Le grand ménage !
20 mars 2022Audrey fait le ménage chez un homme parti en vacances… Lorsqu’elle le surprend la bite en main dans sa chambre, le ménage se transforme en baise intense !
Un mardi de septembre, je me suis rendue chez Fabrice pour y faire le ménage. Ce dernier, en voyage à l’étranger, ne devait rentrer que le lendemain. J’ai décidé de commencer par la chambre, j’ai pris mon matériel et je suis entrée sans frapper, persuadée d’être seule. J’ai poussé un de ces cris ! Une masse noire surmontée d’un spot lumineux qui éclairait une bite dressée était allongée dans le lit !
L’homme l’ha- bite
C’était Fabrice, le service trois pièces à l’air qui se branlait et prenait en photo le reflet de sa queue dans le miroir face à lui.
J’en ai fait tomber mon sceau et lui ai jeté pudiquement la couette sur son gros machin. Il s’est confondu en excuse et m’a expliqué qu’il était rentré avec un jour d’avance à cause de la pandémie. J’ai répondu que ce n’était pas grave et que j’en avais vu d’autres. Fabrice a pensé que je parlais de sa queue et a repoussé les draps.
« Et alors, celle-ci, comment vous la trouvez ? »
On avait déjà un peu fricoté tous les deux, sans aller jusqu’au bout. J’avais bien senti que son paquet était plutôt imposant. Mais de voir sa bite dressée ainsi, j’ai craqué. Cela faisait un petit moment que je ne m’étais pas envoyée en l’air, l’occasion était trop tentante.
Je me suis déshabillée et je suis jeté sur le bel appât afin de le sucer. Et comme si les surprises ne suffisaient pas pour la journée, Micha, le colocataire, a fait irruption, la première chose qu’il a vue ? Mon cul en levrette bien écarté, anus et chatte en exposition.
Un voyeur excité
« Je peux regarder ? Ça ne vous dérange pas ? Je peux vous prendre en photo si vous voulez ? »
Au point où nous en étions, cela m’a même excitée. J’ai joué du popotin pour m’ouvrir encore davantage et j’ai redémarré ma pipe avant de basculer en soixante-neuf et d’offrir mon con à la bouche de Fabrice.
J’étais shootée de face par Micha et de cul par Fabrice qui, bientôt, a lâché son téléphone pour me lécher la fente, le petit trou et le clito. Fort bien d’ailleurs.
On s’est fait des gâteries un bon moment, mon amant était résistant, j’aime ça chez un homme. Pour rajouter du piquant, j’ai proposé à Micha de se branler en nous regardant. Il ne se l’est pas fait dire deux fois. L’instant suivant il se paluchait avec énergie. Lui aussi avait une belle queue, longue et très courbée, son gland touchait presque son nombril.
Cela a marqué la fin des prises de vue, c’est moi qui ai été prise par le mastard de Fabrice tandis que le beau coloc se secouait la nouille presque sous mon nez.
Dans l’obscurité de la chambre, seuls les rais de lumière dispensée par les téléphones portables éclairaient crûment mes atouts. Mes seins qui étaient ballotés en tous sens par une levrette énergique. Micha a demandé s’il pouvait me peloter, j’ai accepté, j’avais envie de ses mains et surtout de le voir éjaculer sur moi. J’ai toujours été fascinée par ces gerbes de sperme qu’expulsent les garçons, surtout quand ils se branlent. Je ne sais pas pourquoi, mais ça m’excite à mort.
Un final époustouflant
Il m’a caressé les mamelons tout en continuant de se masturber. Je lui ai quand même fait cadeau de petits effleurements sur les couilles, histoire de le motiver un peu. Ça n’a pas traîné, un regard plus appuyé sur mon entrejambe, la queue de Fabrice coulissait alors dans mon vagin trempé. Je me suis doigté le cul et j’ai reçu les premières éclaboussures de foutre sur les nichons. Impressionnant comme il y en avait, ça ne s’arrêtait plus. De fines giclées qui se fracassaient en gouttelettes qui ruisselaient sur ma peau.
Pendant ce temps, la foreuse de Fabrice n’avait pas perdu le rythme et il m’a fait décoller en me balançant des coups de reins qui ébranlaient toute ma carcasse. Punaise que son pieu est efficace ! À peine avais-je joui qu’il guidait son membre vers mon anus … vierge ! J’étais en panique et à la fois j’avais trop envie qu’il m’encule. Je me suis dégagée. Il a paru déçu, mais quand il a vu que je m’installais sur lui à califourchon un sourire de contentement a illuminé son visage.
J’ai conduit la pénétration doucement, avalant le gland avec mon anneau serré puis me laissant lentement descendre sur la hampe. J’ai été la première étonnée de sentir ses couilles s’écraser sous mes fesses, il était entré totalement en moi et une délicieuse chaleur a gagné mon ventre. J’ai explosé d’un orgasme cataclysmique. Mon corps a été pris de tremblements inextinguibles et j’ai perçu les secousses de la queue qui déversait sa semence en moi.
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