Grâce à la panne d’ascenseur
28 octobre 2022Célibataire et résidant dans un immeuble, j’entretenais jusqu’à récemment avec ma voisine de palier une relation de simple voisinage sans grande discussion. Mais, depuis peu, nous nous sommes rapprochés en parlant surtout de l’ascenseur, qui est souvent en panne. Qui penserait qu’un tel sujet puisse mener à des aventures coquines ?! Je m’appelle Arthur, j’ai 57 ans et voici mon histoire porno.
Elle voulait jouer
Amélie, c’est son prénom, vit seule. Elle n’est pas vraiment mon type de femme, mais en discutant de cet ascenseur, je la découvrais sympa et amusante par sa naïveté. Lorsque nous nous croisons fortuitement, il nous arrivait de rester bien plus longtemps qu’avant à discuter de choses futiles. Par plaisanterie, Amélie me demandait souvent de lui acheter un cadeau gourmand comme un gâteau quand on se croisait alors que j’allais faire mes courses.
Mais un jour, c’est carrément un pantalon de jogging repéré sur un dépliant publicitaire qu’elle m’a demandé avec un petit sourire. J’ai accepté en lui demandant une compensation, la suivant dans sa plaisanterie. Elle a rougi comme une enfant malgré ses 30 ans et s’est inquiétée de la contrepartie. Celle-ci, si j’osais, serait de la voir discrètement essayer son jogging dans la boutique. À ma grande surprise, elle en a été d’accord si je m’en tenais à la regarder.
Je suis entré dans son jeu
Deux jours plus tard, voilà que je me trouvais à entrouvrir le rideau de sa cabine d’essayage pour la voir en sous-vêtements, tout en lui demandant de rester un moment ainsi et de tourner sur elle-même pour ne rien louper de ses rondeurs, pendant que je sentais mon sexe durcir dans mon caleçon. Cette aventure m’aura coûté quand même quelques euros, mais avec la tranquillité et la satisfaction de n’être pas passé pour un pervers. Depuis ce jour, nous avons une sorte de pacte. Amélie vient chez moi et se met en petite tenue pour le plus grand plaisir de mes yeux. C’est un échange de bons procédés entre nous, et il faut dire que c’est extrêmement excitant de la voir se plier ainsi à mes envies. C’est en réalité un petit jeu qui s’est installé entre nous.
Plus besoin non plus de l’accompagner pour ses achats. Coucher avec elle n’est pas d’actualité, mais je peux me branler lorsqu’elle est de dos pendant que je mate son beau cul. Un plaisir dont je ne me lasse pas, même si je me dis qu’elle le fait de façon quelque peu intéressée. Bizarrement, ça ne me gêne pas tant que ça. Le prochain challenge sera qu’Amélie veuille bien se mettre entièrement nue et pourquoi pas qu’elle me branle, voire me suce, mais ce n’est pas gagné. Qui sait, peut-être qu’un jour, je pourrais la baiser, d’autant plus qu’elle est aussi célibataire.
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