras qui entre en elle. Mieux qu’une sextape ! Hélène voit les photocopies qui se multiplient par terre. Elle tremble, attrape ma main pour que je la fasse coulisser plus vite… D’un coup, elle se cambre et hurle. Un long jet d’eau lui sort de la chatte et inonde ma chemise. Nouvelle surprise, Hélène est une squirteuse ! Je ne vous dis pas la galère pour tout nettoyer ensuite. J’ai pensé que la timide Hélène serait gênée, mais pas du tout : en essuyant son éjaculation, elle rigolait en disant « qu’elle risquait de s’électrocuter ». Depuis, nous avons eu plusieurs rencards et avons organisé d’autres séances de reprographie.

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