Soirée (Cock)tails !
15 décembre 2025
Je l’avais repérée dès la première séance. Nouvelle venue, plutôt à l’aise dans l’eau, elle prenait des cours particuliers d’aquagym avec Noa et moi, qui sommes coachs sportifs. Elle s’appelait Natalia, belle blonde d’une trentaine d’années, plantureuse et entreprenante. Elle ne s’en faisait pas, la nana ! Elle avait pris les deux beaux Blacks musclés de la piscine pour lui faire cours à elle toute seule. Elle nous regardait avec un mélange de défi et de curiosité. Elle n’était pas là uniquement pour faire du sport, ça, c’était certain. Elle nous a souvent proposé d’aller boire un verre tous les trois après une séance. Voici mon histoire de sexe amateur érotique.
Soirée privée
Cet été-là, nous avons maintes fois passé nos soirées ensemble, après la piscine, à plaisanter pendant que ses cheveux mouillés séchaient dans l’air tiède du soir. Et quand elle proposa ce fameux apéro, un samedi, en nous regardant tous les deux, sans détour, j’ai dit oui sans réfléchir. Nous sommes partis après son cours, elle n’a même pas pris le temps de se changer. Une fois arrivés chez elle, elle a retiré sa robe qui collait encore à son maillot mouillé et elle nous a préparé des cocktails dans son bikini blanc humide au travers duquel se dessinaient ses seins refaits, que nous n’avions jamais vus d’aussi près, mais sur lesquels nous avions déjà louché, et pas qu’un peu. Elle s’est assise entre nous deux sur le canapé. Désormais conscients de ce qui allait se passer, nous nous sommes regardés avec Noa et avons approuvé tacitement ce qui était sur le point de se produire.
Après son premier cocktail, Natalia nous a demandé de nous mettre en caleçon, si nous étions d’accord. Elle n’y est pas allée par quatre chemins. « J’ai envie de vous voir comme à la piscine, et sans t-shirt ! J’ai toujours rêvé de ce moment-là, et je crois que vous y avez peut-être déjà songé, vous aussi… » Nous n’avons pu réprimer un sourire, avant de suivre ses instructions. Nous étions ses coachs, mais désormais, c’était elle qui était aux manettes. Elle s’est positionnée entre nous deux et a plongé ses mains dans nos caleçons pour en extraire nos deux queues, dont l’apparence témoignait de l’état d’excitation dans lequel nous nous trouvions. Après un préambule manuel sur nos membres au garde-à-vous, elle nous a dirigés vers sa chambre. Nous avons découvert avec surprise une installation avec un appareil photo sur pied, pour prendre des photos en pleine action. Elle aimait ainsi documenter ses ébats en activant l’appareil avec un petit interrupteur planqué dans le lit sous un oreiller.
plan à trois
Elle tenait nos deux bites comme si elle manipulait quelque chose de très précieux. Après les avoir saisies, elle nous a caressés lentement, alternant les rythmes, un rythme différent pour chacun, en se faisant guider par les signes de notre plaisir et par nos gémissements. Je ne sais pas comment elle faisait, mais elle avait une certaine dextérité ! Puis elle nous a pris en bouche à tour de rôle, passant d’une queue à l’autre, nous laissant au bord de la jouissance pour aller s’occuper du membre abandonné, repoussant le moment de l’orgasme, ce qui ne promettait qu’un plaisir plus fort encore. Elle dictait le tempo et soudain, elle m’a fait m’allonger sur son lit et elle m’a chevauché, assise sur ma queue, prenant toujours Noa en bouche par devant. Elle bougeait d’avant en arrière et se faisait prendre en alternance par la bouche et par la chatte. Noa n’en pouvait plus… Alors on a inversé les rôles. Il l’a prise en missionnaire sur le lit. Il l’a martelée avec sa grosse queue plantée en elle.
Moi, j’étais à genoux à côté de son visage et elle me suçait en même temps. On aurait dit qu’elle n’était jamais rassasiée de nous. J’ai ressenti alors la frustration que mon collègue avait vécue quelques minutes plus tôt. Sentant la tension qui montait, Natalia a pris les devants et m’a demandé de la prendre en levrette pendant qu’elle suçait à nouveau Noa. J’étais derrière elle, j’admirais sa croupe, je fusionnais avec elle. Son périnée vibrait autour de ma queue, elle était trempée, transpirante de l’effort fourni, ses reins ondulaient à mesure que je la pénétrais. En face de moi, Noa était en transe, recevant le baiser de sa bouche sur sa queue avec un plaisir évident. Avec toujours cette retenue et ce mécanisme si excitant de l’orgasme différé, à chaque fois que nous allions jouir, nous changions de configuration et de position. L’excitation n’en était que plus explosive. Pour finir, Natalia nous a incités à jouir en même temps sur elle. Nous avons essayé de nous coordonner pour juter sur sa peau blanche, qui contrastait avec les nôtres.
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