5 faits ignorés sur la jouissance masculine
6 août 2018Découvrez sans plus attendre les petits secrets que vous ignorez sur la gent masculine.
1.Les hommes peuvent avoir un orgasme sans éjaculer
Deux causes principales expliquent ce phénomène. Pour certains hommes, il peut s’agir d’une malformation organique appelée couramment « éjaculation rétrograde » : au lieu d’être évacué, le sperme va être renvoyé à l’intérieur de la vessie. Ce trouble apparaît chez l’homme après la prise de certains médicaments ou après une intervention chirurgicale du col de la vessie ou de la prostate. Dans d’autres cas, l’homme prend du plaisir sans éjaculer après une succession d’orgasmes.
2.L’anus et le rectum sont des zones érogènes chez tous les hommes.
Certains le surnomment “point H » ou point P » en référence au point G féminin. Derrière cette appellation se cache la prostate, un organe situé entre l’anus et les testicules qui procure un plaisir orgasmique très puissant chez la gente masculine. D’après Gérard Leleu, sexologue « si la stimulation de la prostate reste très méconnue en Occident, les cultures orientales, notamment au Japon, s’y adonnent depuis 6 000 ans avant notre ère ».
3. Le plaisir masculin s’estompe avec le temps
D’après une étude publiée dans , 45% des hommes en couple depuis plus de 2 ans, ont déclaré être insatisfaits de leur vie sexuelle. La cause principale ? la grossesse serait la cause de leur baisse de libido.
4. L’abondance excessive de sperme est une maladie
Appelée le « spermatorrhée« , cette maladie se déclenche à la suite d’une inflammation de la prostate. Résultat ? Pendant l’effort, l’homme évacue une grande quantité de sperme.
5. Tous les hommes ne prennent pas leur pied pendant la fellation
Après une étude menée par des chercheurs de l’université de Paisley, en Écosse, les résultats montrent qu’un homme aurait un orgasme plus intense quand il fait l’amour, que lorsqu’il reçoit une fellation. Pour obtenir ces constats, les scientifiques ont divisé les participants en 2 groupes : le premier groupe d’hommes devait faire l’amour avant la prise de sang et le second devait recevoir une fellation.
Pour la comparaison, les chercheurs ont mesuré le taux de prolactine dans le sang des participants. Cette hormone produite après un orgasme serait 4 fois plus importante chez les participants qui venaient de faire l’amour que chez le second groupe. Bravo les Écossaises !